le seul commentaire que je peut te faire est : C'EST SUPER CONTINUE! ton histoire a, comment dire "un fond" je sais pas comment expliquer...
si tu pouvait me l'envoyer sous format word... mon adresse est dans mon profil
puis ca chande de Hedgad Poe et Voltaire pour le lycee
ha, juste un truc, c'est un peu etonnent que des troufions suivent leur capitaine dans la salle de reunion...
en general on les fait patienter dans leurs quartiers...
may ze ecriture will be wif you
aller on continu
voila la suite
désolé je sais c'est un peu long et du coup je crois que personne ne lit apart babybelius.
Alors je continu pour lui.
Dans cette partie je risque de passer pour un dangereux heretique du fluff mais bon je prend le risque.
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Les deux hommes suivirent les longs couloirs aux parois métalliques. Dans cet univers si éloigné de celui qu'il habitait d'ordinaire Letevain fut surpris de trouver, volant en petits groupes, une sorte d'insecte particulier. Ce devait être une espèce de libellule mais qu'il n'avait jamais vu auparavant. Il interrogea le Général qui lui répondit que c'était une expérience qui leur avait un peu échappé mais que tout le monde avait fini par s'y habituer et que ça rajoutait une touche de vie.C'était justement le sentiment qu'avait ressentit Letevain en les voyant voler comme si de rein était au milieu de cet univers de métal.
En continuant leur progression ils arrivèrent dans une nouvelle zone dont les murs d'adamentium laissaient par endroits la place à des niches vitrées où étaient exposé d'étranges artefacts dont le capitaine ne put définir la provenance. Le général ne lui laissa pas le temps de s'y attardé lui disant qu'il aurait bientôt accès aux originaux. Ils continuèrent donc leur chemin jusqu'à rejoindre une petite salle aménagée en salon d'un confort insoupçonné ici. Le général l'invita à s'asseoir à la grande table de bois qui était déjà dressé pour cinq couverts.
Pendant ce temps les hommes du peloton avait déjà fini leur repas au réfectoire. Ils avaient pu voir un grand nombre de soldat de la garde d'honneur et des forces spéciales. Ils étaient les seul ici à porter leur vieil uniforme, celui de la résistance, juste fait d'un treillis. Les autres étant soit en uniforme de revue soit possédaient un uniforme bien plus récent et perfectionné disposant de plaques d'armure et de gilets par balles.
Sabien ne put s'empêcher de penser que de tels équipements seraient bien plus utile sur le front qu'au font d'un puis fortifié. En effet aucun des hommes du peloton n'avait encore combattu aux coté de ces soldats et ils se demandaient ce que pouvait bien être leurs fonctions au sein de la résistance.
Après avoir terminé leur repas, l'officier qui les avait guidé jusque là et qui les attendait, les conduisit jusqu'à leur dortoir. Celui-ci combla largement les attentes des soldats et ils ne furent pas long à s'y plonger. Même si tous étaient submergé d'interrogations le sommeil les dissuada d'entamer un débat sur le sujet. Ils attendraient maintenant demain pour avoir les réponses qu'on leur avait promis.
Le capitaine, lui, n'aurait pas à attendre le jour suivant pour en savoir plus. Dans le salon où ils dînaient le général avait déjà entamé ses explications.
-"Vous voyez Cilier, la résistance a su se doter, avec une infrastructure comme celle là, des moyens nécessaires à ses ambitions" commença le général avec un accent de fierté dans la voix.
-"Oui, je suis impressionné"
-"Et encore, vous n'avez vu la que la partie émergée de l'iceberg si je puis me permettre cette expression à cinq cent mètres de profondeur. La partie la plus intéressante se situe dans les niveaux du bas. La bibliothèque que vous avez vu est certes la plus grandes mais les domaines les plus prometteurs sont étudié jour et nuit aux niveaux 6 et 7.
-"Vous savez je crois que vous allez devoir me raconter beaucoup de chose car là, je dois avouer que la situation me dépasse."
-"Oh nous avons le temps et je préfère attendre que quelques personnes nous rejoignent pour commencer les explications. Au fait vous savez que vous occupé dorénavant la troisième place au rang des personnes les plus recherché par les loyalistes"
-"Ah, mais c'est un honneur, et qui devrai-je détrôner pour arriver en tête?" demanda le capitaine amusé.
-"Et bien moi et un ami qui devrait nous rejoindre d'ici peu. Les trois dans un même bureau entrain de profiter d'un bon repas, cette simple idée rendrait fou un agent des renseignements loyaliste. Ajouta le général avec un sourire.
-"Enfin je pense tout de même qu'un homme de votre stature représente une plus grande menace qu'un simple capitaine" Repris Letevain plus sérieusement.
-Vous savez il ne faut pas négliger le prestige dont vous disposez auprès des hommes. Et puis la mort de son fils et futur successeur n'a pas vraiment plut au Commandeur".
-"Ahh! Ce chien n'a eu que c'qu'il méritait" s'emporta Letevain avant de se calmer.
Le capitaine n'aimait pas évoquer ce sujet. C'était pourtant le jour ou il avait gagné sa notoriété dans le monde des résistants.
A cette époque, il dirigeait encore le 7éme régiment, et la résistance n'était pas implantée comme elle l'est aujourd'hui. Un peloton loyaliste d'une centaine d'homme avait été repéré dans la région et avait mis à feu plusieurs villages en représailles de désertion dans les troupes du commandeur. Lorsque les sentinelles, qui assuraient la surveillance du camp des résistants, s'aperçurent de l'arrivé des troupes c'était déjà trop tard pour prévenir des renforts et le Capitaine pris la décision d'abandonner le camp qui de toute façon serait perdu. Il préférait porter le combat dans la foret et les collines alentours où ils avaient une chance malgré la supériorité numérique. Les loyalistes arrivèrent dans le camp vide et le détruisirent comme ils l'avaient fait pour les villages. Puis ils entreprirent d'en retrouver les occupants.
S'en suivit une semaine de guérilla dans la forêt. Les hommes du capitaine devaient se battrent à un contre deux mais il résistèrent une semaine entière en harcelant la colonne et en repartant se cacher aussitôt dans les profondeurs de la végétation. Mais, au fur et à mesure, les pertes devenaient de plus en plus importantes et il ne resta bientôt plus que dix hommes autours du capitaine. Ils s'étaient retranchés loin dans les collines et attendaient l'ultime attaque. Il restait alors encore une quarantaine de loyalistes dirigés par un gradé que les résistants avaient identifié comme un notable à cause de son uniforme.
A la fin du neuvième jour débuta la dernière escarmouche. Elle dura toute la nuit, les résistants s'étant installé dans une ligne de fortification constitué de deux bunkers reliés entre eux par une tranchée d'un cinquantaine de mètres au sommet d'un colline boisée. Les assauts répétés et les obus de mortier finir par détruire l'un des bunkers tuant ses trois occupants. La situation devenait critique même si les pertes ennemies avait aussi augmenté et l'attaque organisée s'était transformé en une sorte de bataille comme celles qui ont lieu entre gangs au fond des cités ruches.
Finalement les loyalistes se rapprochèrent suffisamment pour lancer un ultime assaut et tenter de déloger les résistants au corps à corps. Il s'en suivit une terrible mêlée. Les deux gradés se retrouvèrent face à face et Letevain reconnu enfin sont adversaire. C'était le propre fils du commandeur avec qui il avait fait une partie de ses études. Le duel dura un long moment au bout duquel par sa maîtrise de l'épée le Capitaine réussi à blesser son adversaire. N'écoutant pas les plaintes et les suppliques du vaincu il lui transperça la cage thoracique lui volant son dernier souffle.
Le cri de douleur fit se retourner les derniers combattants des deux camps. Il ne restait plus que trois hommes du capitaine et deux loyalistes qui, se sachant perdu, se rendirent. Ils espéraient sans doute leur grâce mais le capitaine en fit exécuter un sur le champ ne laissant en vie le dernier que pour aller rendre compte de ce qui s'était passé.
Les trois hommes qui avaient survécu n'étaient autres que Cyriaque, Flati et Phil. Ce dernier, lorsqu'on avait dû réintroduire les survivants dans d'autres unités avait décidé de rejoindre sa région d'origine près de Stirnon.
Depuis ce jour le Capitaine était activement recherché par les troupes du commandeur qui voulait venger la mort de son fils. Après cet évènement et pour le protéger on lui avait proposer de le nommé colonel et de rejoindre le Commandement mais il avait préféré reformer un nouveau régiment et c'est ce qu'il avait fait symboliquement avec le 77éme.
Le général repris ses explications sur l'origine et la construction de cette incroyable vaisseau souterrain.
Elle avait débuté bien avant que la résistance armée s'organise et que lui même soit chargé de l'organiser.
Au départ ce n'était qu'un réseau de quelques salles d'où l'on accédait par la surface en suivant un long tunnel depuis le montagne de Wis-Tarku. Et puis, au fur et à mesure, le réseau s'était élargi et il avait fallu répondre aux besoins. Il existait d'ailleurs encore maintenant de nombreux chantiers. Il fallait toujours plus de cuves hydroponiques pour la nourriture et d'atelier pour la fabrication de l'équipement. Le but était d'être presque indépendant de la surface pour limiter au maximum les échanges qui risquaient d'attirer l'attention.
Au moment où il finissait d'expliquer comment était réparti les niveaux trois hommes entrèrent dans la salle.
-"Ah, mes amis, nous vous attendions"
En se retournant le capitaine ne pu voir, dans un premier temps, que le premier, les deux autres restant un peu en retrait derrière la porte. Il était vêtu d'une large tunique pourpre très richement décoré de rune dorées. Il était suffisamment grand pour boucher une partie de la porte et les deux personnes qui était derrière lui.
Son visage avait quelque chose que n'ont généralement pas les gens de son age. En effet il ne devait avoir guère plus de cinquante ans mais l'expression de son visage et quelque chose dans son regard laissait transparaître une grande sagesse comme on trouve parfois sur des vieillards approchants les cent cinquante ans.
La voix de l'homme ne fit que renforcer cette impression, il parlait d'un voix basse, très grave et pourtant parfaitement audible. Il avait un accent particulier ou, pour être exact, un mélange d'accent comme certains capitaines de croiseur commerciaux qui parcourent l'univers pour vendre leurs cargaisons.
-"Bonjour, j'imagine que vous êtes le Capitaine Letevain, soyez le bien venu ici, j'espère que vous êtes bien arrivé?".
Au moment où il disait ces mots celui que le général avait appelé Nathanaël avança vers la table et le capitaine pu enfin voir les deux hommes qui étaient derrières.
Cette vision lui interdit toute réponse aux salutations. Ceux qu'il avait pris pour des hommes au départ étaient en fait deux extraterrestres. Bien que presque humain dans leur apparence physique, certains détails trahissaient leurs origines. Il était très élancé presque fluet au vu des critères humains mais une réelle impression de force se dégageait de leur mouvement. Leurs vêtements coloré suivaient chacun de leur déplacement en créant autours d'eux une étrange impression de floue. Les deux eldars, car c'était bien des eldars qu'il avait en face de lui entrèrent donc dans la pièce en le saluant. Leur voix laissait exactement le même sentiment de délicatesse et de tranquillité que le reste de leur attitude. Ainsi, bien qu'il fut terriblement désarçonné par la rencontre d'être qu'il n'avait vu que sur des dessins, il se ressaisi très vite et se leva pour saluer les trois personnes.
-"Bonjours, je suis le Capitaine Letevain, du 77eme régiment de force de résistance mobile"
Les autres eurent un sourire et le Général lui avoua qu'il n'avaient pas besoin de se présenter, que s'il était arrivé jusqu'ici, c'est que tous le connaissait déjà très bien.
Tous se ressayèrent à la table, le capitaine à une extrémité en face du Général et les trois nouveaux arrivant prirent place de part et d'autre.
-"Bon cette fois, nous allons pouvoir vous raconter.
-Commençons par les presentations, Nous avons Nathanaël qui dirige les recherches menées par la résistance. Et puis ces deux personnes sont des émissaires envoyés par le vaisseau-monde eldar de Khiea-Tryh. Ils s'appelle Houex'oh et Ah'tylifa".
Le capitaine écoutait silencieusement ce que lui disait son supérieur et ne dit pas un mot pendant toute l'explication. Le général ralluma le cigare qu'il avait à la main et débuta son récit.
-"Alors, pour reprendre du début, tout à débuté il y a quatorze ans. J'étais alors comme toi un membre de l'armée et je dirigeais une frégate dans les alentours de la lune Zerady, dans le système de Butregade. Pendant cette mission nous avions repéré un objet dérivant dans l'espace que les senseurs avaient identifié comme une mines anti-croiseurs que les orks laissent souvent dans la région.
J'ai donc donner l'ordre de se rapprocher pour l'identifier avec précision et la détruire le cas échéant. Mais lorsque l'équipe de déminage s'est rendu sur place elle a constaté que c'était un structure neutre d'un style qu'ils ne connaissaient pas. Etant curieux de savoir ce que ça pouvait être je l'ai fait ramener sur le vaisseau. C'était un module de petite taille, environs deux mètres cinquante, portant des inscriptions étranges. Le petit laboratoire que nous avions sur la frégate nous permis de faire quelque analyse de datation mais les résultats étaient faut. Enfin, c'est ce que je pensais a l'époque puisque ils indiquaient quarante mille ans pour la fabrication des métaux. Mais le plus intéressant se trouvait à l'intérieur. Ce n'était qu'un sarcophage de métal qui contenait une relique incompréhensible représentant un homme nu, une suite de dessin et de schéma et enfin un support de donné d'un type inconnu. Cet artefact car c'en était bien un m'intriguait énormement et je savais que si je relatais l'événement je n'en aurait plus aucune nouvelle et qu'il irait sans doute rejoindre une pile de débris intergalactique.
J'ai alors pris la décision avec quelques uns de mes proches officiers de taire la découvert, j'ai rejeter le module dans l'espace et je l'ai fait sauter pour le faire passer comme nous l'avions cru au départ pour une mine.
Il ne restait plus que la plaque gravée et le disque de données ce qui me permis de les rapporter discrètement sur Toconou et de les montrer à un de mes amis de l'université, qui n'est autre que Nathanaël".
A ce moment là Nathanaël repris la suite du général et continua de sa voix si particulière les explications.
-"Effectivement, c'est le début de l'histoire pour moi. Lorsqu'il m'a montré ce qu'il avait trouvé je fut subjugué, je n'avais rien vu de pareil et je me suis immédiatement lancé dans des recherches au musée de Ftunista à la capitale. Je n'appris pas grand chose là bas au départ mais petit à petit je réussissait grâce à la complicité de certain gardien à rester des nuit entières dans les archives. J'y ai découvert des choses intéressantes mais pas suffisantes alors j'ai profité de mon poste à l'université pour me rendre sur d'autres systèmes où les ressources étaient plus importantes. Il me fallu 3 ans de recherches pour arriver à la conclusion que c'était un artefact humain datant des toutes premières heures de la conquête spatiale bien avant la découverte du warp.
Mais ces recherches m'ouvrir les portes à une sommes de connaissance bien plus vaste encore. J'ai compris à ce moment là que nous ne savions rien et qu'il existait une somme de savoir incommensurable que les fidèles de l'empereur s'évertuaient à cacher.
Tout au long de mes recherches j'ai tenu informé Anton et d'autres personnes qui ont commencé à se rallier à nos idées. C'est alors formé le premier cercle des "initiés" ou "sages" comme on nous appelle maintenant. Pourtant la seul certitude que nous avions au début c'est que nous ne savions rien.
Il a alors été décidé de lancer un grand programme de recherche pour récolter des informations au dépend de l'Imperium et de ses chiens de garde.
Nous avons alors créé ce qui allait devenir les ordres des Gayash'Tiviq et des Gayash'Yougath.
Ce sont deux mots eldar que l'on pourrait traduire par chasseurs d'idée et chasseur d'antique. Le premier est composé de savants acquis à notre cause qui parcours les salles les plus secrètes des bibliothèques pour en retirer des informations dans tous les domaines des sciences. Ces hommes passent le plus souvent pour des scribes et s'infiltre en toute discrétion mais ils leur faut parfois user de la force pour s'approprier des documents particulièrement. Les seconds recherchent quant à eux des artefacts dont la présence à été évoquer dans certains textes. Ces sans doute la partie la plus difficile du travail car il est beaucoup plus difficile d'agir discrètement. Aujourd'hui le centre de tout ce système est ici, sur Toconou et pour le moment la résistance et la rébellion ne sont qu'une diversion. L'imperium ne dépêchera pas une force d'intervention dans un système si insignifiant pour une rébellion.
Nous avons appris dans nos recherches l'existence de forces au sein de l'Imperium destiné à lutter et anéantir toutes tentative comme la notre et c'est pourquoi nous devons agir dans la plus grande discrétion. Des affrontements entre eux et nous ont déjà eu lieu mais ils n'ont pas conscience de l'ampleur de notre projet et de l'avance que nous avons déjà pris.
Comme vous le voyez nous sommes contraint de vive dans le secret ce qui peut paraître étrange pour des gens dont l'objet et de fournir au monde les clefs de sa délivrance. Cependant de plus en plus de personnes sont instruite même partiellement de ce que nous faisons et de nombreux membre de la résistance rejoignent les forces spéciales ou même un des ordres s'ils sont suffisamment fort".
Le général coupa le sage car il savait que le temps était important et que le capitaine aurait le temps d'approfondir plus tard.
-"Comme l'a dit Nathanaël nos ennemis sont nombreux, très nombreux. La menace qui pèse sur nous va toujours croissante mais nous avons su trouver des alliés. Comme tu le vois nos deux amis appartiennent au vaisseau monde Khiea-Tryh. Nos recherches nous ont mené vers un point commun et il a été juger bon pour les deux parties de s'unir. La collaboration avec ce peuple nous à permis de franchir des étapes insoupçonnées. Il nous aide aussi bien matériellement que culturellement dans notre entreprise.
Les deux personnes qui sont ici sont des émissaires. Et tu dois ta présence ici en partie à eux. Ils savent lire dans le destin mieux que n'importe quel humain et ils ont vu que tu jouerais bientôt un rôle dans leur histoire".
Pour le capitaine ça devenait surréaliste et il se demanda un instant s'il n'était pas entrain de rêver. L'atmosphère était devenu pesante, et l'épaisse fumée de cigare qui emplissait maintenant toute la pièce ne faisait que renforcer cette impression. Le capitaine aurait largement préféré être au grand air, quitte à passé la nuit à la belle étoile.
-"Je sais que tout ça fait beaucoup d'un seul coup mais il vous faut admettre votre destin et de vous rendre à l'évidence"
-"Et bien en effet, j'avoue que vos explications ne m'ont pas vraiment rassuré".
-"Vous savez normalement nous prenons plus de temps pour expliquer tout cela au nouveaux venus mais vous êtes quelqu'un de fort et il va vite falloir que vous preniez vos nouvelles fonctions."Ajouta Nathanaël.
Les deux eldars qui n'avaient encore rien dit se dire quelques mots dans leur langue que le sage semblait comprendre. Nathanaël fit un signe de tête et en se levant dit qu'il ne fallait pas non plus brusquer les chose et que le mieux maintenant été sans doute d'attendre le lendemain pour entreprendre la visite des niveaux inférieurs.
Les deux eldars quittèrent donc la pièce bientôt suivit du sage dans la toge.
-"Très bien Cilier, vous avez franchi le seuil, maintenant il vous reste un immense palais à visiter"
Le capitaine se rendit du terrible double sens de la phrase.
-"Vous savez je crois qu'un peu de repos me permettra de reprendre un peu pied.
-"C'est certain, il y a une chambre juste à coté. Allez vous coucher. Je vais régler quelques affaires, on se voit demain matin".
Letevain rejoignit la pièce que lui avait indiqué le général et s'empressa de se coucher, il s'endormis aussitôt sans prendre le temps de faire le tris dans ses idées. A plusieurs centaines de mètres au dessus de sa tête les rayons du soleil rouge de Toconou commençait à pointer.
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Voila, je sais que certain vont crier a la megalomanie et que j'ai aucune chance de survivre ou que m'on histoire si on la croit changerai l'univers entier
Mais bon l'univers c'est grand et je pense qu'il y a suffisament de place pour faire des petit coup de pute en douce.
Voila
j'attend franchement vos critiques et conseil car j'ai tenu compte de ceux qui m'avaient ete fait.
Aller c'est deja asser long comme ca j'arrete.
ouahhhh!!!!c'est excellent!!!!sincérement l'idée de coopération humains-eldars me trottait dans la tete depuis longtemps et force m'est d'avouer que tu l'a fait avec brio!!!
moi aussi je trouve que le régime totalitaire de l'imperium est injuste et indigne d'un esprit ouvert, mais bon faut bien s'y plier....mais on peut faire quelques modifs.....non?
allez continue c'est gé-ni-al!!!
alex, qui lit aussi les histoires!!!
t'en fait pas que ce soit long, c'est une bonne histoire!
ben, la megalomanie c'est pas grave, ca permet de se defouler et de "liberer son esprit"
d'ailleur tu n'est pas assez megalo, n'hesite pas a faire des combats avec plus de soldats
genre quand le capitaine Letevain est retranché et attaqué par le frere du commandeur tu pouvait mettre un peu plus de barbaque...
c'est bien le truc avec les eldars, moi je sent bien la suite
si tu as une idée ce serait bien de representer le capitaine letevain avec quelques soldats genre Fil, Phlati et un autre...
ou si tu pouvais me montrer le schema je peindrai bien un ptit gardiou moi pour me detendre!
allez, courage!
frenchement, les autres j'espere que vous lisez
Citation :je crois que personne ne lit apart babybelius.
tu te trompe lourdement, regarde le nombre de lecture (155 au 31/10) et tu verras que pas mal de personne lisent cette histoire, elle est tres tres bien, je me regale à chaque fois que je lis.
c'est du tres bon travail, continu.
et n'oublie pas, plus c'est long, plus c'est bon.
Citation :et n'oublie pas, plus c'est long, plus c'est bon
bah, pas forcement, on a deux grands exemples:une histoire longue peut etre chiante (pas la tienne barbu hein?)
un blague longue peut etre chiante
une blague courte est souvent plus marrante
et heu...
oh et puis zut
" la complicité de certain gardien " ???
Snifff , de la corruption pour une petite portion ...
Les eldars au four !
Non , sérieusement tu te débrouilles super bien et ton histoire est super longue ...
En plus tes posts ne sont pas espacés de deux semaines donc c'est un peu le roman des vacances ...
++
Bon merci pour les encouragements mais comme je l'ai deja dis j'aimerais bien quelques critiques.
Moi a chaque fois que je relis je trouve qu'il y a des trucs limite ou des phrases qui ne veulent plus rien dire.
Sinon j'edite souvent pour tenter de suprimer un peu les fautes q
Juste comme ca le message en question dans l'histoire devrait arrivé vers le premier système dans environs 40000 ans et ce sera une etoile dans la constelation de la girafe.
Faite des recherche sur voyager c'est vraiment interresant...
ben les critiques j'en ai pas trop vu (a part 2 - 3 phautes)
il ne faut pas chercher à critiquer ce qui n'est pas criticable !
j'ai pas fini de lire mais je trouve ca excellent
tu peux me l'envoyer au format word stp?
skalpel@skymail.fr
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