Si vous voulez lire la suite passez les commentaires qui suivent ils ne sont pas primordiaux, ca commence 15lignes plus loin.
Bon j'ai pris note des commentaires de patatovitch (qui apparement n'apprecit pas trop mon voisin du dessus.
Je t'en remerci et j'ajoute juste que je cherche une solution pour isoler un peu mon monde du couroux de l'imperium qui ne soit pas une tempete warp parce que c'est un peu devenu le moyen de tout legitimer dans le fluff sans trop se prendre la tete. La je suis plutot partant pour un monde de la bordure de la galaxie mais faut que je fasse quelques recherches pour finaliser.
Alors j'ajoute la suite en esperant qu'au moins deux ou trois personnes me liront
----------------------------------------------------------------------
Après être passé au travers d'un étroit défilé le peloton du Capitaine Letevain déboucha sur ce qui ne devait être il y a de cela 24 heures qu'une plaine vide au milieu de la forêt, avec un étang vaguement circulaire sur la droite presque en bordure des arbres. Il y avait également, au centre de la plaine une vielle épave de véhicule de surveillance loyaliste que les organisateurs s'étaient bien gardé d'enlever, la symbolique étant trop belle.
Mais voilà, aujourd'hui cet endroit avait quelque chose de plus que d'habitude. C'était devenu, depuis les quelques heures qui nous séparaient de l'aube, le point de ralliement de la quasi totalité des troupes de libération de la région. Tous les pelotons dont le maintien en position n'était pas strictement nécessaire avaient été invité à rejoindre les lieux. Ceux ci avaient tous répondu à l'appel de leur chef, le Général Anton Akaeran.
Le peloton avait perdu du temps après leur escarmouche contre les loyalistes et, lorsqu'ils sortirent du défilé, ils ne purent que constater l'ampleur du rassemblement.
-"Putain j'pensais qu'on s'rait nombreux mais là j'suis sur le cul! Z'avez vu l'peuple."s'exclama Sabien, exprimant à sa manière ce que tous les autres pensaient.
-"Tu pourrais peut être essayer de parler correctement avant que tout le monde nous classe dans la catégorie des gros rustres de province" fut la seul réponse qu'il entendit de la part du Capitaine, les autres restant bouche bée devant le spectacle. C'était tout simplement des millier d'hommes qui attendait là, passant le temps à discuter ou à nettoyer leurs armes pour les plus zélés. Certains avaient entrepris des parties de cartes et jouaient sans doute un peu d'argent ou du tabac.
Sur le coté, des hommes aux commandes de Sentinelle déblayaient les restes d'arbres qu'on avait dû couper pour faire de la place. Au même moment, dans le font les tanks manœuvraient bruyamment retournant la terre meuble à chacun de leurs virages et créant des ornières a cause de leurs chenilles.
C'était ça qui impressionnait le plus le Capitaine. Il avait pourtant participé à de nombreuses batailles aux cotés de ces monstres d'acier mais à chaque fois il ne pouvait réfréner un sentiment d'admiration mêlé de crainte. Et encore, ceux la n'avaient pas fait tonner leurs canons.
Après plusieurs manœuvres, deux transports de troupe Estragone vinrent se positionner cote à cote et des hommes commencèrent à installer une sorte de pont fait de large planche de bois entre les deux, constituant ainsi ce qui aller devenir le parloir de fortune du Général.
Après avoir pris quelques instants pour savourer le spectacle le peloton continua de progresser, passant à travers ceux qui étaient arrivés depuis un moment et qui avait pris leurs aises dans un coin de la plaine. Ici et là des membres du peloton reconnaissaient un vieux copain ou un parent et le capitaine les autorisait alors à aller les saluer.
Après avoir parcouru une centaine de mètres, Cyriaque et Flati reconnurent une vielles connaissances et n'attendirent même pas l'accord de leur chef pour se précipité a leur rencontre.
-"Putain, vieux frère mais comment un abruti comme toi peut encore être en vie?"demanda Flati à un homme assis par terre en train de discuter.
En ce levant d'un bond l'homme en question répondit :
-Et ouai mon pauvre, toujours là, et l'loyaliste qui réussira a m'foutre par terre est pas encore de c'monde."
-"Ah! putain ça fait plaisir de te voir, ça fait quoi, 3 ans maintenant? Demanda Cyriaque en lui tendant la main.
-Ouai ça doit être ça, d'puis que not' peloton a été redistribué.
-Et t'es où maintenant?
-Ben la on s'occupe de la zone à l'est de Stirnon avec le 72eme. D'ailleurs faut que j'vous présente".
-"Eh les gars, c'morceau d'barbaque informe c'est Cyriaque et l'autre qu'a plus d'dents c'est Flati, on était ensemble avec le 7eme jusqu'à ça qu'on se fasse prendre dans une méchante embuscade et qu'ils redispatch les survivants".
A ces mots les autres se regardèrent puis les saluèrent avec un peu de respect dans la voie car tous avaient plus ou moins entendu des rumeurs sur le 7eme. Une seul chose était sûre, c'était que ceux du 7eme était aujourd'hui des vétérans qui avaient connu les début de la résistance comme tout les membres des 10 premiers régiments.
Les deux hommes entendirent un coup de sifflet bref et strident et comprirent sans même se retourner que le Capitaine leur ordonnait de rejoindre le groupe.
-"Bon Phil, content de t'avoir revu entier et p't être qu'on pourra se retrouver un de ces jours. Faut qu'on y aille, Cap'tain Letevain à l'air pressé."
A l'évocation de se nom les hommes du 72eme se retournèrent pour voir enfin celui sur qui une fois de plus les rumeurs circulaient mais ils furent déçu car il avait déjà tourné le dos et il ne purent simplement voir que sa silhouette massive.
Les deux hommes rejoignirent au pas de course le reste de leur peloton sans même prêter attention aux murmures que leur dernière phrase avait entraîné.
-"Bon je vais rejoindre le QG pour annoncer notre arrivé et pour nous faire référencer. Pour vous c'est quartier libre pendant une heure comme ça vous pourrez vous reposer et manger quelque chose". annonça le Capitaine. "On se retrouve ici dans une heure précise"
Le simple fait d'apprendre qu'ils allaient pouvoir reprendre un peu des forces soulagea tout le monde. Il se dispersèrent donc en petits groupes pour rejoindre les différents point de restauration et apprendre toutes les nouvelles qui circulaient en ce moment et tenter d'en apprendre un peu plus sur la raison d'un tel rassemblement.
Le Capitaine Letevain quant à lui rejoignit le bâtiment monté à la hâte ce matin et qui servait de point d'enregistrement pour tous les nouveaux arrivant.
Les gardes d'honneur qui en surveillaient l'entrée le reconnurent et le saluèrent avec en empressement quelque peu excessif ce qui ne lui plaisait pas outre mesure. Il disait même détester tous les protocoles qui avait cours dans les plus hauts cercles. Pour lui, la guerre c'était son métier et ça ne justifiait pas autant d'honneurs à ces yeux.
A l'intérieur s'affairaient un grand nombre de scribes et autres officiers chargé de l'organisation et du recensement des forces présentes. A leur vu le capitaine compris que ce qui semblait être un rassemblement spontané avait nécessité une infrastructure et un gestion colossale. Il s'annonça et, une fois de plus, à l'évocation de son nom toutes les personnes présentes se retournèrent. Le garde auquel il s'été adressé s'empressa de le conduire au prés du général.
-"Ah, cher Cillier vous êtes enfin arrivé!" S'exclama le Général, l'un des seuls a oser encore l'appeler par son prénom."la fête n'aurait pas été totale sans vous. Votre voyage s'est bien passé?"
-"Eh bien je ne crois pas qu'on puisse vraiment dire ça, on est tombé sur une patrouille et j'y ai laissé huit de mes hommes" lui répondit le Capitaine d'un air sinistre.
-"Ah, c'était a prévoir, vous n'êtes pas les seuls à être tomber sur des loyalistes. Avec de tels mouvements ils se doutent forcement de quelques choses".
-"Espérons au moins qu'ils n'arriveront pas jusqu'ici avant notre départ".
-"Oh pour cela nous avons pris nos précautions et les postes de garde ont été doublé dans tout le secteur. Et puis vous savez, le fait qu'ils soient partiellement au courant ne fait que renforcer notre ascendant psychologique."
Après avoir discuté de chose et d'autre le capitaine pris enfin l'initiative de poser la question qui lui brûlait les lèvres :
-"Et qu'elle grande nouvelle nécessite un tel rassemblement?"
-"Ah! Je vous propose de découvrir cela avec le reste des troupes. Je vais d'ailleurs aller me préparer, ce discours sera sans nul doute le plus important de ma vie car il engage celle de millier d'hommes. Vous connaissez sans doute le petit pincement au ventre mélange de stress et d'euphorie que l'on ressent avant de débarquer d'une Estragone au milieu d'un champ de bataille."
-"oui je vois a peu prés" répondit le capitaine qui comprenait ou il voulait en venir
-"Et bien là c'est pire" rajouta le Général avant de conclure en riant."A tout a l'heure!"
Après cette discussion le Capitaine du faire la queue un moment pour se faire enregistrer auprès de scribes et après une vingtaine de minutes pût ressortir pour goûter un peu de repos lui aussi.
Lorsqu'il passa le seuil, la chaleur se rappela douloureusement à lui et il s'empressa de rejoindre l'ombre d'une des cantines de campagne. Il attendit ici un moment répondant souvent à des saluts de gens qu'il ne connaissait que de vue et, quelques minutes avant l'heure fixé il se rendit au point de rendez vous où l'attendait déjà la majeurs partie de son peloton.
Alors que les derniers hommes du Capitaine arrivaient, le tocsin sonna appelant tous les régiments devant l'estrade par ordre d'enregistrement et en quelques minutes seulement les millier d'hommes se mirent en ordre militaire devant les deux tanks qui servait de promontoire.
A cet instant précis le futur était en marche, le général monta sur l'estrade et sous les clameurs de tous les hommes il lança ses premiers mots :
-"Mes amis la victoire est proche!".
-----------------------------------------------
Et voila, bientot la suite...(parce que bien sur vous vous demander mais qu'a fait le capitaine pour meriter autant de consideration, et qui est le général, et comment la rebelion a debuté...)