Citation :
il y a 24 minutes, Egel a dit :
Rhooo, le Chat troll gentiment, et il se prend des tomates pourries ^^.
Bah, tu sais, venant d'un lapin qui ne connait pas encore le concept de chaîne de commandement, rien ne me choque. Mais on va le culturer un peu...
Citation :
il y a 37 minutes, Alias a dit :
Sauf que je ne vois pas plus "d'épique" dans l'un que dans l'autre moi. J'y vois surtout deux visions de l'univers 40k. D'un côté un univers finalement pauvre en technologie et pas foutu d'avoir les moyens technologiques de gérer ses communications (genre ils doivent utiliser des messagers à cheval dans la garde) et de l'autre une vision plus moderne, où les officiers dans les tanks ont des radios voir des systèmes plus avancés encore et ne sont donc pas dépendants d'ordres périmés depuis 2 heures.
S'il faut faire un dessin, allons z'y.
- A E:A le-jeu-riquiqui, le patron contrôle trois pelés et deux tondus, il peut faire du micromanagement et donner ses ordres en direct à chacun de ses grouillots, il n'a qu'à prendre sa radio et c'est réglé. C'est mimi, c'est de la tactique.
- Dans les vrai jeux épiques, le patron, il a autre chose à foutre que d'appeller par son petit nom chacun de ses quarante-trouze sous-off' pour leur expliquer comment se torcher au moment. C'est du stratégique : il planifie un truc à grande échelle, donne ses consigne à ses trois généraux qui répercutent le long de la châine jusqu'aux grouillots exécutants qui ont pour charge de faire en fonction des demandes et des contraintes. Forcément c'est un peu moins réactif pour lui mais c'est normal, c'est pas à la même échelle.
Histoire d'imager un peu, E:A c'est l'épicier de quartier. Quand il voit qu'il n'a plus de pain, il va chez son voisin le boulanger et repart avec un sac de trois baguettes sous le bras pour finir sa journée.
Netepic, c'est Michou-Edouard. Il rentre le blé de ses trois cent franchises en buvant de l'amasec et en laissant le soin du choix de l'appro en pain surgelé entre le poids-lourd commandé deux semaines à l'avance et l'embauche de trois sous-fiffres sous-payés qui se démerdent avec ce qu'on leur donne en farine transgénique pour assurer le service. Le Général Leclerc, il s'en branle de savoir comment c'est géré dans le close de quartier, lui, il planifie la conquête de la planète, pas les détails pour le menu fretin.
C'est le même 4ok, juste pas à la meme échelle. Après, c'est sûr que Netepic, ça demande plus d'abstraction, c'est compliqué pour les gamins, il vaut mieux réserver ça aux vieilles barbes. C'est l'ordre naturel des choses finalement : quand on monte en compétence, on monte en échelle (sociale).
le squat
troll 2.0