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[conf] Questions De Débutant


Confrontation    5 réponses

Antoine Martinu, 16-02-2007, 23:28


Salut à tous,


on découvre tous les jours des choses sympa sur ce forum,


c'est ainsi que je découvre les jeux Rackam, et notament confrontation,


poussant plus loin les investigations je décide de me rendre sur le terrain (une boutique qui le distribue) et demande à consulter les règles...


Et c'est là que je découvre avec stupéfaction la densité des règles pour ce jeu d'escarmouche (que je n'ai pas l'habitude de pratiquer).


Mais la beauté des figurines n'ayant d'égal que la précision des règles, je pense que je vais me lancer sous peu, mais tout d'abord quelques questions;


-de quelle surface de jeu a-t-on besoin?


-combien de temps dure en moyenne une partie standard ?(400pa d'après ce que j'ai pu lire en épinglé)


-que contient le set d'initiation(50euros: livre de règle grand format ou A5)? donne-t-il un aperçu fidèle du jeu?


-les règles sont-elles très contraignantes ?(considérant, que 40K c'est facile à apprendre)


-le NMM est-il si dur que ça à appréhender?


Bon, je pense que c'est déjà pas mal...


Merci de bien vouloir m'éclairer!


Cors'


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Club La Forge


Joueurs et clubs : présentation    Pas de réponse

Borogondor, 16-02-2007, 13:27


Salut à tous, je suis nouveau sur le Forum je suis Borogondor étudiant à la fac de Dijon et Coprésident d'un petit club qui ne demande qu'à s'agrandire !


Le club :


-Club jeux de rôles et figurine (beaucoup de warhammer et warhammer 40K). On organise des parties JDR, des batailles warhammer.


-On organise aussi 4 tournois (à peu près) par ans entre nous, et depuis, on pensait essayer d'agrandire ces tournois (c'est-à-dire plus de participants), c'est pour cela que je post sur des forum wargame pour faire venir du monde.


-Il y a un tournois qui se déroulera durant les vacances de pâque.


-Nous préparons une campagne en ligne (en cours de mise au point, toutes les idées sont les bienvenues).


-Possibilité d'exposer ses figurines ainsi que ses décors dans des galeries.


- ...


Voila n'hésitez pas à vous inscrire, vous serez accueilli avec joie !


www.laforgedesnains.org


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Besoin D'aide Pour Montage D'armées Au 1/72e


Médiéval - Historique    1 réponses

Guest, 15-02-2007, 11:44


Bonjour !


Je vais bientot réavoir pas mal de sous, je réfléchi donc dans quoi je vais pouvoir les dépenser, et je crois que ce sera des fig's historique (encore... :)).


Je vais donc me monter une armée de gaulois au 1/72e, une de lusitaniens et une de samouraï.


Pour l'armée de gaulois, le problème est celui des chars. Existe t'il des chars en vente ou vais je devoir m'en fabriquer ?


Je vais jouer une armée de gaulois de deux époques : celles du volume 4 et 6 de basic impetus.


Pour l'armée de lusitaniens, le problème, c'est tout ! Je ne sais pas quelles boites acheter, pour que ça ne soit pas trop cher... J'ai 27 socles de 4 figurines avec javelots à monter, plus des socles de cavalerie, et des javelots élite.


Si quelqun connait une boite contenant beaucoup de gars avec javelots qui pourraient représenter des lusitaniens, je suis preneur.


Ensuite, pour les samouraï, il me faudrait aussi des marques, ou des liens vers les boites.


Sinon, pour mon armée de romain, il me reste à acheter de la cavalerie, des numides à pieds et montés, des gaulois et des espagnols avec javelots (ou trouver ça ??).


Merci !


Storm_mrsmith


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Vosges 88, Epinal


Joueurs et clubs : présentation    8 réponses

Arklash, 12-02-2007, 12:33


Salut à tous


Je viens d'emmenager à dans les Vosges, à Epinal plus précisement.


Et je recherche donc des joueurs de Warhammer et Warhammer 4000 dans ce coin de France, car il n'y a aucun club.


Envoyé moi un MP pour me répondre.


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[wm] Ma Galerie Bofa


Warmaster    7 réponses

latribuneludique, 11-02-2007, 17:40


Ma dernière figurine BoFA peinte :


[Image: Gandalf_petit.JPG]


D'autres sont visibles ici :


http://warmaster-fr.niceboard.com/General-...ie-BoFA-t69.htm


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Sierra Sanglante


Récits et Poésies    2 réponses

Rat, 10-02-2007, 23:17


Allez, un petit texte inspiré par la chronologie Warhammer du Warfo.


La plupart des évenements et lieux sont "fluff".


Il y a même des références (il y en a derrière, faut pas croire, heing les gens).


C'est plus ou moins centré sur le personnage du sultan Soliman, malheureux prince et sage atypique, général de mon armée arabéenne.


J'espère que ça vous changera des récits "chaos/orques/autres vilains nelfes".


<b>Sierra sanglante</b>



Les collines s’étendent à perte de vue dans la Sierra de l’Estalie Septentrionale, sur le plateau où est bâtie une ville aux maisons blanches à terrasses, parsemée de palais et de grands bâtiments à dômes.


Cette ville se nomme Bilbali.


Des remparts, la route part vers la plaine, bordée de champs et d’oliviers, dans un paysage de collines caillouteuses écrasées sous un soleil de plomb au ciel sans nuages.


Les marchands arabéens et les bergers estaliens reviennent vers la ville, avec l’air empressé des gens sur le point de tout perdre, poussant devant aux leurs mules ou leurs troupeaux.


Au loin, un nuage de poussière :


L’armée croisée arrive.


Les gens du sultan se sont déployés à quelques lieux de la ville, si bien que les paysans et les citadins peuvent suivre les mouvements de troupes des remparts.


Les émirs de l’armée se rassemblent sur une colline pour discuter sous la tente du sultan tandis que les corps de soldats prennent position ;


La cavalerie lourde des Ghûlams avance au son des flûtes, les archers montés et les chameliers se dispersent sur les flancs, les arbalétriers mamelouks apprêtent leurs palissades de défense et la garde du Sultan, les Janissaires d’Istrabul, se rangent aux côtés des sabreurs en attendant leur maître.


Sous la tente des officiers, le thé circule et les visages sont graves.


Le sultan Soliman, dans sa côte de mailles ouvragée, prend le premier la parole.


« L’heure est décisive, frères. Une puissante armée infidèle approche. Les hommes venus du Nord, amènent avec eux la guerre, et la misère.


Il y a bien longtemps que nous régnons sur cette région, mais il va nous falloir conserver aujourd’hui ces terres. »


Le sultan se tourne tour à tour vers les différents émirs : Ali, connu pour sa ferveur, et qui affiche un sourire confiant ; Aladin, surnommé l’arbalétrier, car il a l’honneur de porter l’arme du sultan ; Wazir, qui n’aime rien tant que faire souffrir ses victimes, et qui a comme à son habitude l’air de se réjouir de la situation ; Abdul Al Hazred, qui est versé dans les arts de la magie et a visité Irem dans le grand désert ; et bien d’autres encore.


Ils prennent chacun la parole pour manifester leur désir de chasser ces infidèles du pays qu’ils pensent leur, mais certains parmi les plus sages manifestent déjà leurs inquiétudes quant à la bataille à venir.


L’armée croisée est nombreuse, et motivée.


Le sultan est un homme âgé, mais il préfère ne pas tenir compte de ces conseils portant sur un report de la bataille. Il a foi en ses guerriers. Ses ancêtres ont déjà gagnés contre eux, et lui aussi. Même ses ennemis le reconnaissent comme un tacticien remarquable.


Et pourtant, il soupire pour lui-même en pensant à ces barbares qui vont sans nul doute piller cette ville, massacrer la population et brûler sa bibliothèque, sa chère bibliothèque…


Son armée doit en ce jour mettre fin à leurs ambitions et répandre leur sang sur cette terre.


Soliman sort de sa tente avec son état major pour organiser le campement quand un long appel modulé leur parvient, porté par l’air brûlant depuis les minarets des temples de Bilbali.


Tous les hommes s’agenouillent alors à l’endroit où ils se trouvent, dans un ensemble d’une parfaite discipline qu’aucun ordre humain n’aurait pu égaler, pour prier Ormazd.


C’est l’heure de la prière.


***


L’armée du Nord a dressée son camp près d’un petit ruisseau en contrebas, dans la vallée.


Les tentes blanches s’étendent telles une neige féerique parsemée de tâches colorées dans ce paysage à la sècheresse épuisante.


Les sentinelles chargées de surveiller le camp pendant la nuit se font amener de l’eau par de jeunes bergers tout en admirant les étendards qui flottent au dessus de la ville de toile.


Il y a là des ordres militants de l’Empire, qui étaient venus libérer cette contrée du joug de l’envahisseur. On distingue les bannières des Templiers et les couleurs d’un grand nombre de chevaliers venus chercher la gloire en se joignant à la croisade, car les ordres sont peu nombreux dans l’Empire.


Ici, les adeptes de Sigmar côtoient les montagnards locaux vénérant Myrmidia.


Peu importent les convictions, car tous ces cultes se sont unis contre l’ennemi commun, non pas l’hérétique mais l’envahisseur, celui dont la foi a marquée ces terres d’une façon que personne ne pourra oublier, et encore moins pardonner.


Qui sont ils, ces bretonniens venus avec leurs hommes d’armes depuis Vizcaya ?


Et ces impériaux arrogants, ou ces mercenaires des Principautés et de Tilée, qui aiment à chanter que peu leur importe le destin de l’Empire ?


Finalement, la liberté du peuple Estalien leur importe elle vraiment plus que les richesses légendaires des villes arabéennes ?


Qu’importe.


Ils sont tous là, venus des pays d’outre-mer, avec leurs idéaux clinquants et une admiration cachée mêlée de jalousie pour cette extraordinaire civilisation.


La frustration de voir leurs ennemis si civilisés alors qu’on les dépeignait comme des barbares allait être vengée dans le sang.


Un murmure court parmi les hommes exténués par la longue marche d’arrivée ; les ennemis prient leur dieu.


Comment peut on se prétendre fins et cultivés quand on n’admet dans les territoires conquis une seule divinité barbare ?


Les croisés des diverses nations qui ne sont pas occupés se mettent alors à prier à genoux dans un commun désir de lutter contre cette diabolique voix venue de la ville lointaine.


Le général et Grand Maître Maximilien venu avec ses mercenaires brutaux du Talabecland impérial discute en compagnie du meneur bretonnien, le duc Gilles de Guise, du Prince Mario Catena le tiléen, et de plusieurs commandants de contingents alliés.


Ensemble, ils élaborent des projets de reconquête : Alcezaro étant à eux, ils ont une tête de pont en Estalie.


Ils traverseraient les montagnes et reprendraient rapidement Borgas, Jaraiz, Deltro et finalement Magritta.


Se disputant comme de jeunes pages sur le partage de leurs futurs territoires et sur le sort qu’ils réservent à Jaffar, ils en viennent à une entente tacite.


Il suffit de gagner cette bataille.


C’était si simple…


Pourtant, le doute s’installe, rôde.


Les bretonniens sont confiants mais épuisés, les impériaux pragmatiques alors qu’ils n’ont que rarement combattu un tel adversaire, et les mercenaires n’hésitent pas à afficher leurs inquiétudes pour le lendemain.


Est-on bien payé quand on meurt ?


***


Au premier appel du Muezzin, l’armée Arabéenne se lève pour la prière.


Les Emirs partent rejoindre leurs troupes dans la volatile fraîcheur matinale, les hommes encore endormis prennent leurs armes, les janissaires pratiquent leurs ablutions et les cavaliers se mettent tranquillement en formations au son des tambours invisibles de la fanfare de guerre.


***


Le sol craquelé tremble sous le pas de quinze mille hommes et six mille chevaux.


L’armée du Nord se met pesamment en route, après que les différentes factions aient accomplis leurs rites finalement semblables dédiés à leurs diverses divinités.


La colonne passe le petit ruisseau et se dirige vers la plaine où attend tranquillement l’armée ennemie.


Au bord du chemin de terre, deux delhis sont allongés ; ils sont les provocateurs de l’armée ennemie venus apporter les demandes de rédition de la part du Sultan.


Ils semblent attendre dans une grotesque position courbée, les têtes séparées de leurs corps.


Il n’y aura pas de sommations.


***


La tension est palpable dans l’armée.


Les bannières frappées du Croissant, arborant les versés du livre sacré de Mulhaed al-Quyat, flottent dans le léger vent du matin.


La journée est bonne pour la guerre, proche du Solstice d’été sacré.


Les rangs impassibles des arabéens déployés en ordre de bataille observent de loin le nuage de poussière des croisés avançant, qui, à cette distance, paraissent des fourmis désorientées.


Désorientées et fatiguées. Ils ont dû se mettre en colonne et maintenant qu’ils avancent dans une chaleur étouffante, ils sont vulnérables.


Le Sultan Soliman, monté sur un pur-sang blanc et entouré de ses conseillers et gardes, n’a qu’à esquisser un geste nonchalant de la main pour que ses trente mille hommes se jettent dans la bataille.


***


Les chevaliers n’avaient pas prévu ça.


L’armée ennemie avance vers eux. Chameaux et chevaux chargent leurs flancs, tandis que plusieurs volées de flèches s’élèvent dans le ciel, formant un nuage noir et vrombissant rependant la terreur.


Elles retombent en fauchant les premiers rangs, traversant les mailles et les chairs avec facilité.


Les nombreux cris inhumains des blessés couvrent rapidement les ordres, alors que la cavalerie ennemie, à peine à quelques longueurs de là, allait fondre sur eux.


Mais elle n’engage pas directement le contact contre le mur de boucliers hâtivement formé ; les cavaliers rapides virent soudainement, libérant à courte portée des volées de flèches terribles.


Les arbalétriers des mamelouks et le reste de l’infanterie suivent, sortant du nuage de poussière en hurlant le nom du Dieu Unique.


Mais les piquiers tiléens, qui forment l’arrière garde croisée, arrivent alors sur le champ de bataille, et renforcent l’avant-garde en déroute, brisant une charge des chameliers grâce à leurs armes d’hast de vingt coudées.


Les piétons croisés profitent rapidement de cet avantage inespéré, se reformant en ligne et avançant résolument vers l’armée ennemie, leurs propres arbalétriers répondant à ceux des mamelouks.


Le son profond des trompes et l’approche du Grand Maître des chevaliers achève de réunir la plupart des fuyards.


***


La bataille n’aurait pas dû se passer comme ça.


Une simple charge aurait dû dérouter leur avant-garde, et tout cela aurait du se finir très vite. Beaucoup plus vite.


Accompagnant les émirs, le sultan avance dans les rangs avec a garde de Janissaires, vers la ligne d’affrontement.


Il sait que ceci n’est qu’une péripétie de la bataille. Il a foi, et la supériorité numérique de ses hommes est écrasante contre les ennemis encore dispersés.


***


L’efficacité imparable du mur de pique tiléen est dans une situation bloquée face aux troupes des émirs Ben Nazir et Aladin, qui peuvent opposer à leurs ennemis un grand nombre d’hommes fanatisés.


Le bois se brise, les blessés meurent dans des flots de sang.


On en vient aux mains, et ce sont les miséricordes qui achèvent finalement bon nombre de blessés.


Les hommes se marchent dessus. Cruelle ironie! On se met à quatre pour poignarder un cavalier tombé à terre, on tranche les tissus, protections bien inutiles.


Là, un arbalétrier tir, et le carreau désarçonne un chevalier avec violence. Il ne reverra jamais sa chère Bretonnie, le courageux Gilles.


Ici, c’est l’émir Ali qui est atteint par un mauvais coup de pique alors qu’il dirige l’assaut, les versets religieux peints sur son armure ne l’auront pas sauvés.


La magie des fils du désert est impuissante à renverser la bataille.


Les chevaliers chargent, élégants fers-vêtus des ordres ou bretonniens chamarrés. Elle s’enlise, non, elle enfonce l’aile droite arabéenne…


Une bouche à feu tonne chez les croisés, effet psychologique, on fuit devant elle, puis on se regroupe. Les servants sont tous abattus.


Les chevaliers menacent un moment le Sultan, mais la garde veille, et les Janissaires groupés autour de la bannière verte surmontée du poing d’or repoussent impitoyablement l’avancée croisée.


Un moment, les armées refluent, la bataille pourrait cesser pour cette journée, mais non, la folie emporte les hommes qui continuent à s’entretuer pendant des heures.


Cédant sous le nombre, le centre des croisés menés par le général Maximillien cède un moment. Les tiléens sont pris et massacrés, on les décapite sur place, le dispositif faibli.


Mais il ne rompt pas. Les chevaliers à pieds tiennent bon, à coup de marteaux et de haches, abrités derrières leurs boucliers et leurs chevaux morts, ils ne cessent de briser la déferlante ennemie.


Leurs homologues montés finissent de disperser les adversaires à leur gauche.


La panique se répand, on dit que le sultan est blessé, peut être mort.


On le voit, bien vivant il s’enfuit vers la ville. Les chevaliers ne le poursuivent pas. Ils tuent, écrasant les hommes de l’émir Aladin, faisant battre en retraite Wazir.


Des chameaux sans cavaliers courent, affolés. Des hommes compressent leurs blessures avec leurs bras, dans une futile tentative de survivre. Les carreaux volent, abattent les survivants, les irréguliers se dispersent, les coups d’épées se répètent, la piétaille estalienne taille en pièces les guerriers arabéens.


Des officiers mortellement blessés rampent encore alors qu’on les dépouille de leurs luxueuses étoffes, et les agonisants sous des tas de cadavres appellent désespérément au secours.


Maximilien pousse l’avantage avec ses chevaliers, il sent la victoire approcher.


***


La nuit est tombée sur le plateau, et les pillards de cadavres du soir ont désertés le champ de bataille. Même les cris des blessés s’étaient tus.


Une seule source de lumière éclaire la nuit sans lune, et ce sont les bâtiments en feu de Bilbali.


Si la population a bien acceptée les nouveaux maîtres de la ville, ils se sont conduits de façon très prévisible, pillant et brûlant la bibliothèque du sultan Soliman.


Ce dernier regarde la scène depuis une colline voisine.


Il annoncera cette défaite à Jaffar, et, de là, repartira avec bénéfices et droits pour lever une nouvelle armée.


Mais même ces promesses futures ne parviennent pas à consoler le sultan de la perte de cette ville – et de tous ses livres.


Le royaume arabéen de Tigarre tombera, sa femme est sûrement morte ou réduite en esclavage, ses temples brûlés et ses amis massacrés.


Il ne parvient pas à retenir les larmes de rages et de tristesse qui affluent à ces pensées.


Enfourchant son cheval, il part dans la nuit rejoindre sa garde qui attend derrière les oliviers.


Des jours sombres s’annoncent pour les prospères villes arabéennes.


Le Rat, tiens, une défaite pour une fois.


<b>Version corrigée 4 fois.</b>


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La Grande Histoire Du Puissant Commandeur Shas’o Sa’cea Shovah Or’es Kais Livre I : Attaque D’une Ville Impériale Par...


Récits et Poésies    1 réponses

Ores, 10-02-2007, 19:15


Donc la suite


Alors que Shovah se reposait dans un bunker spécialement aménagé pour l’occasion, Kais, son garde du corps, entra dans les aménagements du commandeur, son visage d’un bleu-gris rongé par l’anxiété.


«_Commandeur, les destroyers Manta nous indiquent qu'ils on détécté des vaisseaux ennemis approchent de notre objectif !


_ Qu'ils les laissent passer et qu'ils se cachent, ils pourraient nous donner l'effet de suprise.


_Bien commandeur."


En effet la technologie des Tau leur avait permis de brouiller les communications Impériales mais pas les messages télépathiques des Psychers et ceux-ci en avaient profité pour demander des renforts à la Garde Impériale. Shovah décida de demander des renforts aux éthérés car une victoire contre une compagnie entière de la Garde Impériale, forte de plusieurs milliers de soldats et de centaines de chars était peu envisageable.


Malheureusement pour le jeune commandeur, les forces des Tau étaient soit en partance pour Médusa V soit en prise avec des affaires plus grave. Même son ancien ami, le commandeur Shas'OVior'La ne pouvait l’aider car lui et son armée affrontaient des pirates dans le système de Minbowsa. Mais les éthérés lui promirent de lui envoyer un escadron de Destroyer Manta avec des renforts .


Le lendemain matin, de bonne heure, Shas’O Sa’cea Shovah Or’es Kais observa le camp ennemi et vit grâce à sa vision supérieure que les Vostroyens avaient déployés tous leurs Basilisks et leurs Lemann Russ sur une seule ligne en face du camp des Tau. Il apprit également que les Vostroyens avaient pour chef avait pour nom Ivan Moutlinn et était Maréchal.


Shovah, après maintes réflexions qui lui prirent une journée entière pendant laquelle ses guerriers s’entraînèrent au combat, décida de déployer ses troupes comme suit (en prenant en considération le fait qu’entre la jungle où les Tau avaient établi leur camp et Brimlock il y avait une zone désertique avec peu de couverts d’une longueur de 10km) :


Les Destroyers Manta équipé de canons et de missiles tireront sur la partie Est de la ville (en détruisant le plus de Chars possible) afin d’en faire une zone pleine de couverts efficaces. A la faveur de la nuit, les exo-armures Stealth équipées d'exo-armures quasi-invisibles se dirigeraient vers la zone Ouest de la ville afin de poser des charges explosives sur les chars dans leur zone. Toujours de nuit, les Kroots se dirigeraient vers la zone Ouest (fraîchement détruite) de la ville afin de s’y mettre à couvert et de se préparer à attaquer le milieu de la ligne de monstres d'acier à l’aube. Les exo-armures Stealth devraient alors tuer les chefs ennemis et de prêter main-forte aux Kroots pour détruire les chars du centre. Profitantdu désordre, des Devilfish avec 2000 guerriers de Feu que Shovah avait gardé en réserve seraient chargés d’établir une tête de pont, aidés des Hammerheads eux-mêmes suivis des exo-armures Crisis et Broadside. Maintenant, Shas’O Sa’cea Shovah Or’es Kais n’avait plus qu’à exposer son plan aux Shas’Ui et aux Shas’El qui le seconderaient dans son opération pour le triomphe du Bien Suprême.


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La Grande Histoire Du Puissant Commandeur Shas’o Sa’cea Shovah Or’es Kais Livre I : Attaque D’une Ville Impériale Par...


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Ores, 10-02-2007, 15:47


Bonjour à tous,


une petite histoire (qui pourrait devenir une véritable épopée) sans trop de fautes d'orthographe.


Shas’O Sa’cea Shovah Or’es Kais (que nous appellerons Shovah pour plus de simplicité) scruta l’horizon et y vit la cité ruche que les Gue’la appelaient Mirlock.


Ses hautes tours s’élevaient vers l’espace et, avec une bonne vue, on pouvait voir les carcasses des


canons défensifs détruits la nuit dernière, lors du débarquement. On pouvait également voir qu’une colonne


de blindés et quelques centaines de soldats sortaient. Malgré les avertissements répétés des éthérés et un


délai de dix jours pour que les premiers habitants quittent les murs de la ville, les Gue’la s’étaient montrés


aussi bornés que d’habitude et avaient refusés de céder leurs terres aux Tau.


« Vois-tu les blindés, Kais ? »Demanda Shovah, son armure couleur sable brillant légèrement au soleil.


« Oui, Commandeur. Cependant, ils ne devraient nous poser aucun problème d’importance, les cibleurs les


ont déjà marqués pour les Railguns de l’équipe d’exo-armures Broadside. » répond-t-il de manière formelle.


Le commandeur approuva d’un signe de tête. Depuis douze ans qu’il se battait aux côtés de commandeurs


et de Shas’La de talent, c’était sa première fois que les éthérés lui confiaient un groupe de chasse et il


savait qu’il ne devait pas faillir.


Quand la formation ennemie arriva à portée, Shovah parla doucement dans son communicateur et presque aussitôt, la moitié des véhicules impériaux explosa, détruits par les projectiles à hypervélocité des Railguns. Les Gue’la, surpris par la mort de leurs monstres d’acier, se dispersèrent dans la jungle où des Kroots les attendaient pour les massacrer alors que deux explosions provoquées par les chars Hammeread retentirent à l’arrière des lignes ennemies, coupant toute retraite aux survivants. Alors que les sergents et les lieutenants tentaient de rassembler le reste de leurs soldats au milieu des explosions des derniers chars détruits par les missiles des Sky-Ray, ils furent eux-mêmes abattus par des exo-armures Stealth jusque là soigneusement camouflées par leurs brouilleurs optiques et qui avaient pour mission de tuer les chefs ennemis. Les derniers soldats furent massacrés par les exo-armures Crisis menées par Shovah. Seul une dizaine de Gue’la furent épargnés et retournèrent vers Brimlock pour témoigner de la puissance du peuple Tau. Ce premier jour fût une grande victoire pour Shovah qui avait vaincu l’armée ennemie avec des pertes minimes.


Si ce sujet vous plaît, je posterais la suite de l'histoire.


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Omnia Vinct Machina


Récits et Poésies    7 réponses

KDJE, 07-02-2007, 19:07


- ][ -

<b>33. La Dame-Balise</b>



Le Possédé hurlait dans le puits. Il hurlait assez pour que les trois kilomètres de profondeur ne suffisent jamais à Perrine Lagger Fohn. La Navigatrice... Non, ce n'est pas ainsi qu'il faut parler d'elle. La Maîtresse-Première de l'Orbe Bronze avait épousé le Dessein Obscur depuis bien trop longtemps pour n'être plus qualifiée que de navigatrice. Elle avait perdu sa Maison. Du moins, sa Maison avait perdu sa consistance officielle. Elle ne guidait plus les nefs sous le frêle éclat, lointain, toujours plus lointain, de l'Astronomican. La Maison s'était enfouie, et la Maîtresse-Première avec elle, dans ce que les historiens ne relieraient pas à l'Utopie Orientale, à la Chambranle de l'Imperium, aux derniers mètres de l'impasse dans laquelle l'Empereur avait fait sombrer l'Humanité. La Maîtresse-Première et sa Maison enfouie étaient classées secret du Contre-Empire. Un grand secret, de ceux qui savent se tordre parmi la beauté du déclin.
<i>Pérégrinations de pélerins</i>, sourit-elle à ces amères pensées. Le Possédé hurlait depuis que le Dessein Obscur existait. D'une certaine manière, il était même le cri de son enfantement.

Comment une créature pouvait-elle hurler sans discontinuer depuis tant de temps ? Tant de siècles ?
<i>Pérégrinations de pélerins</i>, se console-t-elle encore, en consultant les disques des sceaux d'isolement. Comme chaque jour depuis trois-quart de siècle, comme tous ses ancêtres avant elle, elle tire des crissements du petit disque parmi ces rouages de rouille, l'enchevêtrement horloger d'un génie sacrifié, et comme chaque jour elle marque ainsi l'aube de 24 nouvelles strangules du quotient de rétention, recommence la veille variée auprès du Possédé, prête à l'investir comme on donnerait l'assaut, à le questionner, à maintenir le siège ; à l'attendre, puisqu'il va...

De la Maison, beaucoup s'y sont usés. Le Possédé ne parle jamais et ce qu'il pense n'est pas recevable par un psycher. A peine module-t-il ses cris, de la stridence au brame. Mais ses yeux content, projettent sa démence, pleurent sanglants sur les rictus dont il a ni le temps de refermer les lèvres craquelées, ni celui de reposer l'inflammation continue des joues distendues par ses hurlements, sa folie.

Le Warp le nourrit. Et Perrine Lagger Fohn aussi, d'une certaine manière.

En soulevant sa capuche pour la rabattre, la mèche blanche qui lui tombe sur l'oeil gauche redevient la seule chevelure de la Navigatrice. Tâché par l'age, son crâne bosselé, à la peau huilée, attrape les reflets des flaques d'acide se consumant en lucioles innombrables juste sous la créature ligotée. A cette profondeur, si loin au coeur du planétoïde, l'acide suinte des parois comme le pus de la roche. Il y a presque mille ans, une seule allumette a suffi à enflammer cette humeur grasse, qui ruisselle sur la paroi parfois depuis la voûte dans une lente, très lente reptation séculaire et sans rythme. Ou déjà mille ans.

En rassurant contre son visage émacié le masque à gaz qui préserve ses poumons du poison émis par ce venin mural, Perrine Lagger Fohn songe au mécanisme qui draine le temps en une chaîne invisible habitant l'ombre entre le Possédé et le sommet de la grotte. L'acide ne coule pas sur cette magie. Invisible, la chaîne impalpable pare les gouttes brûlantes mais suspend la créature comme la stalactite espère devenir pilier. Puissant a été l'horloger, isolant la stase comme un ver annelé autour du cordon ombilical infime qui lie, peut-être par un seul synapse, ou l'épais portail d'une cellule ou d'une bactérie, le cerveau du Possédé à la ruine intrinsèque de l'Immaterium. La Navigatrice hérite de sa lignée, elle n'a d'effroi pour tout cela. Pour cette peau asséchée pendue au bout de rien, pour ce squelette saillant dans lequel s'agite souvent Celui qui l'habite ; le Possédé pisse sa haine sans bruit ni présence et celle-ci finit la lente tombée de l'acide en l'assemblant dans un bûcher trop bas.

Perrine était servante, elle héritait de sa lignée.
<i>Profonde est la mémoire des gestes inoculés.</i>

Mille ans, peut-être ? Non, pas mille ans. Retrouver la mesure du temps parmi l'autonome rouage de l'horloger, l'exacte mesure, voir ainsi le temps qui est passé, et, si cela amuse, l'asséner au Possédé comm...

La créature n'hurle plus, et le silence brutal (dont le constat est peut-être déjà tardif) est soudain comme une morsure picotant tous les pores de la Navigatrice.

Perrine Lagger Fohn se tourne vers le Possédé. Parce qu'Il l'a quitté, elle trouve enfin dans le visage une vague ressemblance... Perrine Lagger Fohn observe les traits maintenant libérés de son aïeul, celui qui enfouit sa Maison en découvrant ici le second Monde d'Ambre. Elle plie le temps. Elle sait qu'il n'y a plus de mémoire assez profonde. Elle se souvient, maintenant, de la mesure, de l'horloger, de l'exacte mesure de l'horloger.

Alors les dents déchaussées de l'aïeul lui sourient, presque dernières à éteindre les lucioles d'acide dans un affaissement de poussière.
<i>Miliens mille !</i> Tel est le gothique qui emplit l'ultime pensée de Perrine Lagger Fohn, dernière Maîtresse-Première de la Maison Enfouie.

Vers là où fut le Possédé, les atomes de la Navigatrice fuient, et derrière eux ceux de la grotte, ceux des trois kilomètres de roche, ceux qui interdisaient le vide et la nuit du planétoïde, préservaient le cachot et les puits de la Maison.

Là où fut le Possédé s'assemble une nouvelle dictature de la matière, broie de son ciment primordial la linéarité de ce qui fut et qui est maintenant remplacé.

Par le Protocole Interdit de Woens, le <i>Tullianum</i> vient d'offrir au Warp plus de la moitié de la masse d'Ambra-Secundus, y creusant comme nouveau berceau d'amarrage du vaisseau-forge les murs pentus d'un caveau pyramidal dont le sommet tronqué est immédiatement devenu le seul puits de la sphère morte.

- "Téléportage réussi à l'intérieur du planétoïde ciblé, Ingénieur Magos Technoprêtre Drix. Excavation de masse conforme. Variabilité magnétique quasi nulle. Je conspue votre audace à l'égard des préceptes bénis." racle, rocailleuse, la crécelle métallique de la voix recréée par l'amplificateur.

Triomphante, la Sorcière Rouge se détourne de la silhouette lointaine, presque embaumée, aux gestes saccadés par la mécanique sainte, du commandant en second du <i>Tullianum</i>. Il l'admire. Ils l'admirent tous.

- "Conspue, Sevré des Cartulaires, conspue ! J'aime que tu confirmes ainsi mon élévation. Oui, j'aime le dégoût de tes limites."

A son Promis Estrede col Caudine, dont le visage horrifié n'arrive pas à se détacher de l'écran de surveillance du Sanctuaire de Navigation, Augusta Drix précise :

- "Est-ce d'avoir livré les navigateurs de notre Tullianum à ces parias qui te fait uriner sur ma passerelle, Magos-Héritier ? Ou voulais-tu que je laisse la Dame-Balise les posséder à leur tour, déceler notre arrivée ? Je viens d'étêter un pont inespéré entre le Seigneur-Inquisiteur Lore Blackburn et son petit destin, Estrede. Je veux qu'il s'y rue comme une blatte sous la chute d'un rocher, me gaver de tout ce qui en giclera. N'ai pas peur, mon Promis. N'ai pas peur." applique-t-elle, maternellement, de sa prothèse aux ongles peints, au jokaero effrayé.


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[blood Bowl] Gn Blood Bowl


Blood Bowl    Pas de réponse

bolls, 06-02-2007, 23:20


Bonjour,


L'association Nouvelle Contrée vous propose de participer à son premier championnat de Blood Bowl en Grandeur Nature.


Le premier GN aura lieu les 12 et 13 mai en Rhône Alpes.


Les premières informations sont disponibles sur les sites


http://jm.bolls.net/bloodbowl/ et http://www.nouvellecontree.com/


Vous pouvez aussi vous inscrire sur la ML gn-bloodbowl@yahoogroupes.fr


Ludikement


Boll's


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