Merci les amis
Ma foi si ça peut un peu aiguiller tant mieux.
Désolé mon Petitgars je ne les ai jamais joué : c’est la 1ere boite qui me soit tombée dans la main au milieu de ma collectionnite!
Pour les étapes, franchement l’huile peut pas mal aider notamment au « lissage » , et donc avoir sur l’étape précédente des couches « peu » fondues.
Pour du preombrage je fais de plus en plus base noire, 45-60 degré gris et zénithal voire snip’ de blanc.
Désolé mon Mellal je viens de démarrer 2 figs et j’ai juste commencé à passer du blanc pour renforcer et commencer à préparer pour poser les teintes.
La suite n’engage que moi heureusement
-
Préombrage
Il faut réfléchir à ce que l’on compte faire après…
- Si je pars sur des contrasts, mon preombrage sera très probablement plus appuyé clair (les contrast apportant logiquement du contrast), voire mettre un p’tit voile de jaune/beige vu que les contrasts réagissent mieux sur ce type de base (pour moi).
- Peinture classique: là je vais un peu aider à forcer les contrastes avec du très noir en-dessous et du très blanc au-dessus.
Dans les 2 cas, très souvent je passe 10-20mn à reprendre la fig’ au blanc golden pour « forcer » les reliefs: les plis, les points focaux, etc.
Avec la peinte, les contrastes vont se réduire, alors autant partir sur quelque chose de tranché!
J’essaye de me souvenir :
- Peau masculine plus ou moins tranchée, contrairement à une féminine où il vaut mieux limiter trop de contrastes.
- Tout ce qui est métal, bois, cuirs, on peut y aller « gaiment »
- Tissus suivant les courbes marquées ou non on peut trancher, mais généralement je préfère un mix entre métal et peau féminine (les ombres éclaircis ne sont pas forcément si simples et il faut également prendre en compte la saturation).
Il reste toujours possible de diminuer un contraste avec un/des glacis au pire de gris… par contre remettre du contraste ça risque de demander un peu plus de boulot surtout que derrière il faudra rééquilibrer.
Mon Mellal pour ton apothecary white, comme pour toutes les contrasts, bien attendre que ce soit sec.
- Sur du noir tu oublies
- Sur du gris, comme il t’amènes je crois un gris neutre… bah…
- Sur du blanc: tu vas avoir un blanc neutre
- Les bases GW « préconisées » pour les contrasts sont généralement beige/crème/jaune.
« Un blanc simple contrast »:
- Preombrage où tu peux laisser un chouille de noir en-dessous et limite tu appuyes ton zénithal de blanc.
- Apothecary white pinceau bien chargé et on essaye si possible de ne pas soulever le pinceau jusqu’à avoir fini la zone ; éponger rapidement les excédents sans trop en retirer et SURTOUT ne pas chercher à rattraper le coup après quelques secondes parce que la contrast marque direct et par la suite c’est une plaie à récupérer les traces.
- Dans les creux et plus précisément sous les creux/plis (ex tissu) glacis/lavis contrôlé d’une contrast type SW grey ou autre pour venir mettre de la teinte.
- Reliefs repris au blanc voire à l’ivoire pour remettre de la teinte et ça devrait le faire.
Je me permets une p’tite pause « plaisir » avec 2 figs et 7-8 tubes de SC75 Artist.
J’ai encore un peu de boulot au blanc et re délimiter au noir avant d’y mettre les bases.
La scifi j’ai probablement trop poussé mon zénithal blanc, mais tu peux voir comment je reprends au blanc sur mon preombrage :
Là sur la p’tiote c’est notamment au niveau du tissu:
J’oubliais !
Ça va faire presque 1mois qu’en bon vieux con j’ai enfin accepté de retenter l’expérience du chiffon plutôt que le sopalin pour virer le trop plein du pinceau et refaire la pointe à chaque fois: quel con! Mais pourquoi ai-je mis autant de temps à ne pas laisser tomber le sopalin !
J’arrive très très largement mieux (c’est dire!) à gérer ma peinture dans le pinceau, là où le sopalin m’enlevait très rapidement l’humidité, et au final je ne flingue pas si vite le 2nd chiffon et surtout j’ai repris du plaisir à ne pas m’énerver à galèrer avec un pinceau pas assez humide ou trop humide ou revenir 3-4 fois à la palette en re nettoyant le pinceau! ^^
Pour ma part:
- Je me rends compte qu’à utiliser des contrats je fais « méthodiquement » un preombrage trop appuyé… et je dois récupérer derrière au pinceau.
- J’oublie de mieux hiérarchiser mes lumières en dirigeant sur 1-2 point(s) focal(aux).
Ex sur la p’tiote:
- Plus gris en bas (je pense faire la bure blanche), gris clair en haut et blanc visage, pour remonter la lecture sur le visage et probablement blanc sur les mains pour amener sur le sabre avec peut-être un osl?
Bonne peintouille
(Modification du message : 06-09-2023, 19:18 par jojogeo.)
Ma foi si ça peut un peu aiguiller tant mieux.
Désolé mon Petitgars je ne les ai jamais joué : c’est la 1ere boite qui me soit tombée dans la main au milieu de ma collectionnite!
Pour les étapes, franchement l’huile peut pas mal aider notamment au « lissage » , et donc avoir sur l’étape précédente des couches « peu » fondues.
Pour du preombrage je fais de plus en plus base noire, 45-60 degré gris et zénithal voire snip’ de blanc.
Désolé mon Mellal je viens de démarrer 2 figs et j’ai juste commencé à passer du blanc pour renforcer et commencer à préparer pour poser les teintes.
La suite n’engage que moi heureusement
-
Préombrage
Il faut réfléchir à ce que l’on compte faire après…
- Si je pars sur des contrasts, mon preombrage sera très probablement plus appuyé clair (les contrast apportant logiquement du contrast), voire mettre un p’tit voile de jaune/beige vu que les contrasts réagissent mieux sur ce type de base (pour moi).
- Peinture classique: là je vais un peu aider à forcer les contrastes avec du très noir en-dessous et du très blanc au-dessus.
Dans les 2 cas, très souvent je passe 10-20mn à reprendre la fig’ au blanc golden pour « forcer » les reliefs: les plis, les points focaux, etc.
Avec la peinte, les contrastes vont se réduire, alors autant partir sur quelque chose de tranché!
J’essaye de me souvenir :
- Peau masculine plus ou moins tranchée, contrairement à une féminine où il vaut mieux limiter trop de contrastes.
- Tout ce qui est métal, bois, cuirs, on peut y aller « gaiment »
- Tissus suivant les courbes marquées ou non on peut trancher, mais généralement je préfère un mix entre métal et peau féminine (les ombres éclaircis ne sont pas forcément si simples et il faut également prendre en compte la saturation).
Il reste toujours possible de diminuer un contraste avec un/des glacis au pire de gris… par contre remettre du contraste ça risque de demander un peu plus de boulot surtout que derrière il faudra rééquilibrer.
Mon Mellal pour ton apothecary white, comme pour toutes les contrasts, bien attendre que ce soit sec.
- Sur du noir tu oublies
- Sur du gris, comme il t’amènes je crois un gris neutre… bah…
- Sur du blanc: tu vas avoir un blanc neutre
- Les bases GW « préconisées » pour les contrasts sont généralement beige/crème/jaune.
« Un blanc simple contrast »:
- Preombrage où tu peux laisser un chouille de noir en-dessous et limite tu appuyes ton zénithal de blanc.
- Apothecary white pinceau bien chargé et on essaye si possible de ne pas soulever le pinceau jusqu’à avoir fini la zone ; éponger rapidement les excédents sans trop en retirer et SURTOUT ne pas chercher à rattraper le coup après quelques secondes parce que la contrast marque direct et par la suite c’est une plaie à récupérer les traces.
- Dans les creux et plus précisément sous les creux/plis (ex tissu) glacis/lavis contrôlé d’une contrast type SW grey ou autre pour venir mettre de la teinte.
- Reliefs repris au blanc voire à l’ivoire pour remettre de la teinte et ça devrait le faire.
Je me permets une p’tite pause « plaisir » avec 2 figs et 7-8 tubes de SC75 Artist.
J’ai encore un peu de boulot au blanc et re délimiter au noir avant d’y mettre les bases.
La scifi j’ai probablement trop poussé mon zénithal blanc, mais tu peux voir comment je reprends au blanc sur mon preombrage :
Là sur la p’tiote c’est notamment au niveau du tissu:
J’oubliais !
Ça va faire presque 1mois qu’en bon vieux con j’ai enfin accepté de retenter l’expérience du chiffon plutôt que le sopalin pour virer le trop plein du pinceau et refaire la pointe à chaque fois: quel con! Mais pourquoi ai-je mis autant de temps à ne pas laisser tomber le sopalin !
J’arrive très très largement mieux (c’est dire!) à gérer ma peinture dans le pinceau, là où le sopalin m’enlevait très rapidement l’humidité, et au final je ne flingue pas si vite le 2nd chiffon et surtout j’ai repris du plaisir à ne pas m’énerver à galèrer avec un pinceau pas assez humide ou trop humide ou revenir 3-4 fois à la palette en re nettoyant le pinceau! ^^
Pour ma part:
- Je me rends compte qu’à utiliser des contrats je fais « méthodiquement » un preombrage trop appuyé… et je dois récupérer derrière au pinceau.
- J’oublie de mieux hiérarchiser mes lumières en dirigeant sur 1-2 point(s) focal(aux).
Ex sur la p’tiote:
- Plus gris en bas (je pense faire la bure blanche), gris clair en haut et blanc visage, pour remonter la lecture sur le visage et probablement blanc sur les mains pour amener sur le sabre avec peut-être un osl?
Bonne peintouille