Je suis assez d'accord avec Cyruss.
Même si pour ma part une certaine radicalité de certains milieux militants m'apparaissent parfaitement légitime et c'est un fait qu'on ne fait pas assez attention à certaines choses.
Cependant, l'idée qu'il faudrait que GW "fasse attention", comme le dit La Tribune, me paraît dangereuse. C'est céder à ces mouvements (qui ne sont en fait que des épiphénomènes sur les RS) que de vouloir apparaître tout lisse: c'est mettre la poussière sous le tapis et donner le fin mot de l'histoire à une réflexion basique et simpliste.
Je pense qu'au contraire, il faut que GW arrête d'avoir peur du sous texte de son univers et l'assume totalement:
- c'est ce qui fait le charme et l'intérêt de 40K (sinon des chevalier du futur bleus ou rouges vif qui combattent des vilains orks et tyranides, moi les power rangers, ça m'a jamais plu).
- La critique est bien plus large et pertinente que d'hurler contre le moindre mec qui poste un symbole sans chercher à savoir pourquoi il le fait
- Edulcorer 40K sans en changer fondamentalement les bases donne au contraire un message ultra nauséabond (et qui ne choquerait même pas les sjw du Dimanche dont on parle).
Et au fond, GW n'est absoluement pas menacé par les crises d'hystérie des réseaux sociaux. On est dans un milieu très petit, qui n'est absolument pas pris au sérieux par le peu de gens qui connaissent sans pratiquer. Le risque, c'est plutôt que GW asceptise sont univers et le rende on ne peut plus triste par peur. La peur, ça fait souvent faire que des conneries de toute façon.
En outre, les Réseaux sociaux, ça n'implique que les gens qui les fréquentent (et pour autre chose que se dire coucou entre amis en passant ou poster sa dernière photo de vacances). Perso je n'y fous jamais les pieds, et je n'entend que très rarement parler de ces radicalités militantes que vous évoquez, et la plupart du temps, comme ici, de la part de ceux qui fréquentent assidûment les rs.
Il ne faut pas non plus voir la société à travers Internet, c'est un véritable miroir déformant qui cristallise les réactions et les émotions les plus excessives.
(Modification du message : 01-09-2020, 19:39 par Egill.)
Même si pour ma part une certaine radicalité de certains milieux militants m'apparaissent parfaitement légitime et c'est un fait qu'on ne fait pas assez attention à certaines choses.
Cependant, l'idée qu'il faudrait que GW "fasse attention", comme le dit La Tribune, me paraît dangereuse. C'est céder à ces mouvements (qui ne sont en fait que des épiphénomènes sur les RS) que de vouloir apparaître tout lisse: c'est mettre la poussière sous le tapis et donner le fin mot de l'histoire à une réflexion basique et simpliste.
Je pense qu'au contraire, il faut que GW arrête d'avoir peur du sous texte de son univers et l'assume totalement:
- c'est ce qui fait le charme et l'intérêt de 40K (sinon des chevalier du futur bleus ou rouges vif qui combattent des vilains orks et tyranides, moi les power rangers, ça m'a jamais plu).
- La critique est bien plus large et pertinente que d'hurler contre le moindre mec qui poste un symbole sans chercher à savoir pourquoi il le fait
- Edulcorer 40K sans en changer fondamentalement les bases donne au contraire un message ultra nauséabond (et qui ne choquerait même pas les sjw du Dimanche dont on parle).
Et au fond, GW n'est absoluement pas menacé par les crises d'hystérie des réseaux sociaux. On est dans un milieu très petit, qui n'est absolument pas pris au sérieux par le peu de gens qui connaissent sans pratiquer. Le risque, c'est plutôt que GW asceptise sont univers et le rende on ne peut plus triste par peur. La peur, ça fait souvent faire que des conneries de toute façon.
En outre, les Réseaux sociaux, ça n'implique que les gens qui les fréquentent (et pour autre chose que se dire coucou entre amis en passant ou poster sa dernière photo de vacances). Perso je n'y fous jamais les pieds, et je n'entend que très rarement parler de ces radicalités militantes que vous évoquez, et la plupart du temps, comme ici, de la part de ceux qui fréquentent assidûment les rs.
Il ne faut pas non plus voir la société à travers Internet, c'est un véritable miroir déformant qui cristallise les réactions et les émotions les plus excessives.