Citation :
il y a une heure, Egill a dit :
La Belgariade, j'en avais entendu que du bien, et j'ai pas dépassé la 100ème page je crois... I-N-S-U-P-O-R-T-A-B-L-E
ça m'avait bien plus à 15 ans (Zi aventure !) et quand je l'ai relu 10 ans après, ça m'était tombé des mains (tous les personnages sont des archétypes de caricatures).
Mais quand on cherche plus l'aventure que la cohérence, ça reste suffisamment épique.
Mon propos était plutôt lié à la "facilité d'accès" du livre avec l'expérience de mon fils (8 ans, donc).
Harry potter, on a juste du faire l'effort de lui faire tenir le livre une dizaine de pages le temps qu'il devienne accroc (et lecteur par la même occasion donc c'était un super deal).
La Belgariade, je lui ai vendu le côté épique et il a bataillé jusqu'à la page 100 environ, lorsqu'ils partent enfin de la ferme où le héro avait grandi caché. ça commence à aller mieux mais il va nettement moins vite que pour HP.
En terme de langage, de rythme, de description, Rowling a rendu son livre bien plus accessible à la jeunesse qu'Eddings.
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A ce titre je vous recommande avec vigueur Mr Jean Philippe Jaworski.
J'aurais mis Janua Vera ou Même pas mort entre les mains de mon fils, je ne le revoyais plus lire un livre avant une bonne dizaine d'année.
Pareil pour le Silmarilion ou le Seigneur des Anneaux.
C'est exactement le même propos que pour Harry Potter : ce ne sont pas des livres jeunesses, ce qui n'est pas négatif en soit.
Il n'y a pas les mêmes qualités dans Harry Potter que dans le Seigneur des Anneaux.