Guilliman a pas mal de recul au contraire. A la différence de ses frères, c'est le seul qui a connu un royaume multi-planétaire quasi-utopique, où les conditions de vie étaient vraiment excellente, la culture florissante et la prospérité éclatante. Il a déjà eu les mains dans un système qu'il considère idéal (et qui franchement ferait envie).
Il ne s'y est jamais vraiment conduit en dictateur, il n'a jamais régné seul : avec son père, sa mère, et puis ensuite avec le tétrarchat, c'est à dire un conseil de 4 spaces marines. Il a par la suite gouverné avec Sanguinius et le Lion malgrés les désaccords qu'il pouvait avoir.
Au 40k, il s'entoure de contre-pouvoir et de personnes aux idées radicalement différentes, comme le frère Matthieu par exemple. Il a remis en place son tétrarchat et est ouvert à la critique et à la controverse.
L'Imperium au 30k était à deux doigts (fascistes) de devenir une utopie. C'était vraiment une époque lumineuse et pleine d'espoir. Ce qui ne l'empêchait pas d'être brutal et sanguinaire. A la fin de l'Hérésie, tout était perdu et détruit. L'héritage de Guilliman reste le fractionnement des légions et des corps d'armée et un certain nombre de mesure pour éviter de retomber dans la guerre civile (avec un succès .... disons relatif).
Guilliman gère l'Imperium du 40k avec un énorme dégoût, il est dépressif et à limite honte en voyant se que "son" empire et "ses" institutions sont devenues, au point de se demandé s'il n'y aurait pas fallu laissé Horus foutre le feu à la place. Il n'a pas non plus pardonné à l'Empereur et le trouve complètement dégénéré. En gros, si il tenait un peu moins à l'humanité, il aurait claqué la porte.
Même maintenant, il ne prend plus les décisions seules (la dernière l'avait tué) et fait son beurre avec les autres Hauts Seigneurs (même si il en a remplacé par mal), à renoncé à la reformation de sa Légion, à délégué tout un pan de la Galaxie à Dante, n'a pas rétabli l'indépendance d'Ultramar, etc. ... il est assez peu autoritaire sur ces trucs qui lui tenait vraiment à coeur.
Il ne s'y est jamais vraiment conduit en dictateur, il n'a jamais régné seul : avec son père, sa mère, et puis ensuite avec le tétrarchat, c'est à dire un conseil de 4 spaces marines. Il a par la suite gouverné avec Sanguinius et le Lion malgrés les désaccords qu'il pouvait avoir.
Au 40k, il s'entoure de contre-pouvoir et de personnes aux idées radicalement différentes, comme le frère Matthieu par exemple. Il a remis en place son tétrarchat et est ouvert à la critique et à la controverse.
L'Imperium au 30k était à deux doigts (fascistes) de devenir une utopie. C'était vraiment une époque lumineuse et pleine d'espoir. Ce qui ne l'empêchait pas d'être brutal et sanguinaire. A la fin de l'Hérésie, tout était perdu et détruit. L'héritage de Guilliman reste le fractionnement des légions et des corps d'armée et un certain nombre de mesure pour éviter de retomber dans la guerre civile (avec un succès .... disons relatif).
Guilliman gère l'Imperium du 40k avec un énorme dégoût, il est dépressif et à limite honte en voyant se que "son" empire et "ses" institutions sont devenues, au point de se demandé s'il n'y aurait pas fallu laissé Horus foutre le feu à la place. Il n'a pas non plus pardonné à l'Empereur et le trouve complètement dégénéré. En gros, si il tenait un peu moins à l'humanité, il aurait claqué la porte.
Même maintenant, il ne prend plus les décisions seules (la dernière l'avait tué) et fait son beurre avec les autres Hauts Seigneurs (même si il en a remplacé par mal), à renoncé à la reformation de sa Légion, à délégué tout un pan de la Galaxie à Dante, n'a pas rétabli l'indépendance d'Ultramar, etc. ... il est assez peu autoritaire sur ces trucs qui lui tenait vraiment à coeur.