Une dramaturgie en 20 actes, issue du répertoire trop souvent boudé des cabarets du Bas-Duniash. Pourtant, chez Dame Luccia où cette prose fut longtemps affichée tous les jeudis, la patronne, affectueuse comme peuvent l'être les ruminantes dont elle avait le poids (pour qui savent cependant en être le lait plus qu'en trayer les larmes), on offrait les consommations dès l'acte 15ème, et la volupté des charmes pour ceux qui parvenaient jusqu'au final. Ceux-là seuls pouvaient alors dire, et cela suffisait à en pénétrer l'exploit : "la Grosse Lulu, j'y étais."
KDJE