Citation :Etant jeune, je n'aimais pas la poésie car elle m'était imposée et j'étais incapable d'en ressentir les émotions.
La plupart des gens deviennent réfractaires à la poésie au niveau collège (après l'avoir grandement apréciée et apprise par coeur dans les classes précédentes). C'est en général à partir du lycée, et en même temps que la maturité vient, que le goût pour la poésie se développe, ou du moins n'est plus une simple aversion.
Citation :Je te propose ceci :
Sous les coups, elles se tassent et gémissent
Ca me plaît bien. L'explication que tu en fait est, de plus, pertinente. Je l'édite, donc.
Citation :Ma lecture n'a hésité à aucun autre endroit
Pour ma part, la chose qui me gêne le plus est l'effet cliché (rancunes, marteau, runes) que j'ai essayé d'éviter au mieux. Mais en même temps, on aurait du mal à parler d'un nain sans son marteau.
Il y a trois vers dont je suis fier:
Citation :Leur or devient stuc alors qu’ils s’endorment
D'agréables assonances en "or" qui sont d'ailleurs tombées à pic par hasard.
Citation :L’air et la pierre et s’abat puissamment
Pour sa "fluidité", il s'enchaîne bien avec celui d'avant.
Citation :Qui s’enchevêtrent dans l’écheveau du destin
Un peu copié sur "Tant l'écheveau du temps lentement se dévide" de "De profundis clamavi" de Baudelaire. Mais à ma façon, disons.
Le reste, selon mon, ne sert que d'écrin ou de déco autour de ces trois vers, surtout au début.
Tenez, j'en ai encore un autre en réserve, qui est peut être déjà vu. Mais après on va dire que je floode.