Merci mes Mellal et Reldan :-)
Pour le blanc: je m’embête sûrement en ne faisant pas simple !
- Base noire preombreé gris puis blanc.
- soit shade soulblight grey et/soit contrast apothecary white: travaillés en blending (on peut éventuellement très légèrement humidifier la surface ; on pose en poussant dans l’ombre et on vient avec un 2nd pinceau (ou le même rapidement nettoyé) légèrement humide essuyer dans les clairs.
On peut à souhait venir en rajouter en travaillant par exemple depuis le ton médiant et en finissant dans l’ombre.
- Pour rajouter une teinte je passe 2-3 glacis « appuyés » de menoth white highlight P3 ou d’ivoire dans les lumières et là je viens surligner les arêtes.
- Du blanc sur des parties d’arêtes et dans les hautes lumières.
P’tit pause ici…
Je me demande si on ne peut pas simplifier et surtout moins chercher un « beau dégradé » sur ces étapes.
J’utilise de plus en plus les huiles pour « lier » avant de mettre les dernières éclaircies, et en prime ça fait un p’tit ajout de teinte.
Pour le blanc j’y vais au gris de payne direct.
On équilibre en mettant les éclaircies finales à l’ivoire puis au blanc.
Lining noir, et là pour ne pas « m’embêter » vernis brillant et huile noir de lampe concentré; et je préfère dorénavant ne pas attendre et travailler / nettoyer avec du white sans odeur et un pinceau propre.
P’tit weathering:
- pigments noir tapotés: limite mettre un tout p’tit tas et venir fondre/étirer les bords au pinceau sec.
Gaffe à y aller parcimonieusement parce qu’on écrase rapidement tout et on tue le contraste.
- pigments terre d’ombre brûlée ou assimilés pour rajouter un peu de teinte.
- GW charadon granit à la mousse de blister (et on pense bien à ne pas utiliser la mousse toujours dans le même sens voire on peut la faire glisser pour des griffures) puis au pinceau bien essuyé et une peinture légèrement diluée : très très souple sur pinceau et on laisse la pointe sautiller sur la surface.
- on vient souligner les éclats par un mini trait peu dilué de blanc et on en profite pour mettre les battledamages des p’tits éclats de blanc dans les ombres et des rayures (et pas dans le même sens et/ou longueur)
Suivant la tronche de la surface et son feeling à l’huile, on peut faire les éclaircies au blanc huile un chouille dilué puis fondu au pinceau sec: c’est assez impressionnant de rapidité, par contre il vaut mieux attendre 24-48h avant de retravailler / vernir.
A refaire:
- preombrage
- un shade/contrast poussé dans l’ombre
- ivoire posé limite blending et surlignage
- blanc en lumière max et parties surlignées
- huile payne’s grey
- reprise au blanc acrylique ou huile
- weathering pigment: ça permet de venir en placer histoire de « cacher » des imperfections
- battledamages
Notre cyrus avait également donné une p’tite recette:
- preombrage
- contrast apothecary white
- contrast sw grey
- éclaircies ivoire/blanc
Bonne peintouille et désolé du pavé.
(Modification du message : 02-09-2023, 01:02 par jojogeo.)
Pour le blanc: je m’embête sûrement en ne faisant pas simple !
- Base noire preombreé gris puis blanc.
- soit shade soulblight grey et/soit contrast apothecary white: travaillés en blending (on peut éventuellement très légèrement humidifier la surface ; on pose en poussant dans l’ombre et on vient avec un 2nd pinceau (ou le même rapidement nettoyé) légèrement humide essuyer dans les clairs.
On peut à souhait venir en rajouter en travaillant par exemple depuis le ton médiant et en finissant dans l’ombre.
- Pour rajouter une teinte je passe 2-3 glacis « appuyés » de menoth white highlight P3 ou d’ivoire dans les lumières et là je viens surligner les arêtes.
- Du blanc sur des parties d’arêtes et dans les hautes lumières.
P’tit pause ici…
Je me demande si on ne peut pas simplifier et surtout moins chercher un « beau dégradé » sur ces étapes.
J’utilise de plus en plus les huiles pour « lier » avant de mettre les dernières éclaircies, et en prime ça fait un p’tit ajout de teinte.
Pour le blanc j’y vais au gris de payne direct.
On équilibre en mettant les éclaircies finales à l’ivoire puis au blanc.
Lining noir, et là pour ne pas « m’embêter » vernis brillant et huile noir de lampe concentré; et je préfère dorénavant ne pas attendre et travailler / nettoyer avec du white sans odeur et un pinceau propre.
P’tit weathering:
- pigments noir tapotés: limite mettre un tout p’tit tas et venir fondre/étirer les bords au pinceau sec.
Gaffe à y aller parcimonieusement parce qu’on écrase rapidement tout et on tue le contraste.
- pigments terre d’ombre brûlée ou assimilés pour rajouter un peu de teinte.
- GW charadon granit à la mousse de blister (et on pense bien à ne pas utiliser la mousse toujours dans le même sens voire on peut la faire glisser pour des griffures) puis au pinceau bien essuyé et une peinture légèrement diluée : très très souple sur pinceau et on laisse la pointe sautiller sur la surface.
- on vient souligner les éclats par un mini trait peu dilué de blanc et on en profite pour mettre les battledamages des p’tits éclats de blanc dans les ombres et des rayures (et pas dans le même sens et/ou longueur)
Suivant la tronche de la surface et son feeling à l’huile, on peut faire les éclaircies au blanc huile un chouille dilué puis fondu au pinceau sec: c’est assez impressionnant de rapidité, par contre il vaut mieux attendre 24-48h avant de retravailler / vernir.
A refaire:
- preombrage
- un shade/contrast poussé dans l’ombre
- ivoire posé limite blending et surlignage
- blanc en lumière max et parties surlignées
- huile payne’s grey
- reprise au blanc acrylique ou huile
- weathering pigment: ça permet de venir en placer histoire de « cacher » des imperfections
- battledamages
Notre cyrus avait également donné une p’tite recette:
- preombrage
- contrast apothecary white
- contrast sw grey
- éclaircies ivoire/blanc
Bonne peintouille et désolé du pavé.