Weird World Wars

25 réponses, 27219 vues


Un comic russe :


<b>СТАЛИН ПРОТИВ ГИТЛЕРА</b>


<i>"Staline versus Hitler"</i>


Sous titré en grand-breton en dessous des images.


C'est très con, ce qui tombe bien : c'est pile dans le sujet.


Note : J'éditerai le premier post d'ici la fin du week end prochain.


.


C'est vraiment du grand n'importe quoi :)


Mais bourré de référence et plutôt bien dessiné !


ça fait vraiment comics pulp/old school, top quoi ^^


Uchronie :


En bouquins:


"Fatherland" de Robert Harris : Enquête criminelle et politique sur l'assassinat de Membres du parti Nazi dans un monde où l'Allemagne a gagné la guerre. Le héros va découvrir peu à peu le lien avec des opérations secrètes de transfert de populations en Pologne.....


"Rêve de Fer" de Norman Spinrad : parodies d'archétype de la science-fiction : übermenschen, fantasmes eugéniques à travers une mise en abime par un certain Adolf H., écrivain de science fiction.


En ligne :


Fantasque TimeLine : La France continue le combat en 1941 (mais plus de mise à jour apparemment)


Voilà,


Citation :Outpost: un film d'horreur, sorti il y a très peu de temps en Grande Bretagne. Honnêtement, je ne sais pas ce que ça vaut mais ça intéressera peut-être quelqu'un...
http://outpostthemovie.com/

Alors j'ai vu et je déconseille... c'est particulièrement moyen !!


Vidéo sur internet: [Image: header10.jpg]


http://www.ironsky.net/site/


http://www.trucks-tanks.com/


Trucks & Tanks Magazine -N°11


[Image: tnt1110.jpg]


DOSSIER PANZERWAFFE 1946


La recherche de la supériorité absolue


Les chars et véhicules de combat blindés qui auraient équipé les Panzer-Divisionen en 1946-47 font l’objet de tous les fantasmes et de toutes les interprétations ; des « rêveries » parfois accompagnées d’une nostalgie nauséabonde qui n’a pas sa place dans nos colonnes. Il est vrai que, selon l’importance que l’on donne aux engins colossaux comme les Panzer de 1 500 tonnes, il est facile de conclure aux délires technologiques sans lendemain. Ces machines ne restent toutefois que des « concepts-chars » de papier, sans application industrielle, mais dont l’intérêt réside dans la stimulation de la Recherche et Développement des ingénieurs. Aussi performants soient ces Panzer, ils restent toutefois des engins compliqués à produire et à réparer car conçus comme des petites séries à la fabrication soignée. Les ingénieurs travaillent en effet avec des postulats d’avant-guerre peu en rapport avec les réalités d’un conflit mondial. Les autorités allemandes vont alors accentuer leurs efforts sur deux axes. D’une part l’innovation technologique doit encore s’accélérer pour accroître le fossé avec les matériels adverses et d’autres parts les bureaux d’études doivent plancher sur la simplicité de fabrication et de réparation en misant sur la standardisation des composants mécaniques. En effet, la seule supériorité technique ne suffit plus. La Panzerwaffe 46 ne peut espérer résister qu’à ce prix. Les Einheitsfahrgestell – châssis à usage multiple – sont d’ailleurs la seule réponse logique que le III. Reich peut apporter à la supériorité matérielle alliée. À côté de cette stratégie pragmatique, les Allemands vont toutefois continuer à penser petites séries à l’instar du Type 205 Maus. Son rôle évoluant avec la situation sur le front de l’Est, le char « super lourd » allemand acquiert progressivement une véritable dimension tactique qui lui aurait valu de figurer en bonne place au sein de la Panzerwaffe 46. Loin des poncifs habituellement assénés aux lecteurs, tels que les délires d’un dictateur mégalomane, nous aurons cherché à présenter une situation la plus réaliste possible. À vous d’en juger.


+ LE MAUS


L'arme absolue ?


+ LES EINHEITSFAHRGESETELL


Les successeurs