[ANdE]Les tréfonds de la ruche, au rapport.

C'est sympa ces crb. On sent que vous vous amusez bien ? .

C'est sympa ces crb. On sent que vous vous amusez bien ? .

C'est ben vrai ça! On est un peu du genre à faire des scénars débiles à l'arrache, pas équilibrés, avec une table montée aléatoirement, mais qui nous font marrer.

Je viens de fabriquer un chiotte blindé, imagine le nombre d'idées qui nous traversent la tête...


Bon, dernière et ultime partie!

ESCARMOUCHE n°4 : "Des poulets, pour de la blanquette!"

Sceptik à entendu parler d'un poulailler au cheptel fabuleux, idéale pour une blanquette à la sauce de breusar. Et il faudra nourrir Scrak, qui aura la dalle en sortant de la cuve de soin!
Malheureusement, le Poulailler est garder par l'élite de l'élite, la Division Fantôme.




Sceptik décide donc d'envoyer Sphyncter, le maître assassin, accompagné d'une nouvelles génération de skavler, à la furtivité assurée. Pendant ce temps, pléthore de pillard tenteront de détourner l'attention des guerriers en armure énergétique.




Les guerriers d'élites prennent positions pour défendre les savoureux oiseaux, pendant que les skavs tentent une approche discrète en se faufilant et grimpant au travers des structures métalliques. L'avancé est extrêmement laborieuse.




Dès qu'un hommes-rats a le malheur de pointer le bout de son museau, il se prend un bolt dans la figure, ce qui a tendance à la faire exploser. Et ne participe pas à la fluidité de l'avancé. Car même les furtifs skavlers, derniers cris des sorties de cuves, finissent par se faire descendre une fois à porté!




Mais soudain, qu'elle surprise, des renforts débarquent! l'espoir renait dans les cœurs des vils hommes-rats.
Merci Petibeignet pour l'évènement surprise, alors que j'en menais pas large...




Sphyncter, très sûr de lui, arrive enfin au dernier ascenseur. Le poulailler est à porter, il est prêt à se jeter dans la basse cours!




Mais alors qu'il se jetait dans la cage d’ascenseur, sûr d'être à l’abri du regard du capitaine, le drone le détecte et lui loge une série de blaste dans les genoux! Il s’effondre au sol au milieu d'affreux couinements. Un sort similaire sera réservé au skavler qui le suivait de prêt.




C’est maintenant la débandade (de plastimorue)! Tout ce chemin si durement parcouru pour maintenant faire demi-tour, les pattes à leur cou... Pitoyable spectacle.




Un intrépide pillard, qui avait gardé à l'esprit l'objectif premier de leur venu, et alléché par l'idée de se voir offrir un os de poulet blanquette, cours vers l'ascenseur du poulailler! Il prend tout son élan, et saute depuis la plateforme de métal, couinant de tout ses poumons le cris du clan! Pour s'écraser lamentablement six mètre plus bas...




Quand au dernier pillard, qui avait réussi à atteindre l'ascenseur avec un peu plus de prudence, se faire surprendre par le flamer, qui surgit de la cabine et lui défonce la cage thoracique d'un coup de gantelet tronçonneur.



L'echec est total. l'histoire de la bataille du poulailler ne fut jamais rapportée dans les tunnels des Egoutant, et tout le monde fit comme si rien ne s'était passé. Tout le monde, sauf le pauvre Sphyncter, qui se remet douloureusement de ses blessures.


Voici donc un retours sur une semaine de jeux autours de Au Nom de l'Empereur! Avec nos modfifs des règles, qui viendront très prochainement sur le forum, le jeux nous plait beaucoup, il tourne bien, est facile à prendre en main et permet de créer tout et n'importe quoi.

[Reldan]

Tu peux nous teaser en 2 mots sur vos modifs ?
La table va être chouette quand tout sera peint !

La table va être chouette quand tout sera peint !

Merci! En fait c'est un ramassis de bout de décors que l'on superpose les un aux autres. Un ramassis est d’ailleurs un peu réducteur pour une partie des éléments, réalisés pas Petibeignet à la base pour un Space Hulk en 3D. Et je les trouve vraiment chouettes. mais ce qui est bien c'est de pouvoir tout superposer aléatoirement, et créer une table différente à chaque fois.

Tu peux nous teaser en 2 mots sur vos modifs ?

Alors la modif principale, c'est la déroulement en alternance, par groupe de personnages du même type, pour un maximum de 75 points. Un peu comme dans Conf. Ça rend le jeux plus dynamique. Ça a amené à devoir préciser pas mal de chose sur le corps à corps, notamment la notion d'attaquant et défenseur.

Certaines armes : grenades, lance-flammes, arme lourdes, tir en cloche, gabarit d'explosion.

Le déplacement dans le décors : sauter, grimper, monter aux échelles.

Les pouvoir psy : les rendre moins cher et plus bourrin, pour qu'ils soient plus intéressants et amener du fun.

Beaucoup de choses sont des précisions, des choses affinées pour que ça corresponde mieux à notre vision du jeux et nos goût.

Beaucoup de choses sont des précisions, des choses affinées pour que ça corresponde mieux à notre vision du jeux et nos goût.

Je n'aurais pas mieux dis. Essentiellement des précisions.

Tout à fait, de simples précisions.

Tu peux nous teaser en 2 mots sur vos modifs ?

Et du coup c'est par ici!

https://warmania.com/forum/showthread.ph...#pid131798

Je fais ici un petit retours sur la partie d'initiation que j'ai fait hier avec un ami.
Celui-ci est un gros joueur de jeux de société, et il avait fait quelques parties de 40k dans son adolescence. Il a pu facilement prendre les règles en main. Au Nom de l'Empereur me semblait approprié pour ça, et je suis content d'avoir vu que ça a marché.

L’objectif de la mission était de récupérer les précieuses ressources contenues dans les caisses et barils de la plateforme centrale, et de les ramener à son bord de table.




Il avait choisi de jouer les viles et fourbes hommes-rats, tandis que pour ma part je poussais les clones sans âmes du groupuscule des Sans Visages. Après une timide tentative de rush, il s'est très vite avéré que le meilleur moyens de remplir l'objectif était de décimer purement et simplement l’adversaire.
J'avais choisi une table plus petite que d'habitude (60 x 60 cm), et comme je l'attendais, les tirs sont très vites venus, et la mêlé juste derrière.
Ce fut serré, mais au 5e ou 6e tours, la cheffe des Sans Visage mis fin à l'incursion des skavs en abattant froidement de sa lame empoisonnée le chef de clan et le rat-ogre.




Ce fut une chouette partie, qui dura environ 2h30. Je pensais que ce serait plus court, avec une table de cette taille et des bandes limitées à 150 points, au lieu de 200 habituellement. Mais je pense qu'en maniant les règles à deux, on devrait pouvoir atteindre les 2h. Il faudrait que je teste Kill Team pour pouvoir faire la différence de nervosité entre les deux jeux.

Suite à cette partie, j'ai également fait des fiches de jeux avec des aides et notamment les distance de mouvement des personnages en cm, parce que la mécanique de conversion des pouces alourdie quand même bien la chose.

Voilà, la suite lors de prochaines aventures.  Oui, la survie au fond de la ruche est une grande et joyeuse aventure, parait-il.

Comme promis, voici un retour sur la campagne de Petibeignet!

Mission n°1 : Rencontre au village.

Petibeignet était aux anges.
Il est vrai qu'il traversait une mauvaise passe. Sa machine de transformation dont il avait tant rêvé ne marchait pas aussi bien qu'il l'aurait voulu, la guilde des Sans Visages n'était toujours pas enclin à lui apporter leur savoir sur les cuves mutagènes dont ils avait le secret, et Scrak, cet infâme pouilleux de rongeur, était encore et toujours en vie.
Mais il y a maintenant quatre heures, lors d'une discussion bien arrosée dans un des recoins obscures du Dôme de Toutes les Infamies, Machin lui parla de l'existence hypothétique du laboratoire 4D22, des inimaginables trésors scientifiques qu'il recelait, et des nombreux danger qu'il fallait parcourir pour l'atteindre. Et à l'évocation de ce nom, une lumière s'alluma dans le gros cœur de Petibeignet.
Le numéro de ce laboratoire abandonné évoquait chez lui une sorte de bonheur nostalgique qu'il ne comprenait pas. Mais il sentait bien, tout au plus profond de ses affreuses entrailles, qu'il devait se mettre en quête de ce mystérieux lieu et en percer les secrets. Il allait réunir ses meilleurs guyz et entreprendre ce qui serait probablement leur plus grande aventure!
Mais pour cela, il allait devoir avant tout trouver un guide et récupérer un max de matos.

La seule personne qui serait susceptible de connaître la route du laboratoire 4D22 n'est autre que Sylvestre le rôdeur, un mystérieux personnage qui arpente les tréfonds de Méga City 13 depuis des années.
Malheureusement, lors du retour de sa dernière excursion et son passage au Village, il fut arrêté par la troupe de la Compagnie Répressive Squat qui occupait le Fort, contre le gré des autochtones. Petibeignet allait devoir le sortir de là!

Et voici le fameux Village! Notez que cette années les sols sont peints...




Petibeignet, très sûr de lui, arrive avec toute sa troupe au Village. Il exhibe avec fierté ses dernières créations, notamment le Tytypoulet, tout plein d'armes. Il est bien décidé à impressionner les populace locale et botter l’arrière train des CRS en garnison.




Très rapidement, un CRS en vigie le repère et sonne l'alerte! Le reste de la troupe sort en trombe du Fort, bien décidée à défendre les lieux, au nom de la Loi, la seul, l'unique, la leur.




Les locaux, peu impressionnés par toute cette mascarade mais content de se dire qu'ils seront peut être libérés des CRS, abordent les troupiers de Petibeignet. L'un d'eux s'est décidé à vendre des chaussures à un sniper mal chaussé.




Ce dernier, bien content d'avoir les pieds au chaud, descend le chef de la Compagnie, qui se retrouve en déroute! Aucun courage chez les forces de l'Ordre n'est exigé à leur recrutement, les amenant à fuir bien lâchement.




Le Bazzouguy en profite pendant ce temps pour accoster un enfant des rues, pour lui proposer avec insistance de rejoindre leur rang.




Qui se saisie de son ours fourré de boulons et le lui enquille en plein mâchoire!




Très énervé de voir son très cher ami mis au sol par un baveux, le Mitraguy défouraille dans sa direction et entache d'innocence la barricade de derrière!




Petibeignet et ses guyz tentent eux aussi désespérément de recruter un ou deux villageois, qui peu enclins à se laisser embrigadé, se retrouvent eux aussi sur le carreau, les tripes à l'aire. Un enfant de plus perdra la vie...






Mais l'un d'eux, avide d'aventure et constatant qu'il n'aura plus d'enfants dans les pattes, se laissera convaincre! Peut être que la taille de la machette du Jeunot aura été un argument de poids.




Un pitguyz tente quand à lui d'aborder un être mystérieux, qui tenait une flute à la main. Celui-ci, peut loquace, souffle dans son instrument au nez du pit, qui n'y comprend rien. Et sursaute quand une horde de rat sort des murs pour lui dévorer les mollets!




La menace est vite éliminée, mais il semblerait que ce signal en ai amené une plus grosse. Scrak le Non propre, ennemie ancestral de Petibeignet, profite du chaos général pour envahir le village et tenter de dérouiller l'ork à petit bouche!




Tout ces évènements n'empêche pas le Village de se faire tranquillement piller.
Certaines caisses contiennent des trésors...




Et d'autre ont un contenu explosif!




Une membre du gang de la Serpe proposera également les services de son gang à un guy, en échange d'un lourd paiement. Ce que le guy s'empressera d'accepter, sans savoir où en sont les finances du groupe.




Au milieu de la cohue, Scrak prend une balle d'un sniper, puis est gravement blessé par un Pitguy qui surgit de nulle part! (Merci les cartes Évènement...)






Les derniers skavs sont éliminés par le Mitraguy, tandis que le Jeunot prend une beigne en achevant un bête pillard.






Après avoir dévasté le Village, Sylvestre est enfin libéré! Il sert la grosse pogne de Petibeignet, le remercie et accpete de l'aider à atteindre le lab 4D22.




Petibeignet repart du village avec un guide, un villageois et une sans-abris qui lui colle au basque, et des gangueuses qui feront un trou dans ses finances. De retour à sa base, les deux locaux seront poussés dans la Machine à orkiser. Ils en ressortiront à moitié verts, bien décidés à aidé Petibeignet dans sa quête. Un arrangement est trouvé avec le gang de la Serpe, et après avoir penser ses plaies et refait le plein de cartouches, Petibeignet se décide enfin à partir à la recherche du laboratoire...

Petibeignet :

Ainsi ça s'est passé, aux squats on a mis une raclée;
Sylvestre est des nôtres à présent et de cela je suis bien content;
Le Jeunot est prometteur mais ses preuves doit encore faire à l'heur;
Quant à mitraguy, ce héros; mettre la pagaille c'est son boulot;
Partant du village vers la vieille mine;
Nous allâmes sans ambage les yeux en trou de pine;
Car la fatigue était bien là, mais nous fîmes pourtant des éclats.

[la queue en airain]

Le Bazzouguy en profite pendant ce temps pour accoster un enfant des rues, pour lui proposer avec insistance de rejoindre leur rang.
...
Qui se saisie de son ours fourré de boulons et le lui enquille en plein mâchoire!

Arh, arh !

Très énervé de voir son très cher ami mis au sol par un baveux, le Mitraguy défouraille dans sa direction et entache d'innocence la barricade de derrière!

Urh ! Je vais en pleurer de rire si ça continue dans cette veine.

Petibeignet repart du village avec un guide, un villageois et une sans-abris qui lui colle au basque, et des gangueuses qui feront un trou dans ses finances

Quelle belle conclusion. Bon ya bien l'histoire des CRS mais on peut l'ignorer tellement c'est court et incroyable.

le squat
t'as pas une image qui se prend pour un mail ?