L'Apocalypse avait donné naissance à un monde... étrange.
Il y avait eu ceux qui, en dépit de tout bon sens, avait composé avec la Grande Division, continuant leur vie comme si rien ne s'était passé. Il y avait dans un tel acte une force de persuasion impressionnante, qui, si elle se révélait incompréhensible sous bien des aspects forçait malgré tout le respect.
Il y avait eu ceux qui avaient perdu, ou rejeté, toute forme d'humanité. Les pillards, les monstres à peaux humaines, se servant sur le dos des autres comme un chasseur sur le dos d'une bête malchanceuse. Leur existence n'avait rien d'étrange, elle était même attendue. Qu'il y en ait, finalement, assez peu était bien plus étonnant.
Il y avait eu ceux qui s'était ouvert à la Vérité. Ceux qui avait accueillit la bénédiction d'Atome, la splendeur de Sa Lumière et s'était soumis à la Grande Division, rependant Sa parole.
Il y avait eu les monstres. Ceux qui avaient été humains, mais qui ressemblaient désormais à de grotesques tas de chairs.
Il y avait eux les Bénis, irradiant de la puissance d'Atome jusque dans leur chairs. Bien sur, la plupart étaient devenus des bêtes, incapables de survivre à Sa révélation, leurs esprits consumés comme des chandelles abreuvées à un feu trop fort.
Et puis il y avait... Les autres.
Les déments.
Ceux là ne suivaient aucun schéma, aucune logique. Il aidait d'une main, brisait de l'autre, sans aucun motif, juste l'envie primaire à l'instant donné.
Il avait leur utilité : la Communauté faisait appel à leur service, de temps à autre. Ou plutôt, elle guidait subtilement leurs actions, car personne ne pouvait attendre quoi que ce soit de ces êtres. Leur existence même était un avertissement, un rappel : le vernis de la raison était bien mince, et sous lui se cachait un chaos qui ne demandait qu'à s'exprimer, grimaçant.
Restons chez nous ! Restons et peignons l'Apocalypse !
Il y avait eu ceux qui, en dépit de tout bon sens, avait composé avec la Grande Division, continuant leur vie comme si rien ne s'était passé. Il y avait dans un tel acte une force de persuasion impressionnante, qui, si elle se révélait incompréhensible sous bien des aspects forçait malgré tout le respect.
Il y avait eu ceux qui avaient perdu, ou rejeté, toute forme d'humanité. Les pillards, les monstres à peaux humaines, se servant sur le dos des autres comme un chasseur sur le dos d'une bête malchanceuse. Leur existence n'avait rien d'étrange, elle était même attendue. Qu'il y en ait, finalement, assez peu était bien plus étonnant.
Il y avait eu ceux qui s'était ouvert à la Vérité. Ceux qui avait accueillit la bénédiction d'Atome, la splendeur de Sa Lumière et s'était soumis à la Grande Division, rependant Sa parole.
Il y avait eu les monstres. Ceux qui avaient été humains, mais qui ressemblaient désormais à de grotesques tas de chairs.
Il y avait eux les Bénis, irradiant de la puissance d'Atome jusque dans leur chairs. Bien sur, la plupart étaient devenus des bêtes, incapables de survivre à Sa révélation, leurs esprits consumés comme des chandelles abreuvées à un feu trop fort.
Et puis il y avait... Les autres.
Les déments.
Ceux là ne suivaient aucun schéma, aucune logique. Il aidait d'une main, brisait de l'autre, sans aucun motif, juste l'envie primaire à l'instant donné.
Il avait leur utilité : la Communauté faisait appel à leur service, de temps à autre. Ou plutôt, elle guidait subtilement leurs actions, car personne ne pouvait attendre quoi que ce soit de ces êtres. Leur existence même était un avertissement, un rappel : le vernis de la raison était bien mince, et sous lui se cachait un chaos qui ne demandait qu'à s'exprimer, grimaçant.
Restons chez nous ! Restons et peignons l'Apocalypse !