Voilà la petite histoire de mon Capitaine. C'est mon premier récit Battle, alors ne soyez pas trop sévère.
Le Capitaine Gruben Vanther.
Le Capitaine Vanther Gruben est un homme grand et massif, ses cheveux sont bruns, longs et épais. Sur le champ de bataille, il est équipé d’une armure forgée de la main des nains et porte aussi un heaume pour se protéger le visage. Il possède une grande épée que lui a cédé son prédécesseur, le capitaine William Nutingam. Il mène les troupes de Talabheim au combat la plupart du temps sur un destrier mais il lui arrive aussi de se joindre aux troupes les plus farouches afin de leur insuffler le courage nécessaire pour se battre contre les ennemis impies de l’Empire. Ses hommes le respectent et partent confiant livrer bataille à ses cotés.
Mais avant de devenir un Capitaine de renom, Vanther Gruben est passé par bien des épreuves et des mésaventures qui ont forgés son courage et sa sagacité. A l’âge de 16 ans, il fut désigné pour devenir simple écuyer. Son devoir était de servir le Sergent William Nutingam. De porter ses armes à laver ses culottes, Gruben faisait tout et n’importe quoi dans l’espoir de bien servir son maître. C’est alors qu’un jour, alors qu’il était sagement attablé dans une auberge de Tablabheim en compagnie de son maître qu’un homme s’avança pour leur parler. L’homme était petit et frêle, il portait de petites lunettes rondes sur le nez. Il se présenta sous le nom de Ridem Gouéver.
« Bonjour mon seigneur, dit l’homme en s’adressant à William Nutingam, ignorant totalement le simple écuyer qu’était Gruben. Je suis scientifique, et j’ai ouie dire que vous aviez maintes fois prouvé votre grade de Sergent au combat.
-C’est exact homme de science, qu’est ce qui t’amène à me parler ?, rétorqua le fier Sergent. » L’homme s’invita à la table et demanda au tavernier de lui amener une chope de cervoise bien fraîche. Gruben avait les yeux ronds et les oreilles bien ouvertes. Il lorgnait vers leur nouvel hôte et était impatient de savoir ce que l’homme avait à dire à son maître. Gruben était une personne qui s’intéressait à tout et plus particulièrement aux histoires qui étaient rapportées par les groupes de guerriers. Il n’avait pas souvent l’opportunité d’en apprendre plus, surtout de ce qui était au-delà des frontières de l’Empire. Assurément, l’homme de science avait une histoire à révéler sinon pourquoi viendrait-il voir un Sergent tel que William Nutingam ?
« -Eh bien, je voudrais me lancer sur une étude des plus intéressante, commença l’homme. Il s’agit d’étudier la faune et la flore du Pays des Trolls. Malheureusement n’étant pas moi-même un manieur exceptionnel de l’épée, je pensais trouver en votre personne, un allier sur pour m’escorter plus au nord de Kislev...
-Le Pays des Trolls est bien dangereux, qu’est ce qui me pousserait à t’accompagner sur ces toundras ?, coupa William. » L’homme aux lunettes sortit une petite bouse en soie finement ouvragée et répandit un joli tas de pièces sur la table.
« -Il y a là 200 pistoles, et il y en aura autant au retour. Gruben lorgnait les pistoles jusqu’à ce qu’il tourne le regard vers son maître. William prit une pistole et la serra fort entre ses dents.
-Hum…Cela à l’air d’être intéressant. Il prit la bourse et y rangea les pièces avant de serrer la cordelette. C’est d’accord homme de science, nous t’accompagnerons, moi, mon fidèle écuyer et quelques hommes enclins à manier l’épée. »
L’affaire avait vite été conclue entre les deux hommes. Il avait été convenu que William regroupe ses hommes devant l’église dans la matinée du lendemain. Là, attendrait Ridem Gouéver avec un dessinateur qui pourrait lui faire des esquisses sur les bêtes observée.
Gruben ne ferma pas l’œil de la nuit, il était bien trop exité à l’idée de partir au-delà des murs de Talabheim, surtout sur des terres dangereuses.
Le matin se leva sur les contrées Impériales. Le soleil esquissait un sourire qui venait réchauffer la terre humide de l’aurore. Gruben était déjà debout, son excitation ne l’avait pas quittée. Il s’affairait à la tache qui lui incombait. Il faisait des va et viens dans l’écurie sellant les chevaux de son maître et de ses hommes d’armes que William était allé réquisitionner le matin même. La plupart d’entres eux avaient acceptés. C’était de braves guerriers. La majorité servait dans l’armée de l’Empire en tant que miliciens, certains étaient lanciers ou arquebusiers confirmés.
Gruben avait enfin finit les préparatif, il ne fallait plus attendre que son maître et les hommes d’armes. Il décida de fumer un peu de tabac en attendant. Assis sur une murette près de l’écurie il crachait des volutes de fumée quant William Nutingam arriva enfin. Surpris il sauta de la murette et jeta sa cigarette sur le coté bien loin de la paille.
« -Gruben, ne perdons pas une minute de plus, amène les chevaux dans la cours. Celui-ci obtempéra illico et tira une à une les bêtes par les rennes jusqu’à la cours. Les hommes était parés et équipés pour l’occasion.
Ridem attendait tranquillement discutaillant avec un homme coiffé d’un chapeau près de l’église quant la troupe arriva. Suivirent de courtes présentations et les hommes une fois tous réunies quittèrent Talabheim s’engouffrant dans les forêt Impériales. Une route les mena jusqu’à Kislev ou ils quittèrent le chemin tracé pour progresser dans les champs. Au bout de plusieurs longues heures de chevauchée, ils parvinrent jusqu’à la frontière du Pays des Trolls. Les plaines, les bosquets laissèrent place à la toundra, il faisait de plus en plus froid et bientôt des flocons de neige apparurent. Une demi-heure plus tard les hommes marchait en file indiène suivant les pas du cheval de William Nutingam. Gruben était absorbé à la nature et observait chaque recoin d’un œil attentif. Ils parvinrent enfin près d’un rare cours d’eau. Dans le lointain, ils distinguèrent deux masses près de la rivière. Ridem était aux aguets, il avait saisit une feuille de parchemins et accompagné de trois hommes et du dessinateur, ils s’avancèrent silencieusement se confondant avec la nature. Ridem prenait des notes sur le comportement des Trolls d’eau tandis que le dessinateur traçait quelques esquisse des créatures.
Plusieurs haltes suivirent la première et par chance, Ridem récoltait de plus en plus d’information sur la faune et la flore. La nuit une fois tombée, les hommes de William s’empressèrent de hisser un campement. La nuit se passa sans encombres mais une fois le matin venu, alors que Gruben était allé chercher de l’eau dans le Lynsk, il découvrit avec horreur que derrière la rive des chevaucheurs de sanglier gobelins et hobogoblins semblait avoir repéré leur piste. Zigzaguant entre les arbres pour ne pas se faire voir il rejoignit avec hâte le campement ou dormait encore les hommes. Dans l’empressement, il réveilla son maître et lui fit part de ce qu’il venait de voir un quart d’heure plus tôt de l’autre coté de la rive du Lynsk. William se leva prestement et réveilla un à un ses hommes. Pendant que ses hommes se préparaient, il observait le lointain. A l’horizon, il pu distinguer une marrée verte qui allait déferler sur leurs positions incessamment sous peu. Ses hommes étaient fianlement prêts à accueillir comme il se doit les créatures affamées. William avait donné une épée à son écuyer et lui avait prodiguer les premiers conseils pour qu’il fasse front aux peaux vertes. Gruben savait se servir d’une épée, son maître lui avait appris mais jamais il n’avait été au combat. Ce serait pour lui la toute première fois.
Bientôt la vague de chevaucheurs de sangliers s’abattit sur les forces de William. Elle percuta les hommes semant le trouble dans leur ligne. Un corps à corps sanglant s’engagea. Les hurlements des hommes et des créatures se mêlaient. Gruben était aux aguets, il combattait avec hargne et courage près de son maître. William pourfendait de nombreux peaux vertes de son épée fétiche les jetant un à un à terre avant de les achever. Un sang nouveau coulait sur sa lame. Finalement, les hommes réussirent à repousser les créatures impies mais non sans mal. Nombre des leur étaient tombés au combat. Gruben se tenait debout le bras gauche ensanglanté. Il serrait son épée de toutes ces forces tandis que son regard se perdait sur les cadavres. Il réalisa que la guerre n’était pas un jeu et c’est ce jour là qu’il compris que les terres qu’il aimait tant avait besoin d’hommes pour défendre la patrie.
Son maître, impressionné devant la couardise de son écuyer, il le nomma quatre ans plus tard, lancier pour combattre dans les forces de Talabheim. Gruban grandit de nombreuses expérience aux cotés de son ancien maître se révéla de plus en plus un meneur d’homme. Il combattait avec le courage d’un seigneur et la férocité d’un lion. Jusqu’à l’age de vingt huit ans, il combattit par mis les lanciers du régiment des « Cœur de Lion » de Talabheim. William Nutingam était entre temps devenue Capitaine. Il menait au combat les troupes de l’Empire avec tout le savoir et l’expérience dont il pouvait être capable. Mais lors d’une bataille contre les forces du Chaos, il perdit la vie. A l’orée de la mort, sur le champ de bataille fumant, Gruben tenait son ancien maître, son Capitaine, son ami entre les bras. Dans un dernier souffle, William Nutingam lui légua son épée qui avait vu de nombreuses victoires.
Quelques temps plus tard, les talents reconnus de Gruben lui permirent de devenir Sergent, puis des années plus tard, Capitaine de Talabheim. Aujourd’hui, Gruben Vanther, respecté de tous, mène les troupes de l’Empire au combat défiant chacun de ses adversaires au nom du regretté William Nutingam. Il brandi son épée et fait s’abattre la parole de l’Empereur sur les hérétiques et ennemis impies de son royaume natal, Talabheim.
Voilà, récit sans grande prétentions. Je voudrais quand même avoir vos critiques pour voir si elles rejoingnent celles que l'on m'a déjà faites.
Un marine au combat: L'attaque d'Union Walk.
Barge de bataille Union-Walk, de nos jours…
Dans une pièce hermétique, au fond du vaisseau se trouve vingt Marines solidement harnaché aux plots compacts de métal leur servant de siège. Au plafond, une béante ouverture d’où parvient l’air qui se renouvelle constamment pour approvisionner la pièce. La pièce doit faire tout juste 5 mètres de largeur pour 20 mètres de longueur, au bout de celle-ci, un sas menant sur les cales du vaisseau, l’autre sas lui mène vers d’autres pièces lugubres vers l’avant de la barge. Les couleurs sobres fusionnent avec le métal et l’acier pour créer une atmosphère lourde et pesante…
- Comme je te le dis ! Le raider de ces ordures s’est immobilisé au dessus d’un amas cahoteux ! Ces fourbes Eldars noirs sont sorti de là, ils étaient au moins quinze ; l’homme s’humecta un instant les lèvres et reprit. J’ai sorti mon obus sans perdre une seconde, dans ces cailloux, ces judas perdraient un temps précieux avant de pouvoir nous tomber dessus. Pendant qu’Akim et Donavan, leur faisaient prendre une douche de tirs appuyés, je mettais l’obus dans le cylindre de mon canon ! L’homme s’arrêta de parler et se pencha en avant, malgré le harnais de sécurité qui le retenait pour jeter un coup d’œil à ses collègues du fond pour voir s’ils l’écoutaient. Un homme se curait les dents avec son canif, un autre astiquait son armure énergétique pleine de sang mais et les autres écoutaient attentivement.
- Bon alors tu continue, l’interpella un homme avec une barbe de deux jours qui le différencier des autres…L’homme se remit à raconter…
- Aussitôt dis, aussitôt fait ! J’avais le temps de voir venir mais en quelques secondes tout était prêt ! Ils sortaient tout juste de leur empêtrement et « blam », je n’avais pas aussitôt appuyé sur la gâchette que l’obus retentissait au loin ! Et en plein le mille, vous auriez du voir ça ! La fumée épaisse s’éclaircissaient, on était aux aguets…Les membres de ces cons avaient volé en lambeaux de chairs…Des bras, des jambes, des têtes, un peu de tout partout ! Il n’en restait pas un ! Ces cons avaient débarqués de leur raider sur un terrain rocailleux, non sans blague, quelle bande de cons !
- T’as fais ce qui s’appelle un carton plein Emerick ! félicita un marine à l’attention de l’homme qui avait parlé.
- Je savais bien que les Eldars Noirs avaient passés trop de temps avec les Orks ! rajouta le sergent.
- Ha ! Ha ! Sergent vous avez…Blam ! Celui-ci fut interrompu par un claquement métallique étourdissant qui résonna inlassablement dans la pièce...
- Qu’est ce que c’était ? demanda prestement un marine.
- On a du heurter quelque chose, répondit le sergent calmement. Allumez les écran de communication et établissez moi un contact avec l’avant du vaisseau immédiatement. Emerick s’exécuta, il détacha son harnais de sécurité et alla vers le poste de contrôle au fond de la pièce. Il alluma un écran et poussa quelques boutons. Une seconde plus tard, la communication était établie. Le sergent avait saisi l’intercom et parlait :
- Poste de contrôle, ici le sergent Baguers de la section d’assaut, qu’est ce qui se passe ? c’était quoi ce claquement ?
- On a du heurter un astéroïde, pour le moment nous n’en savons pas plus, nous collectons toutes les données, il me faut une minute pour les déchiffrer, attendez.
- Bien, parlez dès que vous avez du nouveau. Baguers posa l’intercom et s’assis près du poste de communication. Le silence était retombé, il essaya de lire dans le regard de ses hommes, aucun ne paraissait inquiet, ils semblaient confiants et leur visages étaient impassibles.
- Hum…vous ne trouvez pas qu’il fait froid ici ? demanda le nouveau.
- Je ne sens rien moi, répondit le soldat à sa gauche.
- Non attends, il a raison, je me les gèle aussi dit un marine assis au fond de la rangée. Quelques marines acquiescèrent. Un autre marine pris la parole :
- Vous n’entendez rien ? On dirait comme un sifflement…Sur ce il se détacha à son tour et s’arrêta à coté du sergent qui levait la tête inspectant la paroi…
- C’est une fissure dit le sergent d’un air inquiet, mettez tous vos casques, dépêchez vous si vous ne voulez pas mourir asphyxier. Tous s’exécutèrent. Le marine mis la main sur la minuscule ouverture, la coque avait été ébranlée. Il remarqua un liquide verdâtre qui lui coulait le long du bras, celui-ci traversa l’armure et lui arracha un hurlement de douleur, illico il retira sa main.
- Putain qu’est ce que…Le sergent leva la tête mais il n’eut pas le temps de voir venir, le liquide avait creuser la coque du vaisseau et s’écoulait maintenant comme un torrent traversant toute la structure. Le vacarme violent d’un vent aspirant enroba toute la pièce. L’ouverture devenu un gigantesque trou en quelques instant aspira d’un trait le sergent au dehors de la barge puis venait le tour du marine. Emerick se cramponnait à ce qu’il pouvait pour ne pas être à son tour aspiré par l’ouverture béante. A cet instant l’intercom crachota. Les mots était couvert par le vacarme. Seul Emerick asse près du poste de communication avait pu entendre, il rugit : « Des Tyranides ! » Tous avaient cru mal entendre mais une seconde plus tard ils avaient saisit leurs bolters. Un montre terrifiant été entré par l’ouverture, ses bras n’étaient que de terrifiantes mandibules acérées. Emerick attrapa une tôle en métal qui était posé sur le coté et la plaqua contre l’ouverture tandis que le monstre se retournait vers lui et accompagné d’un cri strident il lui asséna un coup de son bras tranchant. Celui-ci traversa son armure au niveau du poignet. Emerick hurla !
Les membres du groupe d’assaut se détachèrent de leur harnais de sécurité mais bien qu’ayant le bolter à la main, il savait qu’une salve de bolts pourrait blesser un de leur camarade dans un espace aussi confiné.
Le monstre arma une nouvelle fois son bras mais Emerick, face à lui se jeta à terre et glissa entre les pattes de la créature, il venait d’échapper à une mort certaine. Le monstre se retourna d’un mouvement vif mais Emerick s’était relevé et avait saisit le bolter d’un de ses camarades. A cette distance, il ne pouvait pas le rater, à savoir encore si les balles du bolter lui causeraient des dégats…
Emerick, aligna le bolter qu’il tenait avec ses deux mains. Ils se campa sur ses jambes et pressa la détente qui délivra une salve meurtrière de bolts. La plupart des balles transpercèrent la créature lui arrachant un cri de douleur et vinrent se figer dans le métal au fond de la pièce. La créature s’écroula au sol. Une seconde passa, l’adrénaline qui tenait Emerick retomba instantanément. Alors qu’il tenta de s’approcher, la créature se releva vivement en exécutant des mouvements saccadés. Elle paraissait souffrir et son attention était détournée. Un marine s’avança , profitant d’une seconde d’inattention du monstre et poussa Emerick sur le coté avant de sortir une énorme épée énergétique.
C’était sûrement la seule arme à leur disposition pour éradiquer leur nouvel hôte. Il asséna frénétiquement des coups tranchant à la créature Tyranides qui finalement succomba pour de bon à ses blessures.
A cet instant une secousse projeta la plupart des marines à terre. Emerick, tombé sur le coté se releva.
-Qu’est ce que c’était encore ? hurla t-il. Il se releva et repris un air serein derrière son casque. Il s’avança doucement vers la créature et la retourna à l’aide de son pied. La bête était bel et bien morte, le groupe n’avait plus rien à craindre.
La créature était apparue prenant de cours les marines, heureusement ils avaient réagit comme il le fallait. Mais le vide sidéral qui s’était engouffré par la fissure avait emporté le Sergent Baguers et un marine. Emerick sorti de ses pensées quant soudain le poste de communication se mit à émettre de petits sons. Il s’avança, saisit le petit micro et poussa le bouton pour parler.
-Section space marine d’assaut à l’écoute, dit Emerick d’un ton placide avant de lâcher le poussoir.
-Le vaisseau est touché nous sommes attaqués. Je répète, le vaisseau est en péril nous sommes attaqués. Il faut évacuer. Emerick poussa de nouveau le bouton pour confirmer la demande d’évacuation. Un marine pris la parole :
-Que se passe t-il ?
-Le temps n’est pas au bavardage mon frêre, il faut rejoindre la section d’évacuation, répondit Emerick. Je prends le commandement de l’unité. Les marines étant disciplinés, aucun n’émit la moindre remarque. L’heure n’était pas à la protestation. Emerick appuya sur un bouton et le sas du fond de la pièce se déverrouilla. Tous se précipitèrent vers le sas qui les mena dans les dédales de la barge. Le groupe d’assaut commença à parcourir les nombreux couloirs avant de tomber sur une bande de termangants qui creusaient un passage dans le métal à l’aide de leurs écorcheurs qui libéraient un fil épais d’acide sulfurique. L’une de ces sales bestioles tourna la tête en leur direction suivit presque instantanément par l’essaim tout entier comme s’ils n’étaient qu’une seule et même entité. Emerick n’attendit pas un instant de plus, il brandissa son bolter et appuya sur la détente.
-Termagants ! Marines, prenez vos positions, hurla t-il lâchant ça et là un salve pour appuyer ses camarades dans la manœuvre. Les marines s’exécutèrent comme si Emerick avait été leur Sergent depuis toujours. La plupart purent prendre position dans les brèches régulières qui parsemaient les couloirs du vaisseau. Ceux qui n’avaient pas cette chance devraient compter sur leurs armures énergétiques pour palier aux tirs ennemis. Les termagants ne tardèrent pas à riposter et l’essaim délivra les jets acide des écorcheurs. Emerick se planqua rapidement dans l’une des brèches et hurla de nouveau à ses camarades. « A couvert ! » Mais c’était trop tard, deux marines semblaient avoir été touchés par le pyro-acide des termagants. L’un était tombé sur le sol et était pris de convulsion tandis que l’autre moins chanceux avait subit l’attaque au visage. Le pyro-acide avait traversé son casque. Il se tenait la figure et hurlait à la mort. Son armure énergétique lui transféra une surdose de drogue de soualgement pour lui éviter de souffrir. Le surhomme s’abattit comme une masse contre le sol et ses hurlements s’arrêtèrent bientôt. Emerick décida de prendre les devant, il sorti de son couvert et se précipita vers les termagants donnant son ordre d’assaut. Il avait saisit son épée énergétique et la vague de marine qui le suivait s’engouffra entre les lignes termagant. Un corps à corps sanglant s’engagea. Il tourna très vite à l’avantage des marines qui étaient en supériorité numérique. Les bêtes tyranides hurlaient tandis que les épées s’enfonçaient dans leur corps dont l’acide giclait. Certains marines furent touchés dont Emerick qui n’avait pas été épargné par l’âcre substance des créatures. Sa main n’avait maintenant plus qu’un aspect difforme mais il ne semblait pas qu’il sente la moindre douleur. « Il faut rejoindre la section d’évacuation, lança le nouveau Sergent à ses hommes. Ne perdons pas une minute. »
Après ce combat qui avait laissé plusieurs soldats sur le carreau, le groupe rejoignait enfin une grande pièce à quatre entrées disposées à chaque coin de celle-ci. Le vacarme assourdissant envahissait la salle, les marines criaient et les tirs de bolts fusaient de tous les coté. Emerick et le groupe d’assaut se trouvait à l’est, sur une passerelle dominant le plateau principal. Un groupe de marine était campé près de l’un des quatre sas. Ils essayaient de contenir les assauts Tyranides. Ceux-ci tentaient d’envahir la zone et se rapprochaient dangereusement des positions space marine. Un loyaliste, adossé contre le mur rechargeant son arme interpella Emerick.
-Rejoignez immédiatement la zone d’évacuation, on ne pourra pas les contenir bien longtemps, lança t-il alors même que l’un de ses camarade s’écroulait à ses pieds. Allez-y ! hurla le marine avant de se relever et de lâcher une grêle de munition en guise de réponses aux tirs nourrit que venait de délivrer les assaillants. Emerick ne perdit pas une minute et pris les devants, le groupe rejoignit illico la plate forme gravitationnelle au centre de la pièce. Les secondes qui passaient en attendant l’ascenseur semblaient interminables. Finalement, il arriva enfin et le groupe d’assaut s’y engouffra prestement avec quelques autres marines. L’ascenseur se mis en marche et commença sa descente à l’étage inférieur.
-Comment ces monstres sont parvenus à nous lancer un assaut aussi rapidement ?
-Je ne sais pas répondit Emerick. Ce qui est certains, c’est qu’il ne faut pas traîner, ils sont bien plus nombreux et leur attaque surprise nous as déstabilisée. Il vaut sauver ceux qui peuvent l’être encore. C’est bien trop dangereux, nous se savons rien de notre adversaire ajouta Emerick quand l’ascenseur se stabilisa.
Les portes de l’ascenseur gravitationnel coulissèrent laissant libre champ aux marines de pénétrer dans la zone d’évacuation.
C’était un immense complexe. On pouvait voir de nombreuses passerelles à différents niveaux sur lesquelles se déroulaient les combats. Plus bas, de nombreux marines se pressaient à droite et à gauche pour investir les Tunderhawks. La sirène d’alarme préconisant l’évacuation retentissait sans cesse. Les hauts parleurs grésillèrent et une voix féminine et robotique s’éleva.
« Attention à tous l’équipage, le panneau d’évacuation va s’ouvrir dans H, moins une minutes. » Le groupe d’Emerick prit position dans l’un des douze Tunderhawks disponible. Il ne fallait plus que patienter, le décollage était imminent Quelques secondes plus tard les Tyranides commençaient à investir la pièce tandis que les derniers marines se dépêchaient d’embarquer sous les tirs organiques de leurs agresseurs.
Un grondement se fit entendre, les pilotes du Tunderhawks avaient allumés les moteurs à fusion de la machine. Le vaisseau se stabilisa au dessus du sol attendant que l’immense panneau du sol coulisse. Emerick imita ses hommes qui s’étaient pressés de mettre leur harnais de sécurité et jeta un regard au delà. « 10, 9, 8, 7... ». C’était les derniers instants passés à l’intérieur de la barge de bataille. Bientôt les Commandant de la huitième compagnie devraient rendre des comptes à la lumière de l’Empereur en expliquant la façon dont Union Walk à été perdue.
« Ouverture du panneau d’évacuation. »
Le panneau au sol coulissa et quelques secondes plus tard, les Tunderhawks, sous le feu ennemi, quittèrent un à un l’immense vaisseau pour s’engouffrer dans le vide sidéral de l’hyperespace.
Indispensable à chaque armée, ces différents corps de la Garde ne sont pourtant pas très bien décrit. Voici une petite compilation de diverses sources. On trouve pour des fonctions proches des corps parfois différents, et par soucis de ne pas se faire chier, je les classerais plus ou moins comme les corps de l’armée anglaise (qui inclut le Royal Corps of Signals, l’Adjudtant Generals Corps, le Corps of Royal Engineers, l’Intelligence Corps, le Royal Logistic Corps, l’Army Medical Services, le Corps of Royal Electrical & Mechanical Engineers et le Royal Army Chaplain’s Department), qui est une bonne source de renseignement, ayant un site clair et complet (que vous trouverez à cette adresse : http://www.army.mod.uk )
CORPS LOGISTIQUE
La logistique est très peu décrite. Une brève mention à ce propos dans le Codex Imperialis (le livre Impérial, pas le supplément V2), une citation parlant des Logisticiens dans le Black Codex V3, et, plus connu, la Flotte, chargée du transport, et les cuisiniers Ratlings.
On peut supposer que les Logisticiens sont des Gardes Impériaux, avec une insigne spéciale pour leur rôle. Voici quelques idées des différents rôles qu’un Corps Logistique peut remplir :
Transport : Bien que le transport interstellaire soit assuré par la flotte, il faut également pouvoir transporter les gardes, les tanks, l’artillerie d’une zone à une autre durant les campagnes. Des pilotes et un personnel d’entretien des véhicules sont nécessaires.
Ravitaillement : En eau, en nourriture, en carburant, en munition. Avec camions de transport, voire largage par avion.
Contrôle du mouvement : afin d’assurer une bonne circulation des unités et de pouvoir ainsi suivre la stratégie adoptée.
Traitance : Comme déjà mentionné, les Ratlings sont populaires pour ce genre de postes.
CORPS D’INGENIEURS
L’Adeptus Mechanicus est tout désigné pour ce genre de tâche, mais on trouve aussi dans la Garde des Corps d’Artificier (pour le déminage, par exemple. Les Squats sont également utiles dans ce domaine).
Les Technoprètres de la Garde et leurs serviteurs sont l’exemple le plus évident, mais on peut aussi imaginer des Artisans. Les rôles à remplir sont entre autre :
La construction de bâtiment (les bunkers sont un des exemples évidents)
L’entretien du matériel, des véhicules, des armes, et leur fabrication si cela est nécessaire
CORPS MEDICAL
Là, la description est assez complète, avec les Médics, docteurs et chirurgiens disponibles, avec leurs rhino-ambulances et autre. On peut imaginer aussi des vétérinaires, pour les unités de cavalerie.
CORPS DE COMMUNICATION
Pour les communications interstellaires, on trouve les Astropaths. Sinon, rien de très différents d’aujourd’hui : des soldats spécialisés avec communicateurs, les communications d’un régiment étant centralisées dans le Léviathan de Commandement (ou bunker de commandement, c’est selon). En spécialiste, on trouve également les Transmitors de l’Adeptus Mechanicus.
CORPS D’INTELLIGENCE
Là encore, peu de renseignement. Le Codex Imperialis parle d’espionnage, et on peut supposer que les Lexicanis de l’Adeptus Mechanicus sont chargés de la compilation des informations, et peut-être les Logis de les analyser (ou alors, c’est simplement fait par une autre organisation de la Garde Impériale). On trouve également des membres de l’Administratum, comme le vaillant Notaire de Terrain Corwen Quilp, chargé de collecter les informations.
CORPS DISCIPLINAIRE
En plus des Commissaires, n’ayant guère d’autres buts que le maintient de la discipline, on trouve la Police Régimentaire, qui s’occupe sans doute, en plus de la discipline elle-même, de tâches comme le ramassage des prisonniers de guerre, la supervision des populations civiles, le contrôle des réfugiés, etc etc (se référer à l’article sur la Field Police). Au début de la V1, on trouvait également des Juges de l’Adeptus Arbites pour les Légions Pénales.
MINISTORIUM
En plus des Commissaires, on trouve sans doute des Prêcheurs pour entretenir la foi parmi les Gardes Impériaux.
ADMINISTRATION
Sans surprise, il s’agit sans doute de l’Adeptus Administratum, comme son nom l’indique.
COMMANDEMENT
N’oublions pas l’unité non-combattante la plus importante, bien à l’abris dans les profondeurs du bunker ou du Léviathan de Commandement contrairement à ce qu’on voudrait nous faire croire, dont le rôle premier est de se pencher sur d’étranges formes géométriques de cartes holographiques. Ce sont les Commandeurs et Généraux de la Garde.
Hop, j'ai acheté "Coeur du Chaos", il y avait ca qui trainait
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Héritier du Changement
Menteur de Tzeentch sous formes volées (K’aitsa’chinu’i)
M CC CT F E B I A Dex Cd Int Cl FM Soc
6 55 42 5 4 13 87 2 89 89 89 89 89 0
Traits psychologique : Rencontré sous sa forme naturelle, l’Héritier provoque la terreur chez toutes les créatures vivantes.
Magie : L’Héritier peut lancer des sortilèges comme un Sorcier Démoniste de niveau 2. Il dispose de 20 Points de Magie.
Règles Spéciales : L’Héritier peut devenir éthéral à volonté, comme avec le sort Elémental de niveau 3, Etheralité (WJRF, p169). Cette capacité lui coûte 1 Point de Magie par tour (minute)
Les Héritiers, les moindres des serviteurs démoniaques de Tzeentch et les moins connus, sont les yeux, les oreilles et les agents des plus grandes puissances du panthéon du dieu. Ils passent le plus clair de leur temps à circuler entre les Royaumes du Chaos et d’autres mondes, à perpétrer les méfaits de leurs maîtres et à rendre compte des situations et complots en cours.
Ils ressemblent beaucoup à leurs maîtres, les Seigneurs du Changement, mais possèdent une forme et une taille plus humanoïdes, avec de longs bras, des jambes grêles et une peau écailleuse profondément ridée. Leurs petites ailes de chauve-souris leur permettent de voler sur de courtes distances. Les Héritiers ont cependant la capacité de changer de forme et peuvent adopter l’apparence de n’importe quel représentant de race humanoïde, indéfiniment et sans que cela leur coûte de Point de Magie. Nul ne sait vraiment si ce pouvoir est de nature physique, magique ou psychologique. Selon certains rapports, lors d’incidents où un groupe comprenant plusieurs races a rencontré un Héritier, chaque race l’a vu sous une apparence différente ; l’humain a vu un humain, l’elfe a vu un elfe, etc. Si un Héritier se fait passer pour un individu particulier, quiconque connaît « l’original » a droit à un test d’I pour détecter la supercherie.
Grâce à leurs voyages dans les royaumes du temps et de l’espace, et aux complots ourdis sur un millier de mondes, les Héritiers ont développé une formidable rouerie maléfique et un instinct tortueux pour la manipulation des esprits et des émotions de toutes les races. Ils peuvent regarder dans l’âme d’un individu et lui promettre tout ce qu’il désire afin de le convaincre d’œuvrer – consciemment ou pas – pour les Puissances du Chaos. Les chances qu’un Héritiers tienne un jour ses promesses sont très faibles.
Les Héritiers opèrent généralement près des Portes du Chaos, des portails, collèges de magie ou tout autre lieu qui leur fournit le moyen de passer d’un royaume à l’autre. Si un sorcier ou un démoniste tente d’invoquer un serviteur de Tzeentch, c’est souvent un Héritier qui répond. Dans leurs missions d’infiltration et de collecte d’informations dans le monde de Warhammer, ils travaillent presque toujours sans l’aide d’autres démons ou créatures chaotiques.
Bien que les Héritiers ne soient pas considérés comme faisant partie des guerriers de Tzeentch, ce sont des combattants aguerris et intrépides, capables d’attaquer avec des armes de corps à corps ou leur bec et leurs griffes.
Je me permet de faire un peu de pub pour l'asso que nous venons de creer, elle s'appelle la CONFRERIE DES CHEVALIERS DU DE. Nous nous trouvons entre tours et le mans dans la sarthe, nous jouons a 40k battle , battlefleetgothic,confront , jeux de roles et autres si vous voulez plus de renseignement contacter moi a:
Bon voila, j'ai deja mis sur plusieurs forum ce 1ier chapitre, mais celui ci a été modifié alors vu que ce forum n'a pas encore vu cette histoire, ben je vais commencé avec la version un peu refaite (la scene de combat)
Voila, jespere que vous aimerez
Chapitre I.
Goulfier de Saint-Gilles était ce que l’on appelle une forte tête.
Son adolescence dans le château de Lastours, au cœur d’un vaste domaine seigneurial ou son père régnait en patriarche, était passé comme une succession d’orages et de tempêtes...
Sa mère, la dame de Chambon disait qu’il avait du caractère et que cela pourrait lui servir dans la vie ; son père, lui, répétait sans cesse en regardant le ciel, qu’avec ce démon il fallait s’attendre a tout, et surtout au pire...
Depuis sa tendre enfance son unique et véritable passion, était la chasse. Il la pratiquait pour remplir le charnier de venaison, tout autant que pour perpétuer une tradition héritée de son ancêtre, Guy le noir qui avait garni jadis les murs du château : de hures de sanglier, de bois de cerf et de multiples fourrures d’ours.
Lorsqu’il devint adulte, sa physionomie et son esprit avaient encore pris une tout autre dimension. Ne possédant en aucune circonstance, les manières, ni l’attitude, d’un gentil homme de Bretonnie, que la bonté et la courtoisie font de meilleur. Bien au contraire, sa profondeur d’esprit et sa bonté d’âme, se limitaient au tintement aigu de sa lame contre l’acier et son sens de la justice à celui de son caractère rustre et froid ou l’ambition et la gloire se confondaient à l’honneur, a-tel point qu’on aurait pu le confondre avec un de ces nobles barbares des contrées du nord, qu’on appelle l’Empire.
C’est à cause de cela, qu’on se méfiait de lui, qu’on le tenait à l’écart.
Certains même de ses compagnons de chasse avaient renoncé à le suivre dans ses équipées, écoeuré par sa cruauté envers le gibier qu’il prenait plaisir à torturer avant de l’achever.
Mais il s’en moquait puisque la solitude n’était pas pour lui déplaire.
Puis un jour, son père, voyant que la mort ne tarderait guère plus à venir l’emporter, fit en sorte que son fils aîné Bohémond puisse lui succéder sans embûche. Se méfiant du caractère belliqueux et arriviste de son fils cadet, Goulfier, qui pourrait à sa mort réclamer la baronnie et engendrer une guerre fratricide, qui mettrait le domaine à feu et à sang.
Pour parer à cette éventualité, il comprit que la provocation restait en soit la meilleure des solutions...
- Il est temps pour toi fils de choisir une épouse. En fait, comme tu en es incapable et que cela ne te chante guère, nous avons choisit pour toi.
- La fille du seigneur d’Arbusson est le meilleur parti qui convienne à notre lignée. Nous n’allons d’ailleurs pas tarder à avoir sa visite.
Tu t’efforceras de nous faire honneur par ta tenue et tes propos.
Goulfier sursauta de rage, et un rouge d’indignation aux joues s’écria :
-Mais père, je n’ai pas vingt ans et tout le temps de penser au mariage ! Cette Agnès je la connais pour l’avoir rencontré dans une foire, elle a passé fleur et sa laideur est source de plaisanteries !!
- Je te l’accorde mais sa dot fera passer sur ces disgrâces. Tu l’épouseras ou je te rejetterais hors de notre famille !
Sa réaction ne se fit attendre. Le lendemain, au petit matin, il constata que ce « démon » s’était vêtu et harnaché comme pour aller disputer un ruban dans une joute, avait choisi la selle la plus convenable et pris sa cuirasse légère des grands jours, dont son utilité avait été mainte fois prouvé lors de combats singuliers.
Avant d’enfourcher sa monture, il maudit une dernier fois son père, jurant a voix haute tout en brandissant son épée, qu’il reviendrait en ces lieux auréolé de gloire, se venger de l’affront dont il fut victime...
Renié par les siens, il se résigna à s’exiler. Errant durant de nombreux mois en titubant à travers toutes les tavernes de Brionne jusqu'à ce que l’argent vienne à manquer.
Lorsqu’un soir dans une auberge après avoir continué sobre son chemin vers l’est, il fut pris à parti sans crier gare par un groupe de bandits composé de quatre hommes dont l’allure hésitante et l’odeur malsaine avait attiré son attention.
Pensant avoir à faire à un simple bourgeois, vêtu d’une cotte de maille usée autant que vieillie et d’une défroque sans réelles teintes, représentative de son piètre aspect martial, ils le sommèrent d’un ton sec de les suivre...
Une fois dehors Goulfier semblait porter en lui le poids des jours, ne montrant ainsi qu’une modeste résistance à exécuter les ordres des malfrats.
Lorsqu’un des leurs s’approcha une dague à la main pour lui soustraire sa bourse, en aboyant des insanités plus offensante les unes que les autres, son air hagard devint, comme par déclic, l’expression vive d’une haine réprimée. Et comme métamorphosé; sortit l’épée de son fourreau et transperça d’un coup violent le premier misérable à sa portée, retirant son arme enfoncée dans la chair, en prenant appui de son pied sur le cadavre.
Tout en riant de sa voix rauque, il fit virevolter son arme souillée d’un fluide rougeâtre en direction des trois autres, qui armes au poing se ruèrent sur lui.
Le combat devenu d’une tel intensité se faisait tant à main nue qu’à coup d’épée, les voleurs peut exercé s’épuisait, et aisément il arriva à séparer ses agresseurs, se battant comme quatre, malgré qu’une blessure à la main l’eut handicapée, il contraignit un des malfrats à la défensive; Puis acculé au mur de la grange voisine, Goulfier le fit tomber sur les genoux, la tête à demi détachée du corps par un coup d’épée brusquement expédié.
Les deux brigands survivants, essoufflé et pourvu de crampes, avaient du mal à tenir droites leurs armes et fixaient de leurs yeux ronds remplis de frayeur cet silhouette qu’ils pensaient inoffensives.
Soudain l’un des deux, pris d’une pulsion vengeresse ou de désespoir, brandit sa lame en chargeant et criant sa fureur, lorsque dans sa course, il trébucha sur une racine et chuta au pied de Goulfier, qui toujours impassible, fit glisser d’un trait son épée sur sa gorge d’où progressivement du sang souillait le sol, et où ses dents s’y enterraient comme pour y creuser leurs tombes...
Le dernier, blessé au visage, s’écroula et jeta son arme à terre par geste de soumission, implorant sa pitié en se tenant la partie droite de la tête, ou du sang semblait s’échapper; et tout en tremblant s’exclama « Grâce, grâce ! Mon bon seigneur, épargnez moi.... ».
L’exaltation du combat passé avait redonné l’esprit clair à Goulfier; qui après un instant de réflexion, le regarda fixement d’un air méprisant et se décida à remettre son épée au fourreau, lui laissant ainsi la vie sauve...
Le coupe-jarret étonné par une telle clémence, regarda avec plus d’insistance cet être énigmatique, qui en surface ne ressemblait guère plus à un paysan de taille respectable mal fagoté et mal armé, qu’à un noble, mais sa manière de manier l’épée et son attitude entretenait un certain mystère lorsque avec le rayonnement dû à la pleine lune, un blason se laissa entr’apercevoir sur son plastron...
Sentant la chance qui se profilait devant lui ou tout simplement, le fait qu’il n’aie désormais nulle part ou aller, il s’exclama en courbant l’échine tout en lançant d’un regard rempli de malice « Guido pour vous servir... ».
Yahoo, Harlequin est arrivé aussi. Encore des informations fraiches :
Le début de la guerre Inquisitorial est en 40.273.
Le QG de l’Inquisition se trouve à 3 kilomètres en dessous de l’Antarctique. On trouve à la surface de l’astroport, des abris et des tours, et en dessous, l’immense complexe du QG Inquisitorial. Rempli de scribes (nous sommes partout), de serviteurs, de protecteurs, de gardiens, de fonctionnaires, des médics, techs, réparateurs, excavateurs (pour l’extension du QG, car il y a des parties qui s’écroulent ou sont bloqués).
Un ordre de taille dit des kilomètres cubiques. On y trouve aussi les « Archives Occultes » et les laboratoires Démoniaques (comme quoi, l’Ordo y est aussi à vue de pif. J’ai l’impression que Titan n’est que le monde des Chevaliers Gris, même s’il y a sans doute une partie de l’Ordo. D’ailleurs on parle des GK sur titan dans le même livre).
On parle aussi de « Rajeunissement » à grands coups de bistouris (et autre) pour les Inquisitors et autres gens haut placés.
L’Ordo suspecte que la chute des Eldar est reliée à Slaanesh. On apprend aussi que l’Imperium n’a pas accès à la toile mais que il aimerait bien, genre.
Et on parle aussi de révoltes de la faim sur Terra (vu les descriptions des bidons villes, ce n’est pas étonnant).
Et une référence à un « donjon automatisé » de l’Inquisition, où l’on enferme des hérétiques avant l’interrogation.
On y apprend que le Tarot Impérial a 4 suites : Discordia (avec les ennemis de l’Imperium, tels que le Space Marine du Chaos, un Guerrier Aspect Eldar), Adeptio des gens d’action, genre (Space Marine, assassin…), Creatio (la « suite de fertilité » : Astropath, navigateur, tech) et Mandatio (« Suite de stabilité » : Inquisiteur par exemple). On trouve à coté de cela les atouts majeurs (Atout de l’étoile, atout de Slaanesh).
On parle de « Psycurium » qui servirait à blinder des installations d’émanations psychiques (« afin que des démons la remarque pas », la psykeuse à l’intérieur). On dit aussi qu’il y en a dans les casques des SM, ce qui leur évite par exemple le coup des cris de banshee.
On cite aussi une station de radio ! « Vox Imperatoris », la Voix de l’Empereur. Hihi
On apprend que effectivement, le nom de l’Empereur est oublié depuis longtemps (notez que vu la durée de sa vie, il en a sans doute changé souvent)
On parle de la grande anguille Acturienne, dont on bouffe le caviar chez les riches
On apprend l’existance de « La Gazette des Mondes Connus », avec la localisation de chaque planète de la galaxie.
Et aussi de nano-orgs, des bactéries photophagiques servant à la terraformation, en fabriquant de l’oxygène et de l’azote. C’est apparemment de la technologie Slann, ou Eldar.
Inutile mais rigolo, on apprend le terme « Dan Oméga » en référence au talent de combat aux arts martiaux (pour un assassin). Le Dan Oméga est le plus enculatoire de tous.
Le projet Hydre est en fait l’œuvre d’Illuminati Renégats. Et par conséquent, les Illuminati réguliers tentent de mettre des bâtons dans les roues. On y dit aussi que les Illuminati réguliers ont pour plan entre autre de faire, grâce au sacrifice des Sensei, le « Numen » (« The Shining Path » C’est un jeu de mot sur « New Men »), une divinité à base des « bons sentiments » que l’Empereur a rejeté dans le warp afin de pouvoir bosser de façon efficace contre Horus. Les Illuminati renégats sont trop impatients et ont par conséquent fondé le projet Hydre
On y apprend, très accessoire, que les archives de l’Officio sont aussi secrètes et grosses que celles de l’Inquisition.
Le tatouage des Callidus, qui se trouve entre le majeur et l’annulaire de la main gauche, est un œil à l’intérieur d’un C (« The cunning eye of the Callidus »)
Le titre d’un boss d’un temple de l’Officio est « Director Suprème », et celui en dessous « Director Secundus »
Des phrases Eldar non référencées sur Taran : « Da gceilfi an fhirinne, b’fheidir go neofai breag », ce qui veut dire « Si la vérité est cachée, peut être qu’un mensonge est dit ». Apparament, c’est « B’fheidir » qui signifie vérité, comme dit plus loin par Ro-Fhessi
« Bhi se chomh dorcha gur cheapamair go raibh an oiche tagtha » = « Il faisait si sombre que nous pensions que la nuit était tombée »
Et le nom que Meh’lindi choisit : Mile’ionahd : Guerrier de merveille, ou guerrier de surprise
Et d’un Prophète Eldar : Ro-Fhessi
Quelques noms d’Imperial Fists qui trainent : Capitaine Lexandro d’Arquebus, Archiviste Terminator Kurt Kempka, la barge de bataille Puissance Impériale, les Frères Dietrich, Webern, Scholl, Stadler Goethe, Volker, Wagner et Zigmund (Très chleu les Imperial Fists)
Pour reconstruire de la chair, on use de synthefibres (« Synthmusclefibre »), de câbles nerveux (« nervewire ») et de pseudopeau (« pseudoflesh »)
On dit que les Imperial Fists sont « des planificateurs et des penseurs ». Ouf, enfin des Marines qui pensent un peu avant de foncer dans la mélée.
Les Imperial Fists ont un défaut dans leurs gènes : ils sont attirés par la douleur. Voilà qui explique beaucoup de choses pour Cortez :0). C’est connu de l’Inquisition.
L’Archiviste Kurt a été autorisé à garder sa mémoire après combat contre du Tzeentcheux (Oh !)
On parle aussi de « La passion artistique partagée par tous les Imperial Fists matures ». On dit aussi que les différences entre Fists se réglent par des duels. Et qu’ils aiment à graver le nom de frères tombés sur les os de leur poignets.
Ulthwé s’écrit avec un accent, y compris en VO, dans le livre
Les araignées vouarp des Eldar attaquent machinalement tout ce qui est vaguement chaotique
On peut voir quelques Harlequins s’entraîner pour le spectacle aussi (il faut bien, histoire de pas rouiller), tandis que le Solitaire est seul dans un coin.
Les Illuminati peuvent s’entretenir avec des Eldar autour d’une tasse de thé, en tant que privilégiés. Icertains savent également traverser la Toile, par exemple pour la recherche de Sensei ou pour traquer les Illuminati renégats.
A certains intersections de la Toile, le temps est altéré (les « Intersections de l’Inertie »). Des Seigneurs Phoenix y traineraient en attendant le Rhana Dandra. Selon la Théorie d’Uigebealach (« La Philosophie de la Toile »), il y a une intersection où l’on pourrait voyager dans le temps. Les Grands Harlequins cherchent ces intersections dit-on, afin de prévenir le peuple Eldar d’avant.
Eldrad Ulthran est un pote à Zephro l’Illuminatus, l’ayant aidé à se débarasser du démon
Un nom de Warlord Eldar d’Ulthwé : Ketshamine
Une armure Space Marine peut recycler les déchets organiques du Space Marine pendant deux jours
Le Squat ose, oui, il ose, demander ce qu’il en est des Très Saints Organes Génitaux d’un Space Marine ! Ce en quoi il répond que les Imperial Fists subliment leurs besoins animaux à travers l’Art !
L’on parle aussi de Gardiens Funéraires d’Ulthwé, avec des bannières noires arborant un zeuil qui pleure
Encore des mots Eldar ! Seachmall : Illusion, et Seachran : « delusion » en anglais, ce qui correspond plus ou moins à une illusions qu’on se fait
Et un livre : le Livre de Rhana Dandra, dans la Bibliothèque Interdite. Et l’on dit qu’il se change de lui même aussi, en fonction des probabilités. On y trouve par exemple le nom de Jaq Draco
Des seigneurs Phoenix : Karandras, le sinistre Chasseur d’Ombre, et Jain Zar, la Tempête du Silence
Les documents tro tro secrets sont sous l’interdiction Inquisato Relinquo
Il y a le « Tunnel of Terror » qui provoque de la douleur dans la forteresse monastère des IF, et puis le « Nerve Glove », qui induit une douleur atroce à son porteur. Tous des masos tiens
Ce matin, en me réveillant, je trouvais au courrier du jour ce petit livre de 250 pages : Inquisitor, de Ian Watson.
Yahoo!
je n'en suis qu'à la page 120, mais histoire de pour Taran :
Il existe un artefact Jokaero appelé mouches-espionnes qui consistent en de petites mouches artificielles capables de filmer (y compris dans l'infrarouge), voire de faire une projection holographique si correctement modifiée. L'écran de réception implique un minimum de psychisme, il est donc possible que certains Jokaeros soient vaguement psychiques.
Et également :
"Les quartiers généraux de l'Inquisition sont un immense labyrinthe aussi grand qu'une ville de halls baroques, de dortoirs, de sanctum, de reclusia, de libraria, de scriptoria et d'apothecaria, de dongeons, de laboratoires théologiques, de gymnases psychiques et d'arènes d'armes
De vieux adeptes sages et fiers, s'étant retiré de leurs activités parmi les étoiles, prennent en charge l'éducation des novices dans les arts secrets des Inquisiteurs, ses connaissances et ses talents"