Le ratling éructa bruyamment, replaça la cigarette entre ses lèvres et entreprit de se gratter longuement les organes génitaux, signe chez lui d'une intense réflexion.
"On est bien dans la merde avec vos conneries com'."
La femme ne répondit pas. Pour l'heure, elle retournait pensivement entre ses doigts la casquette noire sur lequel brillait le petit crâne d'argent, s'arrêtant de temps à autres pour triturer ses cheveux bruns et emmêlés par le vent. Le ratling poursuivait son monologue.
"C'est vraiment un trou cette planète, y a rien à niquer ici ma parole, je vous promet com', je me taperais un grox. Vous vous en foutez vous, y a pas douze heures vous aviez l'engin du colonel jusque là dans – "
"Tu vas la fermer Potbelly ?"
On est dans la merde jusqu'au cou parce que vous êtes une nymphomane finie, la voilà la vérité com'. Il me restait pas six jours à tirer avant la perm' d'un an. Six jours ! Pour un an ! Et là, je serais rentré tirer chez moi mais autre chose, garanti. Je sais même pas s'il y a des ratlings ici."
"Tu me fatigues Potbelly. Oublie ta permission, tu n'es plus soldat. Tu n'étais pas obligé de me suivre. Et arrête de m'appeler com', je ne suis plus commissaire."
"Ah ? Faut que je vous appelle comment ? Je peux vous appeler "ma chatte" comme le colonel ? AILLAILLAILLAILLE – Je retire ce que j'ai dit lâchez mon oreille !"
La femme abandonna sa prise. Le ratling reprit aussitôt.
"Y en a marre de cette habitude de m'attraper les oreilles. Si vous voulez me tripoter des organes, choisissez les mieux que ça – AILLAILLAILLAILLAILLE ! Je me tais ! Je me tais maintenant !"
"Il faut se remettre en marche ou ils nous repéreront."
"Bah. Vous croyez qu'ils vont se fatiguer à nous courir après ? On prend combien pour désertion ?"
"Vous deux ? Vous ne prendrez pas grand chose. On vous enverra dans la légion pénale. Mais ça ne fait pas mal rassure toi. On vous mettra un joli collier de métal autour du cou avec un seringue qui vous injectera du frenzon sur commande. On ne sent rien du tout. Paraît-il. On est heureux d'aller se faire démembrer sur une mine avec ça dans le sang. Mais moi… moi j'aurai droit au régime spécial, au traitement de faveur. Il faudra qu'on puisse raconter aux élèves de la Scholastia ce qui est arrivé au commissaire Leana Leggy pour rébellion et désertion devant l'ennemi. Autant qu'elle serve d'exemple. Je préfère ne pas y penser. Allez, debout Doomy."
Le géant qui était resté silencieusement assis se redressa doucement et ramassé l'énorme paquetage posée dans l'herbe violacée pour le jeter sur ses épaules.
***
"Non seulement cette planète est minable mais en plus elle pue."
Le ratling trottinait aux côtés de l'ogryn. Celui-ci n'aurait sans doute pas vu d'objection à le transporter mais son chargement était déjà suffisamment lourd pour que le ratling n'ose lui en imposer plus. Question de politesse élémentaire.
"Elle chlingue cette merde de planète ! Voilà, il fallait que le dise, je me sens mieux là."
Leggy ne répondait pas, ne pouvant que se demander où le ratling puisait l'énergie nécessaire à un si grand débit de bêtises inutiles ; n'y avait-il donc rien qui puisse stopper cette logorrhée ? Ils ne marchaient que depuis une heure et elle était déjà épuisée. Dans cette région extrêmement polluée, l'air était si vicié et si pauvre en oxygène que tout effort physique était une épreuve. La rare végétation incapable de synthétiser la chlorophylle avait un aspect mutant aux couleurs variant entre le bleuâtre et le violet. Un fin brouillard brun et nauséabond planait sur la plaine déserte.
Doomy peinait lui aussi bien qu'il n'en laissait rien paraître. Sa constitution extraordinaire augmentée de son entraînement de sergent des troupes de choc l'aurait rendu capable de supporter cent fois plus douloureux et fatigant mais dans cette atmosphère irrespirable, il était aussi faible qu'un enfant.
"Hé com' j'ai une quest – "
"Cesse de m'appeler com' !" rugit l'intéressée soudain excédée.
"Ah ouais alors ça y est, c'est sûr, maintenant on est pote ? On se touche le cul et tout ? Bon alors j'ai une question Léa mais si elle est stupide vous êtes pas obligé de répondre hein. On va où ?"
Leggy s'arrêta. Elle avait besoin de reprendre son souffle. Derrière elle, Doomy avait arqué ses jambes et, les mains sur les genoux, se penchait en avant pour soulager ses épaules de la charge du paquetage comme en prenaient l'habitude les vieux soldats quand ils pouvaient profiter de quelques instants de pause.
La femme tendait le doigt vers une masse pyramidale sombre qui se devinait au travers du brouillard brun.
"On va là."
"Et on fera quoi quand on sera là-bas ?"
"Et bien nous tâcherons de nous introduire discrètement dans la ville et…"
Elle s'interrompit en réalisant ce qu'elle venait de dire. Discrètement ? Comment pourrait-elle espérer passer inaperçue dans son accoutrement de cuir serré marqué des insignes de l'armée, flanquée d'un gnome trop bavard et d'un monstre stupide, tous trois armés jusqu'aux dents ?
"On avisera."
***
"C'est vraiment par là que vous voulez rentrer ?"
"Je n'en suis pas sûre mais… je ne crois pas qu'il y ait de meilleure solution."
Le ratling se penchait au dessus du gouffre noir de vingt mètres de diamètre aux rebords de métal rouillé et cabossé qui s'ouvrait dans le sol, tentant d'en évaluer la profondeur. Le fond était invisible.
"C'est un conduit de cheminée qui mène aux niveaux inférieurs de la ruche," expliqua Leggy, "connecté à des recycleurs d'air. Si nous réussissons à passer par là, il n'y aura plus ensuite qu'à trouver un chemin vers les niveaux supérieurs puis un astroport. Il doit bien y en avoir un. Après… le mieux sera de nous séparer je crois. Tu pourras rentrer chez toi Potbelly."
"On se sépare ? Et on abandonne Doomy ? Vous croyez qu'il va se débrouiller tout seul ? Il ne sait rien faire d'autre que se battre. On lui a lavé le cerveau pour en être sûr. Je vous croyais plus réglo."
Leana se mordait la lèvre inférieure.
"On avisera."
"Ouais… on y est pas. Vous voulez qu'on descende là-dedans. Vous êtes une vraie femme vous alors. Avec une putain de paire de miches. Le colonel devait avoir l'impression d'être pédé."
"Pour le moment on se repose. La nuit tombe, inutile d'entreprendre quelque chose maintenant."
***
Jim Doomy ouvrit le paquetage et fouilla à l'intérieur. Les premiers rayons du soleil perçaient péniblement le brouillard de pollution. Assis sur le sol de terre desséchée et rocailleuse, Leana Leggy et Paolo Potbelly l'observaient en silence. L'ex-commissaire le rompit soudain.
"Pourquoi tu m'as suivi Potbelly ? Doomy il ne pose pas de questions. Il ne dit jamais rien de toutes façons. Je lui ai dit de ramasser tout le matériel qu'il pouvait trouver et de me suivre, il l'a fait. Mais toi ?"
"Moi ?"
Le ratling fit la moue.
"Je me suis dit que ça pourrait être intéressant. Avec vous y a toujours une histoire de cul."
Jim avait tiré d'un des sacs une masse et un long piton d'acier qu'il entreprit d'enfoncer entre deux pierres qui émergeaient du sol.
"Pourquoi il ne dit jamais rien ? Il est muet ?"
"Doomy ? Je ne sais pas. Personne ne sait. Techniquement il sait parler. Il est même plutôt intelligent pour un ogryn même si son intelligence a été reprogrammée pour servir toute entière à tuer. Pour ça, c'est un véritable génie. Il parle parfois mais c'est extrêmement rare. Je crois que ça le fatigue. Et en général, il n'en a pas besoin pour se faire comprendre : il grogne et ça suffit."
Le colosse avait terminé son travail. Il s'assura de la solidité de la prise, accrocha un mousqueton à son extrémité et jeta dans le vide du gouffre métallique le rouleau de filin d'acier tressé qui suivait. Enfin, il arrima à sa ceinture le coulisseau de métal qui passait sur le filin, enfila un épais gant de cuir maillé et ouvrit son bras large comme une roue de char en direction de ses deux compagnons. Léana s'approcha de lui et calant sa botte de cuir sur le genou du monstre, grimpa prestement sur son épaule. Potbelly ouvrit des yeux stupéfaits.
"Mais… vous voulez qu'on s'accroche à lui pour la descente ?"
"Doomy est bien le seul mâle dans l'univers avec qui je puisse fermer les yeux quand je suis dans ses bras."
"Ggggzz… Ouah ah ah ! Mec, elle te fait des avances là, vas-y fonce, c'est le bon plan ! Elle est complètement accroc, je te dis, c'est dans la poche ! Ah ah !"
***
Leana ne put contenir un soupir de soulagement quand elle entendit la botte ferrée de l'ogryn toucher le sol. Potbelly avait toujours les yeux fermés, n'ayant, durant toute l'heure qu'avait duré la lente et précautionneuse descente, cessé de prier l'Empereur, lui promettant de faire vœu éternel de chasteté s'il s'en tirait vivant, promesse qu'il oublia instantanément en posant un pied sur le sol.
"Ah ah ! Je le savais ! Je disais justement : si je m'en sors vivant, c'est que j'ai une grosse bitte ! Ah ah ! Merde, il fait noir comme dans un four."
"Et il fait chaud comme dans un four."
"On est peut-être dans un four."
Le ratling reprit soudain son sérieux et tira une petite lampe torche de sa poche.
"Il reste probablement des dizaines de kilomètres à parcourir avant d'arriver à un niveau habité de la ruche."
"Je ne pense pas ; il y a un bruit."
Leggy tendit l'oreille mais dut admettre que ses facultés de perceptions étaient largement inférieures à celle du petit abhumain.
"Je n'entends rien…"
"Un bruit régulier, comme un ronflement. Je dirais le bruit d'un ventilateur."
"En avant."
***
"Bien joué Potbelly. C'est un ventilateur."
Le souffle d'air étant si puissant que même Doomy avait du mal à rester debout alors qu'il étaient à plus de huit cent mètres de la machine monstrueuse dont les pales d'acier tournait à une vitesse folle. Réfugiés derrière la masse de l'ogryn, les deux autres tenaient leur casquette pour les empêcher de s'envoler.
"Et on passe comment ?"
"Que veux-tu que j'en sache ?"
Leggy frappa l'épaule de Doomy et se mit sur la point des pieds pour lui crier à l'oreille, tentant de couvrir le sifflement du vent :
"Faut passer !"
Elle agitait le doigt en direction du ventilateur. L'ogryn acquiesça et reprit sa marche. Soudain déséquilibrée, Leggy tomba au sol, entraînant le ratling dans sa chute qui dut s'agripper précipitamment à sa robe de cuir lisse pour ne pas être emporté par la tornade.
"Qu'est-ce qu'il est allé faire ?" cria-t-il. "Il ne va quand même pas se jeter là-dedans ?"
"Je n'en sais rien !"
Trois détonations très puissantes se firent soudain entendre loin devant eux. Il leur sembla soudain que le déplacement d'air se faisait moins fort. Au bout de quelques minutes, il s'était suffisamment apaisé pour qu'ils puissent se relever et approcher, couvrant la distance qui les séparait de leur compère.
L'ogryn regardait les pales ralentir doucement, son Ripper Gun encore dans sa main. Il y avait trois énormes trous dans la coque du rotor du ventilateur.
"Ah oui, c'est une méthode."
L'espace entre les pales était juste assez large pour qu'ils puissent le traverser. De l'autre côté se trouvait ce qui semblait être un gigantesque terrain vague de sable et de poussière dont émergeait un chaos de poutrelles métalliques tordues et de carcasses de véhicules légers. Pas âme qui vive en vue. Le tout était plongé dans la pénombre, faiblement éclairé seulement, ça et là, par un lointain projecteur blafard et vacillant. Au loin, on devinait ce qui semblait être des blocs d'habitations.
"Toute cette zone de la ruche va être rapidement asphyxiée. Des techniciens vont sûrement venir le réparer mais quand ils vont voir ce carton, ils donneront l'alerte. Il vaut mieux ne pas avoir à donner d'explication."
***
La rue était si sale et empestait à tel point Leggy en était malade. Mais c'était le seul endroit d'où provenait du bruit et de la lumière. En s'approchant, ils purent constater que s'y ouvrait ce qui devait être une sorte d'auberge. L'enseigne annonçait : "Au mutant crevé". De nombreux petits véhicules légers à quatre roues faits d'assemblages de tubes et de tôle en mauvais état ainsi que quelques motos étaient garés devant l'entrée.
"C'est un endroit comme un autre pour collecter des informations. Reste avec Doomy si tu as peur."
"Peur ? PEUR ? MOI ? Non, j'ai pas peur. Bon d'accord, Jim, je suis ton ami, reste avec moi."
Leggy poussa la porte et entra, suivie de Potbelly. Doomy dut rentrer les épaule et presque s'agenouiller pour franchir le seuil.
Le silence tomba instantanément sur la pièce.
L'intérieur de l'auberge n'était pas désagréable. Non il était franchement détestable. Toute l'architecture était de poutrelles de métal glacial et rouillé ; le sol, de tôles mal arrangées et boulonnées ou rivetées de manière chaotique. Les tables étaient de simples tubes de métal soudés à des plaques qui avaient été circulaires piquées de rouille. Les sièges étaient de simples billots de fer.
Quarante paires d'yeux étaient braquées sur Leana alors qu'elle approchait doucement du comptoir en prenant l'attitude la plus froide et la plus martiale dont elle était capable. Paolo tira Jim par la manche et l'entraîna vers une table vide où ils s'assirent. L'ogryn offrait un spectacle ridicule, assis sur un billot trop petit devant une table trop basse.
"On va pouvoir s'en griller une," commenta le ratling en tirant une cigarette de sa poche. "J'espère qu'il y a moyen de se procurer des tiges dans leur patelin de merde, j'en ai bientôt plus."
Autour d'eux les conversations reprenaient doucement mais à voix plus basse et de nombreux yeux continuaient à les fixer. Potbelly était mal à l'aise. Du coin de l'œil, il observait Leggy à présent occupée à discuter avec le patron du bar. Il vit un jeune homme à l'aspect avenant vêtu d'un pantalon de toile râpé et d'un veston de cuir trop court l'accoster et entamer la discussion avec elle.
"Regarda ça !" piailla le ratling en tapotant le coude de l'ogryn. "Mais regarde ça ! Je te parie que dans moins de deux minutes, ils montent à l'étage."
Il finissait à peine sa phrase que le jeune homme prenait la direction de l'escalier, suivie de Leggy.
"T'as vu ça ! Elle est pas là depuis deux heures et elle a déjà trouvé le moyen de se faire mettre ! C'est dégueulasse, y en a jamais que pour les mêmes ! Et moi, pendant ce temps, je fais quoi ? Hein ? Je me branle ?"
L'ogryn ne répondit pas. Le patron s'approchait d'eux, une chope remplie d'un liquide étrange et verdâtre dans chaque main. L'une d'entre elle devait bien avoir deux litres de contenance.
"C'est... pour vous je crois. Commandé par la dame. Euh, y a rien à payer."
Il s'éclipsa aussi vite qu'il était apparu visiblement peu désireux de rester à portée de main de l'ogryn.
"J'espère au moins que la picole locale est pas mal."
Le ratling porta la chope à se lèvres et la reposa, une mine de dégoût sur le visage, avant de revenir à son sujet de prédilection.
"Au fait, j'ai pas encore pu te demander Jim. T'es d'où toi ?"
Doomy ne répondit pas. Il buvait à grand bruit, n'appréciant visiblement pas le goût du breuvage mais heureux de pouvoir rafraîchir son gosier desséché. Sans se démonter, Potbelly poursuivait.
"T'avais une copine là-bas ? Un mec comme toi, tu devais en emballer. Surtout monté comme tu dois être. Allez vas-y, on est pote, fais pas le salaud, raconte les détails. Elle était bonne ? T'as essayé la – "
Il s'interrompit en voyant Leggy redescendre l'escalier. Elle était rouge et essoufflée, triturant ses cheveux emmêles alors qu'elle traversait la pièce avec un calme relatif en direction de la porte. Stupéfait, Potbelly la suivit du regard jusqu'au moment où elle ouvrit la porte pour ressortir dans la rue.
"Je… crois qu'on ferait mieux de la suivre."
Les deux abhumains se levèrent. Ils franchissaient le seuil à leur tours quand ils entendirent des cris de colère derrière eux.
"Cours Doomy !"
Ils traversèrent la rue au pas de charge en direction de Leana qui montait à bord d'un des buggies. Malgré les protestations du ratling, Doomy l'attrapa par le col et se mit à courir plus vite pour la rejoindre et sauter à l'arrière de l'engin qui démarra sur les chapeaux de roues, repassant devant la porte de la taverne d'où sortait une foule furieuse et menaçante. Certains hommes étaient armés mais les trois fuyards étaient déjà hors de portée et ils ne purent que contempler le buggy s'enfoncer dans les ténèbres de l'avenue.
"Il faut une clé pour faire démarrer ces engins," expliqua Leggy en désignant du doigt le petit objet de métal fiché dans le tableau de bord. "Je l'avais remarqué tout à l'heure."
"Et vous vous êtes fait tringler juste pour avoir cette clé ? Mais en plus d'être une nymphomane, vous êtes une pute !"
"Je ne me suis pas fait tringler, imbécile !"
"Ah ouais ? et le type vous l'a donnée gracieusement ? Sans rien dire ?"
"Et comment voulais-tu qu'il dise quelque chose sans sa carotide ?"
Potbelly fouilla dans le chaos de sac et de paquets entassés à l'arrière de l'engin et exulta en trouvant ce qu'il cherchait.
"Ah ah ! Des clopes ! Vous choisissez bien vos amis !"
***
Fin de la première partie et je doute qu'il y en ait une deuxième
il suffit d'aller dans autres jeux et cliquer sur mordheim, il y a un didacticiel bien sympa pour les débutant désirant se lancer dans l'aventure Mordheim et bien autres chose.
Voici le deuxieme journal convrant les activités sur mordheim, finie le monopole de Town Crier, abonnez-vous au corbeau journal francophone (cocorico).
Vous pourrez y trouver les feuilles de bandes a télécharger ainsi que quelques scénario sympathiques, dont un mutlijoueur. On peut aussi avoir un avis sur chaque bande.
Voila mon premier rapport de bataille je le remmettrai au propre plus tard, je demande votre avis.
Walburg est un village isolé du sud/est de l'empire pres des montagne noires dans l'ancien comte du Soland, une petite noblesse s'était formé a base de brigand et de mercenaire, la ville grossi economiquement d'année en année mais son apogée fut stoppée par l'apparition d'une horde souterraine de skavens.
L'apparitions des skavens ne faisait pas parti du domaine de l'imprévu et leur venu n'est autre pour un gisement de malepierre dans le sol de Walburg.
Les defenses s'organisa rapidement et une armée pu etre levé dans un temps record.
Mais tout se joua sur les talents du général décadent.
Skavens
- Squik chef skavens 1O3pts
breuvage skavens
arme a 2 main
armure lourde
Sling assassin skavens 15Opts
épée de puissance
Talisman de malepierre
2x(3O Guerriers des clans
EM complet
mitrailleuse ratling)
47Opts
2x(1O coureurs nocturnes
grande cape)
18Opts
nuée de rats 9Opts
canon a malefoudre 1OOpts
6 coureur d'égout 96pts
Total= 1189pts
Empire
Le capitain général Nelzeim 121pts
Lance de cavalerie
arc long
armure de plate complet
bouclier
épée d'acier beni
Le sorcier Moebius 145pts
Niv 2
2 parchemins
14 Arquebusiers 179pts
E-M complet
Arquebuse a répetition
8 Cavalier des chiens enragés (count as loup blanc) 314pts
E-M complet
Cercle intérieur
Banniere d'Ulrik
8 Cavalier De la panthere 274pts
E-M complet
Cercle intérieur
Banniere du Griffons
2 Canons impériales.
Total=1199pts
Lorsque les éclaireurs ramenèrent les informations sur l'arrivée d'une armée d’homme rat tout le monde les ont pris pour des affabulateurs, des fous.
Les généraux n'aimant pas la plaisanterie les fit tous enfermer dans les cachot du château jusqu'à qu’ils reprennent leur esprit.
Mais leur dire commença a s'avéré être de plus en plus vrai car chaque nuit, on pouvait entendre des couinement inhabituel et le lendemain on retrouvait un ou deux gardes mort, leur cadavre portait des morsures étranges.
Nelzeim inquiet pour sa vie fit sortir des cachots les éclaireurs et leur demandèrent dans quel direction exactement se dirigèrent ces monstres et leur taille, ils affirmèrent tous dans notre direction et assez imposante.
Des pigeons voyageur furent envoyé vers les proche ville de l’empire au risque d’être découvert et de devoir être sous le joug impérial et d’autre en directions de la bretonnie. Les jour passèrent et l’atmosphère se faisait de plus en plus oppressante ne voyant pas le retour de leur message, ils décidèrent de choisir un autre plan celui de les détourner de Walburg.
Le prince commença à regrouper son armée les deux ordres de chevalerie qu'il avait sous sa coupe, les quelques soldats de son armée régulière et son sorcier Möbius et partir a la rencontre de la horde.
Le 2O monstag les 2 armées se firent face, l’avantage était aux habitants de walburg qui les attendaient sur la seule route franchissable.
Les deux canons étaient déployés de chaque coté de la passe, les arquebusier se positionnèrent a coter du canon qui se trouvait a la gauche du prince, Nelzeim était entouré par ses meilleurs chevaliers au centre de la passe.
La horde pullulante se déploya dans une désorganisation total mais on pouvait distinguer au loin des machines venu d'un autre monde. L'une d'entre elle luisait d'une sombre couleur et éblouissaient les arquebusiers qui lui faisaient face.
Le soleil commençait a ce coucher, voyant la horde ennemi entrain de ce placé Nelzeim tata le pommeau de Gwael cette épée qui lui a été toujours fidèle, il l’a dégaina d’un mouvement simple et souple et il fendit a plusieurs reprise l’air mais on pouvait voir une perle de larme coulé sur ça joue, elle lui rappelait son passé au sein de l’armée impérial sous la bannière du comte d’Ostland, lui si brillant capitaine qui n’a jamais faillit qui a été trahit par des rivaux jaloux, se trouvant la a se battre pour aucune cause comme un vulgaire mercenaire lui qui était tomber si bas ne préférant que la luxure et la paresse, sa ferveur pour Sigmar ayant disparu dans les limbes de ses souvenirs, il savait qu’un jour cela finirait comme ça, il savait que s’était sûrement le dernier couché de soleil qu’il verrait. Mais il fut rappelé à la réalité par des cris tonitruants et inaudibles qui lui glacèrent le sang l’un des régiments adverse mené par un rat de haute stature au poil sombre était dans un état d’ébullition. Un petit rictus malgré la peur apparu sur le visage Nelzeim voyant se simulacre d’armée.
Il regarda ses deux premiers chevaliers, il leurs aboya alors ces ordres en leur indiquant leur objectif à atteindre.
Il sera fort la lanière et il brandis son épée en défi a l’armée adverse.
Les cors des deux ordres sonnèrent ainsi que le tambourin du régiment d’arquebusier.
Tous cela signifiait qu’une chose… la bataille avait commencé.
Walburg engagea le combat en premier profitant du désordre adverse pour essayer de les surprendre, les deux ordres fonçaient à tout allure sur les 2 gros régiments ennemis leur faisant face côtoyer par d’étrange machine.
Nelzeim voyant le danger provenir du coté des arquebusiers par des rats encapuchonnés. Les tentatives désespérées de ceux-ci et de möbius ne lui laissèrent qu’un seul choix, il ordonna à l’ordre des chevaliers panthères d’aller à leur rencontre.
Dans la fureur des combats plus personne ne fit attention a l’étrange machine, celle-ci se mit a briller d’un sombre éclat, un tir foudroyant visa l’ordre des panthères, un noble tomba mais ne retira pas la volonté de l’escadron.
Les chevaliers panthères se retrouvèrent dans un guet-apens, les rats encapuchonnés jouant le rôle de carotte, ils furent entouré par les forces ennemie il n’eu le temps de ce battre que le canon, et la drôle de machine multitubes qui suivait l’un des deux régiments avait réduit l’escadron a son chef. Le premier chevalier dans un acte héroïque chargea le canon tuant l’équipage avant de rejoindre ces ancêtres.
Cette même machine calma les ardeurs de Möbius désirant protégé les chevaliers panthère dans une volés de balles.
Nelzeim n’en revenait pas son armé fut réduite de moitié en un rien de temps les canons était entouré.
Lui et ces chiens enragé représentaient le dernier carre, prêt a ce battre jusqu’a la mort.
Nelzeim continua à suivre les chiens enragés s’apprêtant à charger, ils furent surpris par la vitesse foudroyante de leur ennemi qui les prit au dépourvu, le combat fut une véritable boucherie.
Les skavens venant en masse les entouré. Nelzeim se battu avec une passion retrouvé mais la fin se faisait de plus en plus proche, les chien enragé ne pouvait plus contenir la masse de fourrure, les canons était détruit, les chevaliers panthères faisait partie du passé, les arquebusiers sur le point de n’être plus de ce monde, il réussi à ce dégagé du combat. D’un dernier geste héroïque il éperonna son destrier, il sera son épée, il chargea une de leur étrange machine qui ressemblait au canon feu d’enfer en criant pour « pour sigmar », les balles commençaient a siffler autour de lui, il sentait les balles qui le pénétrai mais ne changeant rien a sa détermination, il planta son épée dans le corps de cette machine qui avait tant fait de mort.
Les derniers chiens enragés fuyaient.
A l’article de la mort Nelzeim put voir que l’armée d’homme rat continua leur chemin comme si de rien n’était sans prendre en compte des morts.
Walburg allait tomber et il n’aura pas pu changer le cours des choses.
Une larme glissa sur sa joue, demandant le pardon. Dans un dernier souffle, il partit pour des cieux meilleurs.
Le Nain Dont La Biroute En Airain Resplendit Au Firmament m'a filé un scan de "La Flamme Vacillante".
C'est un mélange étrange entre une volonté de faire de la pseudo hard SF pour faire pro et des détails d'un ridicule qui fait rire.
Le détail premier à noter, c'est les pyramides. Elles seraient visibles depuis le bout du système stellaire...
Bon, admettons qu'il s'arrête à la dernière planète, et non pas à une ceinture d'astéroide ou à l'héliosphère. Disons que la loi de Titus Bode s'applique à ce système, et que la masse de l'étoile est en gros la même que celle du soleil (ils disent K, mais ils ne précisent pas le numéro).
La 4ème planète sera séparée d'environ 1.8 Unité Astronomique de la planète. Déjà qu'on a du mal à voir Mars qui est à 0.6 UA, ca a intêret à être gros (Mars a un diamètre d'environ 4.000 km)
On parle vaguement de "qui ferait passer des cités ruches pour des fourmilières!". Alors bon, afin d'avoir un truc qui cadre, on va essayer ca : prenons le rapport entre une grosse pyramide (300 m) et une fourmilière (30 cm) : on a un ratio de 1000. Les plus grosses cités ruches font 12 kilomètres de hauteur, ce qui donne environ 12.000 km de hauteur. Ca va : c'est visible de loin, mais c'est quand même un peu la taille de la terre.
La planète serait "pleine de nécropoles parsemées de pyramides". Ah, mais des pyramides de 8.000 km, faut les caser : la base doit être assez large pour soutenir toute la structure du dessus (ou alors, c'est du métal tro tro résistant). Il va falloir une planète un peu patate maousse pour avoir assez de superficie. On va dire (parce que je suis indulgeant) 100 fois la taille de la terre. Ca fait donc :
Une vitesse de libération de 1.100 km/s (0.3% de la vitesse de la lumière. Ouf, c'est qu'un tiers de la vitesse d'un vaisseau impérial, heureusement que j'ai pris 100)
Une gravité de 100 G, ou 75 G en admettant que ce soit du silicate (ca fait un peu mal aux jambes)
Ca risque d'être un peu en conflit avec les autres planètes en ce qui concerne l'orbite. genre qu'il faudrait espacer encore plus (ce qui fait que la 4eme serait encore plus loin! :))
Ce jeu vous propose de participer à des matchs de football américain un peu spéciaux dans un monde fantastique et particulièrement violent.
Vous pourrez incarner au choix, un joueur. Vous devrez alors vous faire engager dans une équipe et participer à de nombreux matchs afin de devenir le joueur le plus reconnu de la ligue. Ou bien incarner un coach. Ceux-ci devront gérer une équipe en engageant et vendant des joueurs, en donnant les positions de coup d’envoi. En clair, organiser la vie de l’équipe pour la mener vers les hauteurs du championnat. Allez jeter un coup d'oeil aux matchs.
J'en suis qu'au début. Commentez si vous vous sentez d'humeur
***
YNARSKI PRIME
Ynarski Prime est une planète tellurique située dans le système stellaire de Balka, de longitude galactique 75°, à 20.000 AL du centre galactique (28.820 AL de Terra, donc dans la zone de l’Astronomican), et 7 AL au-dessus du plan galactique (plan de l’écliptique de la galaxie), avec le « haut » définit arbitrairement par rapport à la position de Terra. Elle orbite à 1.1 UA autour de l’étoile XS-II, de catégorie G3 (troisième planète du système). Son diamètre est de 11.800 km et son inclinaison par rapport au plan de l’écliptique est de 25°, ce qui lui donne des variations de saisons semblables à Terra. Elle est d’une composition riche en métaux, ainsi que matériaux radioactifs, et a ainsi une densité moyenne de 6, lui donnant une gravité de 1.62. Une journée dure environ 25 heures et une année correspond à 1.024 années terrestres, soit 359 jours locaux. L’atmosphère est un mélange d’azote (78%) d’oxygène (21%), et de divers autres gaz (dioxyde de carbone, gaz rare, vapeur d’eau). Le dioxyde de carbone est en quantité relativement importante, provoquant un effet de serre plus important que sur Terra. Sa pression est de 1.02 atmosphère. Le climat est relativement chaud, et à 30° de latitude, la température varie entre 13°C et 45°C. L’humidité est en moyenne de 44.5%.
En raison de son abondance en matériaux radioactifs, l’activité tectonique de la planète est encore vivace, malgré ses six milliards d’années d’existence.
Les premières traces de vie remontent à 4.5 milliards d’années, sous la forme d’une vie unicellulaire basée sur le silicium. La vie basée sur le carbone n’apparaîtra que 800 millions d’années plus tard. Cette période est suivi d’une évolution normale, bien que la vie silicieuse ait un A.D.N trop résistant pour pouvoir compter trop sur les mutations spontanées. Trois collisions avec un astéroïde de taille majeure dans cette période. Les théories Impériales actuelles pensent que la race indigène des Armen ait été implantée environ deux millions d’années avant le présent à partir de coyotes terriens, en raison de la morphologie similaire et de l’absence de fossiles d’avant cette période (bien que les recherches paléontologiques à ce sujet aient du mal à se dérouler en raison de la présence des Orks).
La colonisation de la planète date de 21.832 par la flotte de colonisation de l’Amiral Ynarski. La colonisation se fit sur Ynarski elle-même, sur deux de ses trois lunes, Sarrak et Tchet, et à partir de 22.613, sur la deuxième planète du système, Kyor, en raison de ses ressources minérales. Les tentatives de terraformation de Kyor ont toutes échoué, la population continua donc à vivre dans les cités ruches. Les invasions des Orks commencèrent dès 22.312, mais furent repoussées. En 24.837, les contacts avec la Terre sont rompus en raison de tempêtes dans l’Immaterium. Bien que la colonie soit alors autonome, la population humaine se fait balayer par la Waaa-Bolgrunt en 25.260, et la population de Tchet est presque anéantie dans la foulée. La Waaargh est alors sur la fin, et arrêtée sur Sarrak.
Quelques tentatives de reprises sont tentées, à coup de soldats ou de bombardements, mais le nombre d’Orks est alors trop important pour tenter quelque chose. Sarrak et Kyor se contenteront de repousser les quelques tentatives d’attaques. La population Orks augmenta jusqu’au point où l’idée de reprendre la planète sembla irréaliste, même avec la population de Kyor dont les cités ruches couvraient presque toute la surface de la planète.
Durant les trois millénaires suivants, Sarrak et Kyor font face à une augmentation du nombre de psykers, mutants et autre. Sarrak mène une politique de contrôles rigoureux du génome avec abatage des mutants et psykers dangereux. La population trop nombreuse de Kyor rend cela impossible en revanche, et une population mutante se développe lentement, phénomène accentué par l’utilisation de générateur de champ de phase pour l’industrie minière et parfois sujet aux défaillances.
Tchet de son coté voit ses habitants retourner à un niveau technologique primitif. Les autres planètes pensant que sa population fut décimée, ils ne cherchèrent pas à aller les aider.
Fin du 30eme millénaire, l’Hérésie d’Horus ne fut pas sans conséquence. Bien que ne sachant rien de la guerre qui se déroulait, trois vaisseaux Chaotiques, de Tzeentch, Nurgle et Khorne débarquent dans le système. Le vaisseau des Gardes de Nurgle s’écrase sur la surface dans les environs de l’équateur pour une raison inconnue. Les deux autres se lancent au combat et combattent les Orks. Les Khorneux sont vaincus, et les Tzeentcheux repartiront vaincus eux aussi.
En 31.225, le Rogue Trader Becker découvre le système, qui se joint sans trop de réticences à l’Imperium, et le dirigeant de Sarrak est nommé Gouverneur Planétaire. Le Culte Impérial s’implante tant bien que mal parmi la population.
Une fois dans l’Imperium, le système stellaire passera par une première Xenopurge, afin de mettre la main sur les ressources minérales et pétrolières de la planète. On dépêche quelques corps d’armée de la Garde Impériale, de la Legio Reductor, Legio Cybernetica, et une Legio Titanica. L’attaque surprise de ces quelques millions de soldats fut efficace, combinée aux bombardements orbitaux, mais les Orks se sont vite repris. Malgré la meilleure organisation et stratégie de l’armée Impériale, la contre-attaque Ork se comptait en plusieurs centaines de millions, étant installés là depuis plus de 5.000 ans. L’armée Impériale fut obligé de fuir elle aussi. L’Exterminatus fut refusé, et l’on décidait qu’une autre Xenopurge se chargerait de la planète.
En 34.732, une force de renégats de Tzeentch, avec le Frère Capitaine Murdock des Thousand Sons à sa tête, débarque sur la planète à des fins de pillage et d’en profiter pour récupérer une épée démon. Sarrak réagit immédiatement et envoi un détachement de FDP. Après massacre de plusieurs milliers de personnes, les Thousand Sons et une partie des cultistes repartent en passant outre les défenses spatiales. L’autre partie des cultistes n’a pas eu le temps de rembarquer et resta coincé sur la planète, rejoignant les tribus Orks ou pirates, ou, comme pour les Hrud, s’implantant pour y rester.
En 41.007, l’Inquisiteur C.W. Shad lance l’opération « Grand Nettoyage de Printemps » destinée à récupérer la planète.
Description du système de Balka dans son ensemble :
L’étoile centrale du système est l’étoile unique de XS-II, de catégorie G3 et de 6.3 milliards d’années. Rien de bien notable concernant cette étoile.
La première planète est Kitsun, à 0.4 UA de l’étoile. C’est une simple boule de roche avec un cœur métallique, sans atmosphère, activité interne ou champ magnétique. Son diamètre est de 5.200 kilomètres, sa densité de 4.7 et sa gravité de 0.7.
La deuxième planète est Kyor, à 0.8 UA de l’étoile. Assez similaire à Ynarski à la base, sa position plus proche de l’étoile fit évaporer toute l’eau liquide, empêchant la fixation du dioxyde de carbone dans l’eau, provoquant un effet de serre effroyable, semblable à Vénus, même si la pression est néanmoins moins importante. La richesse du sous sol fut cependant une raison suffisante pour sa colonisation. Les premières ruches furent des édifices de plasticier protégés par des champs de force (alimentés par des centrales à fusion), mais la solution efficace fut appliqué petit à petit, consistant à construire sur pratiquement toute la surface de la planète, avec ici et là encore des flèches de cités ruches. Les rejets de déchets industriels vers la surface formèrent une couche protectrice, et maintenant la cité ruche elle même est pratiquement invisible.
La planète possède toujours une activité interne et donc un champ magnétique. Elle possède une unique lune, rocher de 200 km de diamètre en silicate. On pense à un astéroïde capturé.
Au delà d’Ynarski (3ème planète), on trouve une ceinture d’astéroïde. On dit que c’est un lieu où certains pirates Orks dissimulent leurs butins, mais les chasseurs de trésors n’ont jamais rien trouver.
A 4.5 UA, on trouve Gargor, géante gazeuse de taille moyenne (131.000 km de diamètre). Densité de 1.3, gravité de 3.9. Composée d’hydrogène et d’hélium principalement, avec un cœur rocheux et une couche d’hydrogène métallique. Une cinquantaine de lunes.
A 9.7 UA, c’est Aarzak, une autre géante gazeuse assez semblable. 117.000 km de diamètre, densité de 0.8, gravité de 1.9. Structure identique. Une trentaine de lunes.
A 27.5 UA, on trouve un planétoïde nommé Fnord, qui porte le nom de planète uniquement car il tourne autour de l’étoile et est en dehors de la ceinture d’astéroide qui se trouve derrière lui. Une boule de roche de 4.500 km de diamètre, densité de 4, gravité de 0.4. Il est recouvert d’une couche de glace de méthane, d’azote et de dioxyde de carbone.
Balka dans l’Imperium :
Les planètes dites Impériales sont les quatre suivantes (par ordre d’importance) : Sarrak, Kyor, Ynarski et Tchet. Le Gouverneur Planétaire de cet ensemble est le dirigeant de Sarrak, élu démocratiquement par l’ensemble des citoyens de la planète (Kyor a trop d’habitants pour cela, et comprend de plus des mutants dans sa population).
Sarrak :
Sarrak, troisième lune de Ynarski, est une planète civilisée assez prospère. Nombre de STC ont survécu à l’ère des luttes, permettant une économie florissante avec l’extérieur. Sa population totale est d’un milliard trois cent millions. Un taux de mutants très bas par sa politique d’extermination systématique. On y parle une version du bas gothique assez proche du standard impérial.
Kyor :
C’est un monde ruche recouvrant l’ensemble de la surface de la planète. La population n’y est qu’estimée, et on a avancé des chiffres telles qu’un billion de personnes. Dans un monde où l’énergie, l’air et la nourriture ne sont pas chose acquise, on retombe vite dans les mêmes schémas que Nécromunda, où la loi du plus fort s’applique pour la possession des ressources. Tant que les ouvriers remplissent leurs quotas, cela n’inquiète pas le gouvernement, qui ne préfère d’ailleurs pas lancer de coûteuses opérations contre les guerres de gangs. La nourriture vient d’un monde fermier à 7 AL de là, et sinon des cuves hypodroniques (technologie Squat) ou bien des infects rations des recycleurs de matière organique.
Ynarski :
Ynarski n’a de monde Impérial que le nom. C’est surtout un monde Ork, avec plus d’un milliard de peaux vertes. Il existe une base de FDP, venant principalement d’anciens Gangers ou de criminels, que l’on envoi là bas pour la forme puisqu’il reste peu d’espoir pour la planète.
Tchet :
On y trouve principalement des exploitations minières et forestières. On y recrute également les humains ayant régressé à un âge antérieur à l’utilisation de métaux pour la Garde Impériale.