Ce samedi nous avons organisé deux multijoueurs avec les camarades Hervé et Nicolas. J'ai essayé d'ajouter un quatrième larron mais n'ai pas réussi, donc on a fait avec notre nombre impair.
L'après midi c'était Pike & Shotte et le soir Bolt Action (qui fera l'objet d'un second rapport). Nous avons fait comme l'autre fois avec Nicolas, c'est à dire qu'on a monter les listes sur le moment à 600pts cette fois. Nous les avons pioché dans le supplément Devil's Playground.
Nicolas a souhaité joué les Danois de Christian IV. Du coup Hervé et moi nous faisions deux contingents pour le parti catholique dans la période correspondante. Hervé jouera un contingent espagnol réparti en 2 battalias, tandis que je ferait un contingent bavarois de la Ligue Catholique.
La version vidéo est disponible ici sur ma chaîne Youtube, si vous préférez le texte, continuez ci-dessous.
Au matin, les armées de la Ligue Catholique et du Royaume d'Espagne affrontent les Danois près de Gänzebrücken.
Derrière la colline à l'ouest, le contingent danois.
En face d'eux, défendant un des ponts du village, l'infanterie espagnole.
Au centre, face à Gänzebrücken, les alliés protestants allemands.
En face d'eux, de l'autre côté de Gänzebrücken, le Tercio bavarois près à en découdre.
A l'est des mousquetaires et des levées paysannes motivées appuyées par des dragons danois.
En face, les catholiques alignent leur cavalerie ainsi que deux pièces d'artillerie.
Le tercio bavarois avance comme un seul homme avec la cavalerie espagnole. Les troupes d'assaut bavaroises investissent Gänzebrücken. Les premiers tirs catholiques font peu de dégâts.
... mais parviennent à désorganiser un régiment de piquiers allemands.
Les danois sont pris au dépourvus et ne parviennent pas à se mettre en ordre de marche.
Le second régiment de piquiers allemands décide de charger les mousquetaires bavarois. Mais non seulement ces derniers se défendent bien, mais en plus le nombre conséquent de soutiens dont ils disposent leur accorde la victoire. Les protestants refusent cependant de céder. Durant tout cette partie, ces gars là n'auront pas un étendard de lion pour rien !
Mousquetaires et troupes d'assaut n'ayant pas reçu l'ordre de mouvement à ce moment, tirent sur les troupes d'assaut bavaroises embusquées dans Gänzebrücken.
le mortier catholique fait mouche sur les cuirassiers danois qui subissent leurs premières pertes.
Toujours incroyablement réactifs, les soldats catholiques passent le pont pour bloquer l'accès du village.
Alors qu'ils s'y pensaient à l'abris les troupes d'assaut bavaroises subissent un feu nourri et dévastateurs des tireurs protestants et de l'artillerie lourde. Les pertes sont telles que les bavarois déroutent et s'enfuient !
Point de situation à l'Est. Les levées paysannes sont embusquées dans la forêt
Point de situation à l'Ouest
La chaine de commandement catholique étant toujours d'une redoutable efficacité (Hervé comme moi, ne cessons d'obtenir "3 mouvements" sur nos ordres) les cuirassiers espagnols fondent sur les dragons protestant pris au dépourvus et les déroutent sans pitié..
Les arquebusiers à cheval espagnols tournent le flanc protestant et tirent sur les mousquetaires allemands, sans trop de résultats.
L'artillerie catholique fait feu à son tour et parvient à peine à infliger une perte au canon ennemi. Résultats excellents en manoeuvre... médiocres en tir. En revanche, un des régiment de piquiers bavarois parvient à prendre le flanc des piquiers protestants au lion du Palatinat.
Les espagnols se retranchent derrière un talus, attendant les danois de pied ferme.
Les bavarois toujours bien soutenus et en supériorité remportent le combat. les palatins ébranlés et désorganisés reculent mais ne paniquent pas.
La riposte protestante ne se fait pas attendre. Les levées paysannes, avec leurs pétoires et leurs armes de jet font feu sur les arquebusiers montés espagnols qui accusent le coup.
En revanche les mousquetaires et les troupes d'assaut protestants ne bougent pas, se privant ainsi de l'occasion d'entrer dans Gänzebrücken.
Toujours dans la plus totale confusion, les fantassins danois ne bougent pas. Les cavaliers, incapables de briser seul la battalia espagnole décident de contourner par la colline.
Les combat font rage au centre. L'une des unités de mousquetaires bavarois est ébranlée par les tirs de l'artillerie et des mousquets protestants.
Et ce déluge de tirs a une conséquence funeste sur le moral. Alors que les piquiers bavarois sont aux prises avec les palatins et que la victoire est proche. Le général en chef tente de rallier les mousquetaires mercenaires bavarois et échoue. Paniqués par les tirs, les hommes se rappellent ne pas avoir été correctement payés et décident de se retirer du combat ! La règle "mercenaire" vient de faire une victime...
Alors que les mousquetaires reculent sous les vociférations du général qui les traite de lâches, les autres piquiers bavarois ne parviennent pas à atteindre les mousquetaires ennemis. L'artillerie n'obtient guère de résultat non plus. Pire encore, les mousquetaires du flanc est passent tirailleurs et chargent la milice paysanne dans la forêt... et échoue à battre ces bouseux sous équipés et sous-entraînés !
LA SUITE ICI
(Modification du message : 07-02-2022, 00:16 par Thalantir.)
L'après midi c'était Pike & Shotte et le soir Bolt Action (qui fera l'objet d'un second rapport). Nous avons fait comme l'autre fois avec Nicolas, c'est à dire qu'on a monter les listes sur le moment à 600pts cette fois. Nous les avons pioché dans le supplément Devil's Playground.
Nicolas a souhaité joué les Danois de Christian IV. Du coup Hervé et moi nous faisions deux contingents pour le parti catholique dans la période correspondante. Hervé jouera un contingent espagnol réparti en 2 battalias, tandis que je ferait un contingent bavarois de la Ligue Catholique.
La version vidéo est disponible ici sur ma chaîne Youtube, si vous préférez le texte, continuez ci-dessous.
Au matin, les armées de la Ligue Catholique et du Royaume d'Espagne affrontent les Danois près de Gänzebrücken.
Derrière la colline à l'ouest, le contingent danois.
En face d'eux, défendant un des ponts du village, l'infanterie espagnole.
Au centre, face à Gänzebrücken, les alliés protestants allemands.
En face d'eux, de l'autre côté de Gänzebrücken, le Tercio bavarois près à en découdre.
A l'est des mousquetaires et des levées paysannes motivées appuyées par des dragons danois.
En face, les catholiques alignent leur cavalerie ainsi que deux pièces d'artillerie.
Le tercio bavarois avance comme un seul homme avec la cavalerie espagnole. Les troupes d'assaut bavaroises investissent Gänzebrücken. Les premiers tirs catholiques font peu de dégâts.
... mais parviennent à désorganiser un régiment de piquiers allemands.
Les danois sont pris au dépourvus et ne parviennent pas à se mettre en ordre de marche.
Le second régiment de piquiers allemands décide de charger les mousquetaires bavarois. Mais non seulement ces derniers se défendent bien, mais en plus le nombre conséquent de soutiens dont ils disposent leur accorde la victoire. Les protestants refusent cependant de céder. Durant tout cette partie, ces gars là n'auront pas un étendard de lion pour rien !
Mousquetaires et troupes d'assaut n'ayant pas reçu l'ordre de mouvement à ce moment, tirent sur les troupes d'assaut bavaroises embusquées dans Gänzebrücken.
le mortier catholique fait mouche sur les cuirassiers danois qui subissent leurs premières pertes.
Toujours incroyablement réactifs, les soldats catholiques passent le pont pour bloquer l'accès du village.
Alors qu'ils s'y pensaient à l'abris les troupes d'assaut bavaroises subissent un feu nourri et dévastateurs des tireurs protestants et de l'artillerie lourde. Les pertes sont telles que les bavarois déroutent et s'enfuient !
Point de situation à l'Est. Les levées paysannes sont embusquées dans la forêt
Point de situation à l'Ouest
La chaine de commandement catholique étant toujours d'une redoutable efficacité (Hervé comme moi, ne cessons d'obtenir "3 mouvements" sur nos ordres) les cuirassiers espagnols fondent sur les dragons protestant pris au dépourvus et les déroutent sans pitié..
Les arquebusiers à cheval espagnols tournent le flanc protestant et tirent sur les mousquetaires allemands, sans trop de résultats.
L'artillerie catholique fait feu à son tour et parvient à peine à infliger une perte au canon ennemi. Résultats excellents en manoeuvre... médiocres en tir. En revanche, un des régiment de piquiers bavarois parvient à prendre le flanc des piquiers protestants au lion du Palatinat.
Les espagnols se retranchent derrière un talus, attendant les danois de pied ferme.
Les bavarois toujours bien soutenus et en supériorité remportent le combat. les palatins ébranlés et désorganisés reculent mais ne paniquent pas.
La riposte protestante ne se fait pas attendre. Les levées paysannes, avec leurs pétoires et leurs armes de jet font feu sur les arquebusiers montés espagnols qui accusent le coup.
En revanche les mousquetaires et les troupes d'assaut protestants ne bougent pas, se privant ainsi de l'occasion d'entrer dans Gänzebrücken.
Toujours dans la plus totale confusion, les fantassins danois ne bougent pas. Les cavaliers, incapables de briser seul la battalia espagnole décident de contourner par la colline.
Les combat font rage au centre. L'une des unités de mousquetaires bavarois est ébranlée par les tirs de l'artillerie et des mousquets protestants.
Et ce déluge de tirs a une conséquence funeste sur le moral. Alors que les piquiers bavarois sont aux prises avec les palatins et que la victoire est proche. Le général en chef tente de rallier les mousquetaires mercenaires bavarois et échoue. Paniqués par les tirs, les hommes se rappellent ne pas avoir été correctement payés et décident de se retirer du combat ! La règle "mercenaire" vient de faire une victime...
Alors que les mousquetaires reculent sous les vociférations du général qui les traite de lâches, les autres piquiers bavarois ne parviennent pas à atteindre les mousquetaires ennemis. L'artillerie n'obtient guère de résultat non plus. Pire encore, les mousquetaires du flanc est passent tirailleurs et chargent la milice paysanne dans la forêt... et échoue à battre ces bouseux sous équipés et sous-entraînés !
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