Allez, j'ouvre le feu histoire de motiver les troupes. Texte et fig...
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Markus Von Ferderberg expira longuement, de lassitude. Lassé de la poussière dont cette misérable région de l’Est de l’empire semblait composée, lassé par le vent chaud qui soufflait de l’Orient étouffant hommes et bêtes, lassé de l'incompétence de ses hommes, lassé contre les douleurs qui couraient de son dos à ses bras après trois jours de chevauchée. Et par-dessus tout, lassé de la situation où, perché sur cette falaise naturelle surplombant le tumulte des eaux du fleuve Gyr-Léria, il assistait, impuissant à la déroute de ses propres troupes, harcelés par ces maudits Nomades Urtarurs. Ces sauvages avaient déboulés des semaines auparavant, surgissant de la grande steppe, avec chariots, femmes, enfants et bêtes. Komtos, Tuxa et Qilgi étaient tombées, pillées et brûlées. Les Urtarurs, couverts de peaux de bêtes et de crânes, armés de mauvais acier et protégés d’armures cuivrées mais animés d’une détermination aveugle, avaient entrepris le saccage méthodique de cette province. Malgré l’arrivée des troupes de Ferderberg. Au loin, de l’autre côté du fleuve, au sommet d’une colline apparut un homme seul là où les impériaux craignait une armée. Ferderberg parvient à distinguer l’étendard brandit par l’Urtarur. Malgré son âge avancé, il conservait une excellente vue. L’étendard représentait un visage vaguement féminin et hurlant, paré de deux longues cornes tombantes. Le prêtreaux côtés du général tomba à genoux et se mit à prier fiévreusement. Ferderberg soupira de nouveau. Ces sauvages s’étaient convertis au culte d’Ashter. Il n’y avait donc aucun espoir de clémence à attendre de leur part...
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Markus Von Ferderberg expira longuement, de lassitude. Lassé de la poussière dont cette misérable région de l’Est de l’empire semblait composée, lassé par le vent chaud qui soufflait de l’Orient étouffant hommes et bêtes, lassé de l'incompétence de ses hommes, lassé contre les douleurs qui couraient de son dos à ses bras après trois jours de chevauchée. Et par-dessus tout, lassé de la situation où, perché sur cette falaise naturelle surplombant le tumulte des eaux du fleuve Gyr-Léria, il assistait, impuissant à la déroute de ses propres troupes, harcelés par ces maudits Nomades Urtarurs. Ces sauvages avaient déboulés des semaines auparavant, surgissant de la grande steppe, avec chariots, femmes, enfants et bêtes. Komtos, Tuxa et Qilgi étaient tombées, pillées et brûlées. Les Urtarurs, couverts de peaux de bêtes et de crânes, armés de mauvais acier et protégés d’armures cuivrées mais animés d’une détermination aveugle, avaient entrepris le saccage méthodique de cette province. Malgré l’arrivée des troupes de Ferderberg. Au loin, de l’autre côté du fleuve, au sommet d’une colline apparut un homme seul là où les impériaux craignait une armée. Ferderberg parvient à distinguer l’étendard brandit par l’Urtarur. Malgré son âge avancé, il conservait une excellente vue. L’étendard représentait un visage vaguement féminin et hurlant, paré de deux longues cornes tombantes. Le prêtreaux côtés du général tomba à genoux et se mit à prier fiévreusement. Ferderberg soupira de nouveau. Ces sauvages s’étaient convertis au culte d’Ashter. Il n’y avait donc aucun espoir de clémence à attendre de leur part...