Toujours en rapport avec les fautes, mes condoléances au mur : avoir confiance en ses capacités orthographiques, c'est bien, utiliser un correcteur orthographique pour s'en assurer, c'est mieux. Dans ton 2ème texte il y a au moins une dizaine de fautes qui ne survivent pas à une vérification sous Word.
>> oceanus_prime_2_corr.pdf <<
>> oceanus_prime_2_relu.doc <<
L'impression générale, c'est une vieille VHS passée en lecture accélérée : on saisit les grandes lignes mais on a du mal à s'arrêter sur des détails... parce qu'il n'y en a pas. Essaye de décrire un peu plus les protagonistes, les lieux, pas uniquement des actions, rythme un peu la chose.
Utiliser le flash-back est une idée qui paraît toujours marrante, mais il faut éviter de faire un flash-back juste histoire d'un caser un, ça fait style. Je ne vois pas trop ce qu'apporte ton flash-back : il pense la même chose aujourd'hui qu'il y a trois semaines, bon, et ? En fait, c'est pas tant le flash-back que je ne comprends pas (puisqu'il a quand même le mérite de nous expliquer comment le héros échappe aux eldars noirs), mais le moment de départ : un paragraphe, paf, les démons débarquent, rebondissement, lisez la prochaine partie pour en savoir plus ! C'est peut-être un peu forcé comme approche.
Personnellement j'éviterais les "pensa-t-il" et "se dit-il" après un point d'exclamation...
Côté mise en forme : les pensées en italique, c'est plus clair (c'est même l'un des rares cas où je recommanderais l'italique, d'ailleurs)
« Il y a trois semaines, il était pris au piège par des
eldars noirs. Après la phrase sadique que lui avait sorti son interlocuteur xénos, il entendit de sauvages cris. Des cris qu'il connaissait. Puis des
détonations bruyantes. Deux guerriers noirs vacillèrent. <b></b><b>Ces derniers</b><b></b> répliquèrent par des hurlements aigus et une charge folle vers leurs assaillants. »
Qui sont les premiers ?
« La
sueur froide perlant sur son front, la main sur le gouvernail, une question terrible se posa. »
La question avait de la sueur sur le front et la main sur le gouvernail ?
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