Alors quelques lectures récentes... plus ou moins...
- 1793, Niklas Natt och Dag. Un bon polar dans le Stockholm de la fin du XVIIIe, une ambiance pesante, crade, faut s'accrocher...
- Un long voyage, Claire Duvivier. De la bonne fantasy avec une histoire bien menée, ça se lit bien.
- Lazare en guerre, Jamis Sawyer. De la SF, l'univers décrit est assez intéressant, notamment le fait que les héros s'incarnent dans ses "simulants" des êtres de chairs et d'os qu'ils contrôlent à distance pour effectuer des missions militaires qui finissenr en général par la mort des simulants.... mais j'ai trouvé que l'histoire en elle-même était pas folichonne. Pas mauvaise. Bon, c'est le tome 1, les deux autres apporte peut être une dimension supplémentaire à l'ensemble.
- Les sept vies d'Evelym Hardcastle, Stuart Turon. Génial. Un putain de roman parfaitement maîtrisé et qui "joue" sur le principe de la boucle temporelle.
- Les miracles du bazar Namiya, Keigo Higashino. Un joli conte moderne et une réflexion sur la vie tout simplement.
- Le roi n'avait pas ri, Guillaume Meurice. Caustique et jubilatoire, une histoire d'un fou et une réflexion sur l'humour.
- La boîte à magie, Lackberg et Fexeus. Polar suédois. Pas mal, une héroïne qui sort de l'ordinaire, une enquête pas trop mal menée. Pas extraordinaire mais ça se laisse lire.
- Semiosis, Sue Burke. Roman de S qui réfléchit aux différences formes de conscience et à l'avenir de l'Humanité. Au final, j'ai été un peu déçu car je trouve que le livre s'arrête quand les choses devenaient intéressantes...l'auteure aurait pu se projetter encore plus loin dans le futur.
- L'apothicaire, Henri Loevenbruck. Un roman historique où l'on suit la quête d'un apothicaire. Bien écrit, les personnages sont assez plaisants, l'action est bien présente. Plutôt bon.
- un océan de rouille, Robert Cargill. Excellent. Un roman posta-apo très original. Un pe udéçu par la fin mais ça reste un très bon bouquin. A lire.
- Mamie Luger, Benoît Philippon. Une histoire décalée où l'héroïne, une centenaire, raconte sa vie. Derrière l'ambiance à la Audiard et façon comédie française à punchline se cache une réflexion sur la nature humaine.
- L'espace d'un an, Becky Chambers. Et donc, ce roman a obtenu le prix Hugo... hum hum... ok. Je n'ai pas aimé. Au final, il ne se passe... presque rien. L'action de la totalité du roman pourrait presque se résumer en trois pages. L'autrice passe le plus clair de son temps à détailler les relations entre personnages afin de faire passer son message pacifiste, bienveillant et tolérant (le bouquin peut facilement coller un facho en PLS, c'est un bon point cela dit). C'est dommage que le volonté de l'autrice de mettre en avant ses convictions pro-LGBT, anti-raciste, antispéciste,féministe etc se fassent au détriment de l'histoire et des personnages. Car l'univers qu'elle bâtit et certains personnages (le docteur Miam par exemple) laissent entrevoir de belles possibilités non exploitées.
- Un étranger en Olondre, Sofia Samatar. Et donc, ce roman a obtenu le World Fantasy Award... hum hum... ok. Bon, j'exagère. C'est un bon bouquin mais qui ne m'a pas totalement convaincu (pas au point d'en faire un potentiel vainqueur d'Award...). C'est bien écrit et on est certes transporté dans le monde original que met en scène l'autrice mais, j'ai, tout au long du roman, eut une sensation d'être... mal à l'aise, oppressé, déboussolé (un peu comme les personnages principaux...).
(Modification du message : 06-12-2023, 19:39 par Cyrus33.)
- 1793, Niklas Natt och Dag. Un bon polar dans le Stockholm de la fin du XVIIIe, une ambiance pesante, crade, faut s'accrocher...
- Un long voyage, Claire Duvivier. De la bonne fantasy avec une histoire bien menée, ça se lit bien.
- Lazare en guerre, Jamis Sawyer. De la SF, l'univers décrit est assez intéressant, notamment le fait que les héros s'incarnent dans ses "simulants" des êtres de chairs et d'os qu'ils contrôlent à distance pour effectuer des missions militaires qui finissenr en général par la mort des simulants.... mais j'ai trouvé que l'histoire en elle-même était pas folichonne. Pas mauvaise. Bon, c'est le tome 1, les deux autres apporte peut être une dimension supplémentaire à l'ensemble.
- Les sept vies d'Evelym Hardcastle, Stuart Turon. Génial. Un putain de roman parfaitement maîtrisé et qui "joue" sur le principe de la boucle temporelle.
- Les miracles du bazar Namiya, Keigo Higashino. Un joli conte moderne et une réflexion sur la vie tout simplement.
- Le roi n'avait pas ri, Guillaume Meurice. Caustique et jubilatoire, une histoire d'un fou et une réflexion sur l'humour.
- La boîte à magie, Lackberg et Fexeus. Polar suédois. Pas mal, une héroïne qui sort de l'ordinaire, une enquête pas trop mal menée. Pas extraordinaire mais ça se laisse lire.
- Semiosis, Sue Burke. Roman de S qui réfléchit aux différences formes de conscience et à l'avenir de l'Humanité. Au final, j'ai été un peu déçu car je trouve que le livre s'arrête quand les choses devenaient intéressantes...l'auteure aurait pu se projetter encore plus loin dans le futur.
- L'apothicaire, Henri Loevenbruck. Un roman historique où l'on suit la quête d'un apothicaire. Bien écrit, les personnages sont assez plaisants, l'action est bien présente. Plutôt bon.
- un océan de rouille, Robert Cargill. Excellent. Un roman posta-apo très original. Un pe udéçu par la fin mais ça reste un très bon bouquin. A lire.
- Mamie Luger, Benoît Philippon. Une histoire décalée où l'héroïne, une centenaire, raconte sa vie. Derrière l'ambiance à la Audiard et façon comédie française à punchline se cache une réflexion sur la nature humaine.
- L'espace d'un an, Becky Chambers. Et donc, ce roman a obtenu le prix Hugo... hum hum... ok. Je n'ai pas aimé. Au final, il ne se passe... presque rien. L'action de la totalité du roman pourrait presque se résumer en trois pages. L'autrice passe le plus clair de son temps à détailler les relations entre personnages afin de faire passer son message pacifiste, bienveillant et tolérant (le bouquin peut facilement coller un facho en PLS, c'est un bon point cela dit). C'est dommage que le volonté de l'autrice de mettre en avant ses convictions pro-LGBT, anti-raciste, antispéciste,féministe etc se fassent au détriment de l'histoire et des personnages. Car l'univers qu'elle bâtit et certains personnages (le docteur Miam par exemple) laissent entrevoir de belles possibilités non exploitées.
- Un étranger en Olondre, Sofia Samatar. Et donc, ce roman a obtenu le World Fantasy Award... hum hum... ok. Bon, j'exagère. C'est un bon bouquin mais qui ne m'a pas totalement convaincu (pas au point d'en faire un potentiel vainqueur d'Award...). C'est bien écrit et on est certes transporté dans le monde original que met en scène l'autrice mais, j'ai, tout au long du roman, eut une sensation d'être... mal à l'aise, oppressé, déboussolé (un peu comme les personnages principaux...).