Citation :Édit : les console représente n'importe quoi à partir duquel le héro va faire s'ouvrir les portes du bunker, comme dans Star Wars ou n'importe quel film de série B. Un bâtiment de ce genre c'est forcément alimenté en électronique, voire à un réseau informatique. Et donc y'a forcément des endroits où les câbles / d ondes y passent et on peut se brancher pour pirater.Ça c'est typiquement le genre de connerie qui m'a fait me mettre à Infinity. C'est yabon et c'est bien de le souligner.
Maintenant un peu d'eau dans mon vin :
Citation :Effectivement si tu ne joue pas en essayant de gagner et en changeant les règles en pleins milieu de la partie alors on n'a pas la même conception du jeu narratif.Comme je disais, je décris le narratif à outrance pour équilibrer. Parce que tout simplement, ça se trouve et ça m'arrive souvent de jouer comme ça. Déjà parce que ça fait une décennie que j'ai plus vraiment fait de JdR à cause de son orga plus complexe que le pitou (et sans doute le double que je n'en ai pas fait en grande quantité... ah, être étudiant). Et ensuite parce que j'ai encore en moi l'amour du pitou des années 80 très mâtinée de JdR que je cite, d'ailleurs.
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Je m'amuse même si je perds mais je veux cette confrontation intellectuelle matinée d'aleatoire avec mon partenaire de jeu.
Mais c'est vrai que c'est un peu l’extrémité du panel. On dira que c'est pour la représentativité parce que c'est bien d'évoquer toutes les valeurs du spectre : le narratif c'est large.
La confrontation intellectuelle assortie d'aléatoire est effectivement sympa, je dis pas, je l'apprécie aussi. Mais elle passe derrière le pousse-pitou dilettante et narratif pour moi. Par exemple, quand je vois une couille plutôt que d'en profiter je vais plutôt en avertir mon adversaire (c'est pas forcément courant parce que je suis bien souvent distrait par l'histoire) ou échanger des conseils avec. Mais c'est effectivement nécessaire d'en avoir au moins un peu justement parce que ça maintient la tension du scénario (d'où par exemple mon idée à con de chrono par attrition avec le retour des défenseurs par vagues qui fout la pression sur l'exfiltrateur en puissance).
Mais du coup, le scénario même très déséquilibré ne sera pas inintéressant de mon point de vue, déjà parce que je n'irait sans doute pas exploiter l'éventuelle faille et ensuite parce que même une partie pliée en deux-deux peut être amusante en fonction de l'histoire qu'on lui colle.
Citation :Mais il faut maintenir la zone d'exclusionEffectivement, ya des chances qu'il en faille une. C'est toujours pas mal de séparer un peu les joueurs, les mouvements c'est important.
Et pis aussi pour le fun.
Moi j'y foutrais bien une paire de plantons en patrouille du défenseur qui sont là pour se faire égorger discrètement mais avec un potentiel de donner l'alarme histoire de forcer l'attaquant à se gratter la tête pour faire vite et bien dans leur élimination (un peu comme certains scénars à Necromunda). Mais toujours pareil c'est parce que en jouant entre gaziers dans le même trip, on peut facilement rééquilibrer la partie en cours si vraiment le besoin s'en fait sentir (toujours ce réflexe du MJ de la partie, oui, je sais mais le MJ qui triche, c'est bien pour le jeu, en JdR mais aussi en pitous).
En tout cas, je relève tes idées supplémentaires, les tourelles ça peut être miam. Et surtout très con : oké elles tirent sur tout ce qui n'est pas "troupes du défenseur" parce que l'IA identifie bien ses copaings. Mais le gag c'est une fois le scientifique sorti de sa cellule... Ya pas de raison que les tourelles le reconnaissent et le défenseur se retrouvera bien emmerder avec ses stations de défense auto qui risquent de flinguer le mec sous sa responsabilité qu'il doit garder en vie. Choix cornélien : il désactive les défenses ou pas ?
Pis bon, c'est Infinity, comme tu le soulignais, une tourelle ça se pirate quand tu es attaquant.
le squat
des envies d'égorger du garde ce matin