Alors j'ai posté ma participation, mais il n'y a pas de bouton enregistrer. Ce qui fait que la site à validé un texte non terminé et je n'arrive pas à la changer.
Je mets ici la version finale.
Cela faisait environ cinquante-deux heures que kolgok montait la garde devant la lourde porte de bois ferrée de lourds boulons et surmontée d'un visage grimaçant cuivré.
Il sentait les effluves morbides émaner de son armure. Sa conscience était plongée dans un brouillard nécrotique, duquel apparaissaient de temps à autre des formes nuageuses issues de son ancienne vie. Il était plongé dans une douleur réconfortante.Les corps lourdement armurés des deux gardes totalement immobiles contrastaient avec les tics qui agitaient les visages grimaçant qui habitaient leur bouclier. Un œil clignait, une langue sortait, un grincement ricanant venait par moment déranger le lourd silence du couloir...Soudain la porte de bois s'ouvrit dans un énorme fracas et une voix grinçante foudroya les lieux.
" Kolgok, Ona, suivez-moi, larves moribondes! J'ai enfin trouvé où elle se terre!"
Je mets ici la version finale.
Cela faisait environ cinquante-deux heures que kolgok montait la garde devant la lourde porte de bois ferrée de lourds boulons et surmontée d'un visage grimaçant cuivré.
Il sentait les effluves morbides émaner de son armure. Sa conscience était plongée dans un brouillard nécrotique, duquel apparaissaient de temps à autre des formes nuageuses issues de son ancienne vie. Il était plongé dans une douleur réconfortante.Les corps lourdement armurés des deux gardes totalement immobiles contrastaient avec les tics qui agitaient les visages grimaçant qui habitaient leur bouclier. Un œil clignait, une langue sortait, un grincement ricanant venait par moment déranger le lourd silence du couloir...Soudain la porte de bois s'ouvrit dans un énorme fracas et une voix grinçante foudroya les lieux.
" Kolgok, Ona, suivez-moi, larves moribondes! J'ai enfin trouvé où elle se terre!"